La conscience.

26/11/2023 18:17 par ninanet

  • La conscience.

    La conscience.

    26/11/2023 18:17 par ninanet

Bonsoir mes amies et amis.

« Tout le chemin de la vie, c’est de passer de l’inconscience à la conscience, de la peur à l’amour » Frédéric Lenoir

Je viens de lire un article de mon ami Alain Tremiseau. Il pose la question si à notre époque la conscience est-elle encore de mise. Et il m’inspire cette réponse.

Les médias, les journaux, les télévisions nous abreuvent d’images sombres, détestables, horribles, inadmissibles, monstrueuses… j’en passe et des pires… Les jugements hâtifs de ceux que ça arrange, transforment les victimes en criminels (étaient là au mauvais moment…) et aux criminels leur trouvent toutes les excuses (ils sont aux abois, ils sont jeunes, ensauvagés, en exil… Paumés !!!)

Conscience dis-tu mon cher Alain ? Non ! Autorité et respect et en prime l'amitié. Voilà ce qu'on devrait apprendre aux tous petits. Une main de fer dans un gant de velours. Je me souviens que nos parents nous disaient "ne fais pas ça c'est péché ou c'est honteux..."  et on obéissait. Aujourd'hui on offre une gameboy pour faire tenir tranquilles les enfants. Sauf que les jeux y sont de plus en plus violents. Plus aucune notion de la réalité, du concret... Laisser faire c’est plus facile qu’éduquer. À l’école les professeurs sont chahutés quand ils ne sont pas exécutés… On nous dit que dans les centres de self défense il y a foule. Va-t-on en arriver au « œil pour œil, dent pour dent » ?

Là oui prenons conscience du danger de laisser notre société s’ensauvager. Parents, professeurs faites respecter les bonnes règles de la vie civile. Certains nous prédisent la guerre civile. À qui profitera le crime ??? 

Une petite flamme de folie.

23/11/2023 10:05 par ninanet

  • Une petite flamme de folie.

    Une petite flamme de folie.

    23/11/2023 10:05 par ninanet

« Une petite flamme de folie, si on savait comme la vie s'en éclaire !  »

de Henry de Montherlant

Arrivée à la retraite après une vie entière dédiée au labeur, rien ne présageait ma seconde vie.

La merveilleuse vie d’auteure, de conteuse, d’illustratrice, de porteuse d’espoir et de rêves ! Ne rien laisser au hasard mais suivre la route choisie. Une route aventureuse, sinueuse, parsemée de doutes et de folies. Guidée par le Fil d’Ariane pour ne point m’égarer.

La folie des mots qui mis bout à bout forment un bouquet d’Amour et d’Amitié, ne laissant aucune place aux regrets.

Nul regret quand la route se définit en dédales d’images, de sentiments, de passions…  soulignés par la magie des mots.

Noël est bientôt là. J’imagine tous ces petits enfants qui au petit matin, les pieds nus sur le carrelage froid, chercheront les cadeaux apportés par le Père Noël. J’aime tant Noël et sa magie.

Je repense non sans émotion à mon premier Noël à l’âge de 4 ans 1/2 où une demie banane et un petit paquet de pois chiches grillés étaient dissimulés dans nos chaussures. Un dur sacrifice qu’avait concédé notre mère pour que mon frère et moi ne soyons pas déçus.

Et si vous mettiez au pied du sapin les jolis contes d’amitié de Gracieuse et Panache ? Des contes d’amitié où j’ai laissé sans y prendre garde des pans de ma jeunesse.

Écrire c’est s’isoler pour laisser courir sa plume. La relecture nous renvoie soudain cette petite flamme de folie qui a éclairé la vie de l’auteure.

http://a5editions.fr


19/11/2023 21:40 par ninanet

  • 19/11/2023 21:40 par ninanet

Bonsoir mes amies et amis, petits et grands.
« Il faut avoir une grande musique en soi si l’on veut faire danser la vie ». Friedrich Nietzsche

La musique des mots pour faire rêver les grands et grandir les petits.
Les livres reçus en cadeau pour Noël sont des présents qui seront présents toute la vie !

http://a5editions.fr

 


18/11/2023 21:07 par ninanet

  • 18/11/2023 21:07 par ninanet

« Les mots qui vont surgir savent de nous des choses que nous ignorons » René Char

Comment un geste aussi anodin comme de recoudre un bouton peut faire revivre une jolie histoire d’amour jamais avouée.

