anniversaire de Popaul

11/10/2025 16:31 par ninanet

  • anniversaire de Popaul

    anniversaire de Popaul

    11/10/2025 16:31 par ninanet

« Tu ne peux pas blesser quelqu’un plusieurs fois et espérer qu’il t’aime toujours de la même façon. Même un bon cœur se fatigue ; Vérité de la vie.

Saint Raphaël, ma ville. Elle nous a accueillis pour une surperbe journée anniversaire. 86 ans ça se fête... On n'est jamais seuls quand la tendresse habite les coeurs.

Elle avait tant pardonné, sans jamais rien oublier ! Elle se jurait à chaque fois qu’on ne l’y reprendra plus. Puis la dernière cartouche acheva son œuvre. La blessure était telle qu’elle l’avait guérie ad vitam aeternam. Même plus mal dirait la petite fille en elle. Sa plus grande richesse : son homme !

Comprenne qui peut…  

EN FANFARE

27/09/2025 18:04 par ninanet

  • EN FANFARE

    EN FANFARE

    27/09/2025 18:04 par ninanet

Bonjour mes amies et amis.

« La musique est la langue des émotions » Emmanuel Kant

Aimez-vous la musique ? Aimez-vous le Boléro de Ravel ? Aimez-vous les fanfares ? Aimez-vous Charles Aznavour… Alors je vous emmène au bout d’un film qui m’a émue, qui a chaviré mon cœur. Je me suis laissé porter par le jeu des acteurs, les rebondissements, la musique qui surgit à tout moment. Les mots qui claquent avec pudeur parfois…

« EN FANFARE », à voir sur Canal Plus. Je suis sous le choc. Je le reverrais sûrement !

Le sujet : Thibaut, chef d’orchestre de renommée mondiale, est pris de malaise en donnant un concert. Il apprend qu’il est atteint de leucémie et qu’il lui faut absolument une greffe de la moelle. Sa sœur et sa mère n’étant pas compatibles, il part à la recherche d’un donneur et là sa vie prend un nouveau tournant en découvrant ce que sa mère lui a caché depuis sa naissance… Je ne veux pas vous en dire plus. Ce serait dommage !

Tous les thèmes sont abordés avec beaucoup d’éclats, de justesse et sans à priori.

Que l’on aime la musique classique ou populaire, tout un chacun y trouvera son compte. Pensez à vous munir de mouchoirs… J’ai ri, j’ai ravalé mes larmes et mon grand regret que je raconte dans « Retourne de là où tu viens ».

Ce que j’ai surtout retenu de ce film, c’est la France que j’aime, avec ses fêtes, ses fanfares… Ses concerts de musique classique. Le Boléro de Ravel qui rassemble tant de monde. Et Charles Aznavour qui nous chante « emmenez-moi… »

Ce film m’a emmenée durant 1h40 dans un monde de rêve mais pas seulement… À vos télécommandes. Bises

« La musique commence là où s’arrête le pouvoir des mots » Richard Wagner.

CHEF

17/07/2025 08:36 par ninanet

  • CHEF

    CHEF

    17/07/2025 08:36 par ninanet

Les petites choses n’ont l’air de rien, mais elles donnent la paix. Dans chaque petite chose Il y a un ange. » Georges Bernanos

Et moi les anges, ça me connait !

Ces derniers temps, le moral était en baisse. L’ennui, la lassitude, la fatigue, la chaleur… Tous les ingrédients étaient réunis pour me stresser, me décourager, m’attrister. « Noir c’est noir… «  chantait Johnny dans ma tête.

Quelques ami(e)s s’en sont inquiété(e)s. Puis le temps passe et on perd pied.

Ne pas savoir quoi faire de soi en se levant. Se coucher en se disant « ouf une journée terminée sans trop de casse ».

Et ce matin, en regardant la télévision, des plages, des gens heureux… Pourquoi pas moi me dis-je ? Et si je prenais mon premier bain de l’année ? J’aime bien tout ce qui est le premier ou la première fois. C’est comme démarrer une nouvelle page.