 

Tu disais, tu me disais, pas la couture

Pour vous mes filles, c’est trop dur.

Mais un jour tu m’as donné ton  dé

À coudre et ton nécessaire à repriser.

 

Tu m’as dit, à toi il servira

Et alors à moi tu penseras.

Ce matin coulent mes larmes

Sur l’ouvrage et me désarment.

 

Ton dé en cuivre a un peu terni

Les bobines de fil ont un peu vieilli

Je te revois, penchée sur ta couture

Ce souvenir de toi me claquemure

 

Je revois tes doigts qui ourlaient

Les jolies robes que tu me cousais

Je t’entends fredonner les couplets

Des chants que tu affectionnais

 

Le cœur battant, les mains tremblant

J’ai enfilé ton dé à coudre lentement

Sur mon doigt, qui me va comme à toi

Et je repense à ces moments de joie

 

Tu as gagné. Tu l’avais prédit

Je couds avec ton souffle sur moi

Tu as gagné. Ton dé à mon doigt

M’étreint le cœur et m’estourbit

 

La fière s’incline devant l’évidence

Avec le temps je sais que je suis tout toi

Et plus encore avec ce dé au doigt

Qui me rappelle à jamais ta présence

 

Je couds, mes larmes ravalées

Tu n’as jamais voulu m’apprendre

Mais je t’ai tellement observée

Qu’en ce jour je peux entreprendre

 

« Tire, tire, tire l’aiguille ma fille

Demain, demain tu te maries »

Ton parfum envahit tout l’espace

Ton ombre en moi prend sa place

 

Je pense à toi, tu l’avais prédit

Tu vis en moi, j’ai gagné aussi.

 

 

 

 


12/11/2023 18:15 par ninanet

  • 12/11/2023 18:15 par ninanet

Bonjour mes amies et amis Petits et grands.

Un rapide retour sur ma journée dédicace (promis je ferai court, mais vais-je y arriver après une telle journée ?)

À peine arrivée à l’Hyper U Les Arcs, mon époux tirant en râlant ma valise lourde, lourde… et moi pressée de m’installer, que je prends en pleine figure, à ma place habituelle de dédicace, une table recouverte d’une flamboyante nappe rouge aux motifs de Noël. Ouahh !!!

Mais en levant les yeux (eh oui je suis petite) je vois au-dessus de ma tête, une affiche presque aussi grande que moi annonçant ma séance de dédicace accolée à une aussi grande affiche de livres primés. Un bon signe me suis-je dit ! Et c’est flatteur aussi !

J’étais attendue et j’adore ça ! Car il arrive que parfois j’arrive, ma table n’est pas là, on ne sait pas où me mettre et ça m’agace au plus haut point, gâchant presque mon plaisir d’être là.

Le respect ça se gagne m’a-t-on dit une fois… Et j’aime par-dessus tout être respectée autant que je respecte les autres. L’année 2024 ne me verra pas dans des salons ou librairies où j’ai été très mal à l’aise. Petite causerie en aparté de vous à moi.

Et pour me rendre encore plus heureuse, c’est la première fois depuis le Covid que j’ai renoué avec les enfants qui ont en nombre, accompagné leurs parents.

L’intérêt de ces petits chérubins m’a portée aux nues. Les questionnements fusaient : Madame c’est vous ? Madame c’est beau. Madame vous écrivez et vous dessinez en même temps ? Et moi d’expliquer ma façon de travailler, mon amour des mots et surtout de l’amitié. C’est quoi pour toi l’amitié ai-je demandé à l’un deux ? Devinez ce que m’a répondu une petite fille haute comme trois pommes, jolie comme un cœur, 5 ans « j’ai un amoureux et je vais lui prêter mon livre (je venais de le lui dédicacer) ». « C’est ça pour toi l’amitié ? » « Oui c’est ça, c’est mon amoureux et on est toujours ensemble » et sa sœur m’a dit moi aussi j’apporterai mon livre dans ma classe ! Les mamans étaient hilares et riaient fières et heureuses. Ainsi est passée très vite la journée.

De nombreux échanges avec des adultes pas toujours récompensés par une dédicace, qu’importe, j’aime échanger. Mais quand c’était « je prends celui-ci il me parle, ou choisissez-moi le livre qui me correspond »… c’était sincère et empathique !

Le tome 6 Gracieuse et Panache Quand je serai grand… a emporté et de loin la palme d’or des dédicaces. Suivi du Tome 5 Gracieuse et Panache un rosier…

Merci à Lya, Ewan, Adèle, Margaux, Lian, Alycia, Lilya, Chloe, Nolan, Ellana, Louna, Manon… la jeunesse qui seront les femmes et les hommes de demain. Et aux mamans et papas, qui jouent un rôle prépondérant dans leur éducation.

Merci à Marie la maman d’Olivia, à Martine, à Muriel…

Journée valorisante mais rester debout de 9h à 17h c’est crevant. Vais-je bouder mon plaisir ? Sûrement pas !


10/11/2023 15:29 par ninanet

  • 10/11/2023 15:29 par ninanet

Bonjour mes amies et amis, petits et grands

« Un seul mot, usé, mais qui brille comme une vieille pièce de monnaie : MERCI » de Pablo Neruda

MERCI de m’accorder un peu de votre temps si vous êtes dans les parages.

À vos agendas ! J’ai grand plaisir de vous annoncer mes trois dernières dates de dédicaces de l’année 2023.

Dédicaces de Noël pour petits et grands, de 9h à 17h :

-       Samedi 11/11 à l’Espace Culturel de l’Hyper U Les Arcs (Var)

-       Samedi 16/12 à l’Espace Culturel du Centre Leclerc Cogolin (Var)  

-       Samedi 23/12 à l’Espace Culturel du Centre Leclerc Montauroux (Var).

MERCI ET  À DEMAIN.

La petite fille aux pieds nus.

08/11/2023 14:11 par ninanet

  • La petite fille aux pieds nus.

    La petite fille aux pieds nus.

    08/11/2023 14:11 par ninanet

« Le roman est l’histoire éternelle du cœur humain. L’histoire vous parle des autres, le roman vous parle de vous » Alphonse Karr

Depuis le 7 octobre 2023, je ne dors plus de la même façon, ne ris plus autant qu’avant cette date fatidique, mes larmes perlent sur le bord de mes cils mais personne ne les voit. Les souvenirs oubliés dans le tréfonds de mon cœur somnolent, attendant le moment pour réapparaitre sournoisement. Ils se bousculent me disant « tu te souviens » ? Non je ne veux pas me souvenir ! Nonbstant je me souviens ! Un gros soupir s’exhale de ma poitrine comprimée. L’histoire vous parlera de moi mais n’est-ce pas de vous qu’il va s’agir ?

Tous les jours apportent son lot d’horreurs, de bêtises humaines, de haine. Le danger est qu’on s’y habitue. Ah bon ? Encore ? Décidément ! Ça va durer longtemps, mais encore ???

Les médias nous abreuvent de propos parfois insipides juste pour faire monter une mayonnaise sans œufs… Eh oui le paradoxe aujourd’hui c’est que tout le monde a son avis sur tout ! Mais la réalité est là avec des preuves intangibles. Chaque jour plus difficiles à entendre, à comprendre… Peut-être plus tard, mais il sera trop tard…  

Pendant ce temps des vies sont sacrifiées. Des vies sont déshumanisées. Des vies sont utilisées comme des cibles dans un champ de tir.