J’ai vite enfilé un maillot et hop direction la plage. Pas grand monde cette année pensai-je. Tant mieux ! 26°  dans l’eau que demander de mieux ? Et je retrouve la sensation heureuse de l’eau salée sur ma peau, des mouvements de brasse pour me libérer de mes tensions.

Retour à la maison où un repas préparé avec amour me tendait les bras. Des crudités, du thon, des anchois, une sauce corsée et un melon en dessert. Le café et un petit chocolat « after eight » chocolat menthe, un tendre souvenir ce chocolat ! Un frisson me parcourt… C’était il y a si longtemps ! Les moments d’intense bonheur ne peuvent se gommer ou passer à la trappe. Oh non !

Une petite sieste et enfin je décide de voir un film, le premier qui me tombe sous la main : « LE CHEF ». Un pur bonheur.

Les ingrédients : la cuisine, ce couteau qui vous découpe un légume en quelques secondes avec une dextérité qui fait pâlir d’envie, l’amitié, la volonté, l’amour familial, « l’envie d’avoir envie » pour vivre pleinement ! Les décors sont époustouflants. L’Amérique dans toute sa splendeur avec ses excentricités et son côté cosmopolite. ET les réseaux sociaux qui jouent un rôle crucial dans ce parcours de vie d’un homme qui a tout perdu…mais a su rebondir. Le tout sur fond de musique cubaine. Me voilà quelques années en arrière. Notre voyage à Cuba, ces musiciens de Salsa dans toutes les rues, ces danseurs devant les bars.

Revenons au Chef. Il ne vivait que pour son métier, puis las de reproduire les mêmes menus qui remplissaient le restaurant et le porte-monnaie du patron, décide d’innover, de créer. Un jour un critique culinaire, dans une crise de jalousie et d’aigreur, rédige un article pour le démolir. Et là notre Chef découvre la puissance des réseaux grâce à son gamin. Père et fils vont s’unir …  Non je ne vous raconterai pas tout. Deux heures de film moi j’aurais bien regardé quatre heures. Du reste, je le reverrai sûrement. Il me rappelle trop ma vie de mes débuts. Chut c’est une autre histoire.

Et voilà ma journée talonnée de « petites choses qui n’ont l’air de rien » mais qui m’ont apaisée, réconciliée avec la vie toute simple et c’est à ce prix que le bonheur a son importance. Parole de Miraculée.

La-petite-valise-cabine

08/07/2025 10:41 par ninanet

  • La-petite-valise-cabine

    La-petite-valise-cabine

    08/07/2025 10:41 par ninanet

Lettre d’une bergère à son berger (d’une amie à son ami). Alain tu te reconnaitras bien sûr.

En te lisant ce matin, ton histoire de valise m’a plongée dans le passé.

Dans un placard j'ai beaucoup de valises, du temps où l'on voyageait non stop.

Toutes inutilisables, on les entasse, mais on les garde précieusement. Difficile de s’en défaire !

 Et là il y a moins d'un mois je me suis acheté une petite-valise-cabine (sur ordre de l'avionneur low cost) avec des dimensions bien strictes. Euréka ! Elle file sur des roulettes, pour les personnes âgées c’est un plus !

Nonobstant, bien difficile de tout y ranger, alors il a fallu faire des choix...

N’est-ce pas un peu cela la Vie ?. Faire des choix pour continuer son chemin.

Si ma petite valise-cabine pouvait t’expliquer déjà qu’elle ne doit son existence que grâce à un événement heureux. Elle te raconterait ce merveilleux moment passé au mariage de mon petit-fils Alecsandre... tous les "mamie par-ci, mamie par-là, mamie tout va bien ?  mamie tu ne manques de rien ?????". Mes oreilles en raisonnent encore ! Logique te répondrait ma petite-valise-cabine, Retour sur investissement. Ce petit devenu grand…

Mais la petite-valise-cabine a plus d’un tour dans son coffre. Elle me remémore l’histoire entendue petite fille « chacun sur son dos a une gourde qui goutte »

Je te vois froncer les sourcils. Ben oui ! Du temps où les gens n’avaient pas l’eau courante, tous les jours un porteur d’eau avec sa grosse gourde en peau de chèvre sur le dos, déambulait dans les rues en criant « de l’eau pour la soif ».  Sauf que souvent sa gourde fuyait, gouttait… Et ma mère d’ajouter « on porte tous une gourde sur son dos qui fuit ». J’ai mis longtemps à comprendre ce qu’elle voulait dire…

Cette histoire de valise et de gourde m’a donné soif. Bien amicalement. Bises cher Alain.

Fleur de lys

29/03/2025 15:41 par ninanet

  • Fleur de lys

    Fleur de lys

    29/03/2025 15:41 par ninanet

Bonjour mes amies et amis.

« La vie est une fleur, l’amour en est le miel » Victor Hugo

Ce matin, un coup de sonnette me fait sursauter. Tiens qui est-ce ? Une camionnette stationnée face au portail. Un jeune homme en descend un grand paquet dans les bras. 

L'histoire du bouquet du jour. Moi la fière, j'ai eu du mal à canaliser mon émotion. 

À ma belle-fille TL, merci pour les fleurs :

"Fleurs je vous aime de tout mon coeur,

Vous avez fait de moi celle que je suis,

à vous voir là, mes jolies fleurs de lys,

me submerge une bouffée de bonheur. 

 

Souviens-toi, murmure une voix.

chaque fois que le moral est bas

une brassée de fleurs viendra à toi 

pour te susurrer : nous sommes là.

 

Comment contenir mes larmes

moi la fière que rien ne désarme

Comment appréhender les jours à venir

sereinement, en continuant à sourire ?

 

Le mal qui te ronge est sournois, 

mène ton combat de plein droit.

pense que la vie bientôt reprendra 

ses droits, et en toi la joie renaitra.

 

Et pour cela, je voudrais partager ce bouquet de lys avec toutes les personnes qui souffrent, à mes amies et amis du réseau qui quotidiennement me témoignent leur Amitié. 

La vie est parfois compliquée. Combattre l'adversité, c'est aussi cela la vie. 


17/03/2025 15:33 par ninanet

  • 17/03/2025 15:33 par ninanet

Bonjour mes amies et amis;

« Acquérir l’habitude de lire, c’est se construire un refuge contre presque toutes les misères de la vie » William Somerset Maugham. 

Je voudrais remercier mes maîtresses, mes professeurs de français et de latin qui m’ont permis, grâce à leur enseignement rigoureux, d’avoir tout d’abord pris goût à la lecture très jeune et de voir mon nom s’afficher sur les couvertures de mes livres.

Mon aventure littéraire a vu le jour avec ce récit-témoignage « Retourne de là où tu viens ». qui raconte mon année de harcèlement lors d’un concours dans une école d’écrivains. Le prénom a été modifié : l’héroïne Francette parce que j’aime La France et ette en rappel à mon prénom Annette.

La première partie du récit relate « d’où je viens », comment je me suis construite. La seconde partie, voulant démasquer « le corbeau », sont mises  en scène les protagonistes du concours avec beaucoup d’humour. 

L’humour est une de mes priorités : divertir mon lectorat. Mon leitmotiv « la vie est belle ». Même si tout au long de l’écriture, ce ne sont pas des larmes de joie qui ont coulé mais ma pudeur et ma sincérité qui ont été mises à rude épreuve.

Je suis très fière d’avoir travaillé ce récit dans une classe de Brevet au Collège Bertie Albrecht à Ste Maxime dans le Var. 

Souvenir inoubliable, impérissable, inaltérable… Moi la fière !!! Idem à Toulon, trois classes d’élèves assises à même le sol sous le préau m’ont écoutée avec respect ensuite les mains se sont levées tel un défoulement à leurs angoisses.