Je cherche du regard mon radio-réveil silencieux sur ma table de nuit et je m’aperçois que je n’ai dormi qu’une heure. J’ai le cœur serré sans trop savoir pourquoi, puis brusquement resurgissent les informations de la veille. Les ai-je vécues ou rêvées ? Comment faire le tri dans ma déchetterie. La vie est un éternel recommencement. Oui j’ai grandi dans la peur du méchant. Oui il ne fallait pas accepter un bonbon et suivre un inconnu… Oui j’ai entendu les grands chuchoter les mots tels que tuer, poing américain, couteau, voler, sadisme, enterrement… Je n’y comprenais rien seul mon instinct murmurait « l’heure était grave ».

Les portes de mes souvenirs qui claquent les unes après les autres, ne se referment plus. Elles grincent dans un petit oscillement pour me forcer à témoigner…

Ma plume abandonnée ces temps derniers va reprendre du service. Je me le promets.

Soyez vigilants, prudents mais attentifs.  Je vous laisse mon roman n’attendra plus.


05/11/2023 19:05 par ninanet

  • 05/11/2023 19:05 par ninanet

Bonjour mes amies et amis.

« La vie n'est pas ce que l'on a vécu, mais ce dont on se souvient et comment on s'en souvient. » Gabriel Garcia Marquez

Une journée de dédicaces de plus à mettre dans mon escarcelle de souvenirs. Pour plus tard… Pour me revisiter lorsque je n’aurais plus la force ni les moyens de me déplacer. Sauf que cette journée n’y fera pas long feu, elle aura glissé des mailles du filet et je ne la retiendrai pas. Il faisait froid, humide… j’étais frigorifiée, face à la porte qui n’avait de cesse de me narguer en s’ouvrant et en se refermant. Qui a dit que la vie d’auteure est facile ?

Hier durant ma séance de dédicaces, l’euphorie des précédentes est tombée… J'ai dédicacé modérément. Le temps n’étant pas de la partie, l’ambiance dans le magasin était pesante. Les sourires aussi absents que les apparitions du soleil.

Je remercie les personnes qui m’ont écoutée et ont choisi mes livres avec beaucoup de plaisir. Des couples qui sont repartis avec « Lettre à pépé Charles comme une évidence. Les mamans de Loélia, Lily et titi (Tiffany) avec les « Gracieuse et Panache… ».

Dans chaque séance de dédicace il y a le moment étincelle.

Une lectrice est passée sans me voir, a fait le tour des livres. Puis arrivée à ma hauteur me regarde enfin et je lui fais remarquer que j’étais là pour dédicacer mes livres et si elle pouvait avoir un coup de cœur… Aucune réponse mais une écoute. À chaque présentation d’un titre, aucun murmure, aucun sourire, aucun intérêt visible pour mes livres. Au moment où je m’attendais à ce qu’elle me tourne le dos, elle prend « La Miraculée », le feuillette avec un très large sourire aux lèvres et me dit « La Miraculée » m’intéresse. J’adore lire et j’ai une très belle bibliothèque, « La Miraculée » y a toute sa place.

J'étais émue, une année de ma vie mise à l'honneur dans sa bibliothèque. Un grand merci pour ce cadeau.

Et comme un bonheur ne vient jamais tout seul, en rentrant hier soir sous la pluie, le vent et le brouillard, je jette un rapide coup d’œil sur mes posts et je découvre celui de Géraldine Spatazza : « Pépé Charles est formidable, il m’a transportée ». Rien de tel pour faire retomber la fatigue et l’angoisse du retour. Bonne soirée.


03/11/2023 15:04 par ninanet

  • 03/11/2023 15:04 par ninanet

« La sensibilité ne s’acquiert pas, elle est une richesse que seule l’âme authentique possède » A.Schlaumich

Bonjour mes amies et amis, petits et grands,

Depuis hier, une image vue à la télévision, nous montrant Éric Naulleau en larmes après un témoignage poignant d’un vieux monsieur à propos de deux parents tués dans les pires conditions et de leur bébé brûlé vif dans un four, tourne en boucle dans ma tête. Cela se passe de nos jours dans un kibboutz. La barbarie ne connaît pas de limites. Honte à elle et à ceux qui la pratiquent.