En dédicace, de salons en fêtes du livre, de médiathèques en librairies, même des adolescents qui ne lisent pas, ont voulu ce livre. 

Réédité plusieurs fois, ce matin mon émotion est intacte en tenant un exemplaire  du retirage qui a été fait à la demande de mes amies et amis Belges et d’ailleurs. 

Envoi expédié en port offert, dédicacé à la demande, sous 48h. Paiement par chèque ou virement bancaire. Merci par avance.


02/03/2025 16:08 par ninanet

  • 02/03/2025 16:08 par ninanet

Bonjour mes amies et amis. Les grands et surtout les petits.

« Les visages rieurs ne signifient pas qu’il y a absence de chagrin mais qu’ils ont la capacité d’y faire face » William Shakespeare

Je souhaite une très belle journée à toutes les grands-mères. Pourquoi TOUTES ? Même à celles que je ne connais pas ?  Tout tristement je répondrai : certaines ne recevront aucun souhait. La journée se passera comme les autres, en silence. Le téléphone restera muet, la sonnette de la porte également... Ont-elles démérité ? Peut-être d’avoir trop aimé ???

Je n'ai jamais eu de grande-mère et je m'étais juré que je serai la grand-mère la plus aimante au monde. Le ciel m'a offert quatre petits-enfants. Ce fut un bonheur total. 

J'avais deux petites-voisines qui n'en avaient pas non plus et qui venaient passer cette journée avec mes petits-enfants. C'était la fête, les cris, les éclats de rire, les crêpes au chocolat... et à la fin de la journée je me suis entendu dire par leur maman : "vous êtes des grands-Parents en or". J'en ai rougi de bonheur.

Le temps a passé, les petits sont partis loin, très loin, emportant avec eux les bruits, les rires et les bisous que je distribuais sans compter.

L'or a rouillé, les crêpes ont séché... Les larmes d'émotion avec.

Soyez heureux mes petits-enfants. Mamie Clown.


11/02/2025 16:35 par ninanet

  • 11/02/2025 16:35 par ninanet

Aujourd’hui, il pleut toutes les larmes du ciel. Aucun répit ! Cela me fait penser à Paul Verlaine « il pleut sur ma ville… ».

J’ai démarré ma journée en allumant ma boite à confidences, à secrets, à musique, à chansons, à l’amitié… Tous ces messages que mes amies et amis m’envoient. Ils alimentent mon esprit toujours avide de savoir, de comprendre et d’aimer. Surtout d’aimer comme de respirer. 

Ainsi Melanie a posté une citation qui accroche mon attention, comme une vague réminiscence du passé… « il n’est pas besoin de boire toute l’eau de la mer pour savoir qu’elle est salée ». Ce n’est pas faux ! Mais encore ? Parfois une goutte suffit pour changer le cours d’une vie. L'amer remonte à la surface et l'instinct reste le plus fort.

Puis Melanie ajoute une sagesse populaire où il est question de trains.  Et les trains c'est encore pire. Les trains sont sensés nous mener à bon port, parfois ils déraillent, parfois ils arrivent en retard... Ou TROP tard... Un coup d’arrêt qu’on n’oublie jamais, avec les regrets qui nous annihilent.

Parfois on descend du train en marche… et la vie s’arrête là. Toutes les horloges ont figé leurs aiguilles et le coeur ses battements. 

À contrario, d’autres fois on s’agrippe au siège du train dans un compartiment vide. Le paysage défile paisiblement sous nos yeux. Quelques mammifères broutent nonchalamment. Apaisés on se promet qu’on va y arriver, qu’on va changer le cours des choses… Chaque tour de roue nous conforte dans cette promesse. Ce sont ces trains que je préfère !

Mes amies, les fleurs.

10/02/2025 14:04 par ninanet

  • Mes amies, les fleurs.

    Mes amies, les fleurs.

    10/02/2025 14:04 par ninanet

Derrière

errière l’obscurité, la lumière » Talmud

Hier matin, comme tous les dimanches matin où aucune obligation ne m’a attirée dehors, je me suis  « savatée » sur les réseaux. Et j’ai répondu par-ci, par-là suivant mon ou mes humeurs… J’aime les « j’aime » de mes ami(e)s pouce bleu levé, davantage les coeurs rouges et les échanges amicaux, gourmands en partage de belles recettes. J’adore cuisiner. Sans occulter le jardinage, c’est la panacée pour moi. Au fait, connaissez-vous Panacée ? C’est l’une des filles d’Asclépios, le Dieu de la médecine (mythologie grecque). Son nom signifie littéralement « tous les remèdes ». Merci Google… Mes mains dans la terre, l’eau qui arrose le plant et le souhait qu’il prenne… et j’oublie tout ! Même si Jacques Brel nous chante qu’on n’oublie rien de rien, on s’habitue, c’est tout ! Pas forcément oublier, mais relativiser. et je m’y emploie pour colmater les brèches.

En fond sonore j’écoute des chansons me baignant une peu en mode nostalgie. Charles Aznavour nous chante « on ne peut garder sans cesse sa jeunesse. »…Le suit de près comme en écho, Françoise Hardy « Ma jeunesse fout l’camp ».

Puis je me surprends à lire ce texte : Avec l’âge… et bla bla bla… Avec l’âge et bla bla bla…

Je ne sais pas ce que ça veut dire « avec l’âge… » Quel âge ai-je ? Je fouille dans ma tête et mes souvenirs. Une petite voix en sourdine me chuchote : « Tu étais vieille et responsable à vingt ans. Encore plus vieille mère et grand-mère, et encore plus vieille à la retraite. Tu n’étais pas une femme libérée (dit la chanson). Le poids des ans t’a pesé sur les épaules ». Là je m’insurge. C’est faux ! Lorsque j’étais jeune, mon seul but était d’aimer et d’être aimée. Alors oui je n’étais pas libre ! Maintenant je suis libre d’oublier mon âge et ses obligations. J’aime qui m’aime. Je m’éloigne de qui me manque de respect. Sans un mot, sans un regret, sans me retourner, sans état d’âme. C’est mon bras qui m’en empêche. Il m’a appris à faire le tri dans ma déchetterie, en gratitude de lui avoir redonné son autonomie. Il m’a appris qu’il faut s’aimer soi-même d’abord. Qu’il me fallait relever le défi d’être plus forte que l’adversité. Et j’y suis arrivée. Alors quel âge ai-je ? Quelle importance tant que mon cerveau fonctionne, que mes doigts courent sur le clavier de l’ordinateur, tant que le soleil me réchauffe de ses rayons… Tant que ma vie a un sens, car je suis sortie de mes zones d’ombres pour la lumière… Comprenne qui peut !

Jean qui rit, Jean qui pleure...

01/02/2025 13:48 par ninanet

  • Jean qui rit, Jean qui pleure...

    Jean qui rit, Jean qui pleure...

    01/02/2025 13:48 par ninanet

Bonjour mes amies et amis.

« Acquérir l’habitude de lire, c’est se construire un refuge contre presque toutes les misères de vie ». William Somerset Maugham

Les jours se suivent et se ressemblent… Janvier, hier, a tiré sa révérence sans pour autant déguerpir. 

Février a pris sa place mais pas avec suffisamment de conviction puisqu’il fait toujours aussi maussade… Jean qui rit, Jean qui pleure…  Se succèdent dans un ballet non orchestré les nuages, la pluie, le vent, un rayon de soleil bien pâlot… C’est notre lot en ce 1er février. Le temps est doux, lot de consolation.

Demain ? Il fera de nouveau jour. 

Passez tout de même un bon week-end… Un livre pourrait faire l’affaire… Si, si je vous assure, quand le temps capricieux se joue de nous… Jouons-nous de lui en nous réfugiant dans un livre.

Je lis depuis l’âge de quatre ans et ma passion pour les livres n’a jamais faibli. Ce sont mes fidèles compagnons quand ça va mal et quand ça va bien… Mon refuge.

Bises.