Je connais Éric Naulleau pour l’avoir côtoyé au Salon du livre à Monaco. On s’ennuyait un peu tous les deux en fin d'après-midi et nos échanges étaient simples et chaleureux. Nous nous sommes quittés sur une belle accolade et une photo de nous deux.

J’ai également appris que Elie Chouraqui a publié une tribune et lancé un appel à tous ses amis artistes, enfin que Philippe Torreton a à son tour lancé un cri « Je suis juif ».

Pourquoi faut-il toujours s’identifier au mal passé (je suis Charlie) pour expliquer le mal présent (je suis juif) ?

Il y a quelque temps je vous avais raconté l’histoire de mon grand-père qui avait adopté un petit gamin affamé, l’avait surnommé « Shalom » parce qu’il était épris de paix. Mon papa Henri, l’exilé, qui avait trouvé une terre pour y être enterré après l’avoir cultivée et qui voulait y vivre sans problèmes. Mon grand-père mon héros.

J’ai une autre histoire tout aussi jolie à vous raconter. Elle est authentique au mot près.

Mes parents, à Tunis, travaillaient très dur sur leurs machines à coudre. Ma mère le soir ne pouvait plus bouger son bras tant l’épaule lui faisait mal à force d’activer le volant d’une machine à coudre mécanique, j’entends encore ses grognements quand l'aiguille se cassait parce qu'elle se dépêchait pour terminer la confection de sa pile de caleçons en popeline blanche (ça ne s'oublie pas) avant de nous préparer le diner. Tous les jours après l'école je l'aidais, en apprenant mes leçons, un livre sur mes genoux. Je sais ça fait un peu Cosette... mais j'ai été très heureuse à cette époque, pauvre mais si proche de ma mère.

Le dimanche c’était jour de grande lessive. Une femme musulmane, plus toute jeune, venait régulièrement lui prêter main forte. Elle avait 5 enfants et peinait à les nourrir, son mari était parti elle ne savait où. C’était coutumier à l’époque là-bas. Chaque fois qu’elle arrivait, elle commençait par embrasser la main de ma mère. Et la bénissait pour son grand cœur. Il faut savoir que nous avions à peine de quoi manger… Et ces deux femmes qui abattaient un travail colossal en chantant en choeur « Habak Naar, ya habibi" , de Abdel Halim El Hafez) faisaient plaisir à voir. J’écoute cette chanson toujours et encore. Une belle chanson d’amour qui disait « je t’aime le feu, mon amour le feu ». De là vient peut-être mon esprit romanesque, j’étais gamine.

Puis cette femme repartait avec tout ce que ma mère pouvait lui donner, nos vêtements usés mais rapiécés par ma mère, un quignon de pain, un morceau de viande ou une piécette quand c’était possible.

Quand je m’en étonnais, ma mère me disait « Donne, le Bon Dieu te le rendra au centuple ». Cette maxime a toujours été suivie d’effet. La générosité paye toujours. 

Les deux amis

03/11/2023 11:35 par ninanet

  • Les deux amis

    Les deux amis

    03/11/2023 11:35 par ninanet

Bonjour mes amies et amis, petits et grands.

« La plus haute forme d’espérance est le désespoir surmonté » Bernanos

Pour une fois je serai brève. Par les temps qui courent et tous les drames que la vie nous annonce tous les jours sans ménagement, la tristesse m’estourbit.

J’ai une pensée chaleureuse pour mes amis qui sont dans la détresse à cause de la tempête Cioran. Elle a sévi toute cette nuit en provoquant bien des dégâts.

Le temps qui passe vous aidera à surmonter ces mauvais moments. Les beaux jours reviendront. Juste un peu de patience.
Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir. Et l’espoir fait vivre dirait ma mère.

Mes deux amis volettent et viennent s’abriter dans mon jardin. Ils se joignent à moi pour vous souhaitent le meilleur.

Je vous embrasse de toute mon empathie et de mes encouragements. Annette.