Bientôt !
26/09/2014 15:24 par ninanet
Ça y est le BAT (bon à tirer) de "LA CLE DE L'EMBROUILLE" est validé. À présent mon livre prend vie et matière dans les presses de l'imprimeur. Réception, que j'arroserai au champagne comme pour chacun de mes titres, le 9/10/2014.
Soulagée me demanderez-vous ? Oh oui ! Mais voilà écrire ne suffit pas, maintenant le plus gros reste à faire, des Bouches du Rhone au Vaucluse en passant par le Var et les Alpes Maritimes, je vais me déplacer pour présenter au plus grand nombre le fruit de mon travail d'une année.
Vous rencontrerai-je ? Je l'espère et je vous en remercie par avance.
Séances de dédicaces : - Samedi 27/9 de 9h30 à 18h30 à l'Espace Culturel du Centre Leclerc à Cogolin (83)
- Dimanche 28/9 de 9h à 18h à l'Espace Coulet à Tourrettes (Var) (là où est née et est toujours très demandée ma trilogie "Gustave). Salon des Arts, Lettres et Nature.
Présentation et dédicaces :
- 11/10 Hyper U St Maximin (83) de 10h à 18h
- 14/10 Conférence à la Maison des Associations au Vieux Nice organisée par La poétesse Monique Marta- 18/10 Espace Culturel à Vence (06) de 10h30 à 18h
- 19/10 Cultura Plan de Campagne (13) de 10h à 18h
- 24/10 Espace Culturel Montauroux (83) de 9h à 18h30
- 25/10 Librairie presse de Cagnes S/Mer (06) (de 9H à 12H)
- 8-9/11 salon du livre à St Ambroix (30)
- 15/11 (Matin) Librairie Arcadia Marseille 12ème de 10h à 13h - 15/11 (A.M.) 22ème Carré des Écrivains à Marseille (13) Centre Bourse (FNAC) de 14h à 19h
Voici la couverture de mon septième roman.
Comme le chante si bien Johnny, pour l'écrire "j'ai oublié de vivre".
Mais la vie commence avec vous, avec l'accueil que vous ferez à tous mes personnages de " La clé de l'embrouille", touchants par leur sincérité, drôles par leurs réparties, humains par leur parcours. Un suspense psychologique parti de faits réels.
Je ne remercierai jamais assez, toutes mes lectrices et tous mes lecteurs qui font de ma deuxième vie un enchantement.
« La bonne musique ne se trompe pas, et va droit au fond de l'âme chercher le chagrin qui nous dévore » de Stendhal
Pour toutes celles et ceux qui suivent ma vie d’auteure,
Pour toutes celles et ceux qui me croyaient partie ailleurs
Ailleurs je « l’été » dans mon livre du soir au matin
Du soir au matin, à gratter, peaufiner, terminer enfin !
Ce matin, enfin libérée du joug de l’écriture, je vous livre la quatrième de couverture de « la clé de l’embrouille »
Demain, je vous présenterai la couverture complète.
Demain, Dolorès, Madame, Alain, mes personnages qui m’ont privée d’un bel été, « parce qu’ils le valent bien », iront se faire toiletter, massicoter, pelliculés chez l’imprimeur pour vous séduire.
Libérée ? Stressée ? Heureuse ? Tout cela à la fois.
Quatrième de couverture : Quand le passé se conjugue au présent défaillant, que le futur est désespérément bouché, que l’impératif se fait obsédant, alors « la clé de l’embrouille » prend le contrepied des attentes de Dolorès, Madame et Alain.
Dolorès est employée de maison chez Madame. À première vue tout les oppose : la course aux heures de ménage de l’une et la situation confortable de l’autre ; le caractère timoré de Dolorès et celui excessif de Madame.
Elles vont s’apprivoiser et de leurs différences naitra leur détermination de ne plus accepter leur souffrance comme une fatalité.
Dolorès refuse de payer l’addition pour un raté de la médecine qui l’handicape.
Madame veut réparer une erreur de jeunesse qui la brise.
Quand le hasard met Alain, un jeune homme en quête d’identité sur leur chemin, alors vérités et mensonges se confondent. Qui est qui, et pourquoi ?
Vont graviter autour de ces trois personnages pris dans la tourmente, des acteurs secondaires dont le rôle est principal. C’est la clé de l’embrouille.
Dolorès atteindra-t-elle son but, Madame comblera-t-elle son manque et Alain retrouvera-t-il son identité ?
Annette Lellouche, forte du succès de ses romans qui allient suspense et humour, a voulu pour son septième opus, s’essayer au genre policier. Puisant son inspiration dans des histoires de famille et des faits divers, son imagination fera le reste pour vous entrainer dans ce suspense psychologique. Suivez-la pour une lecture drôle, humaine et haletante jusqu’au dénouement.
Lorsque l’imprévisible rejoint la réalité,
Lorsque l’inattendu répond à l’inespéré,
Alors samedi et dimanche j’ai dédicacé
Dans un endroit de rêve et de sérénité.
Soixante dix auteurs dans un ancien Couvent
Magnifique cadre, ciel bleu et très beau temps
Juste quelques coups de boutoirs du vent
Qui faisaient papillonner nos documents.
Samedi matin, on m’a proposé de remplacer, au pied levé, un auteur, que dis-je une star, qui s’est désistée le matin même avec un motif des plus aléatoires. C’est moche pour toute l’organisation, les bénévoles, les libraires qui commandent les livres. Bref c’est moche, moche, moche ! Je tairai son nom et son excuse bidon. mais je la remercie pour m’avoir permis de vivre un si beau W.E. Pas un simple W.E. de dédicaces comme tant d’autres, un peu mieux ! Un peu plus dans le délire !
Aussi, qu’à cela ne tienne, mettant de côté mon orgueil car jouer les bouche-trous n’est pas ma tasse de thé, le cœur vaillant et la plume au vent, j’ai rappliqué avec une certaine fierté au Couvent ! En passant j’ai récupéré des « Gustave » en dépôt-vente car il ne m’en restait plus guère. Le retirage chez l’imprimeur se fait attendre, vacances du mois d’août obligent !
Dans chaque journée de dédicaces il y a toujours des moments magiques. Des lectrices qui me reconnaissent, d’autres qui me découvrent, d’autres encore qui hésitent, font leur petit tour et contrairement aux habitudes où l’on s’entend dire je reviens et qui ne reviennent pas, sont revenues ! Mes livres étaient engloutis dans les poches de papier fluo offertes par les libraires de l’hyper U. Les très nombreux visiteurs étaient des véritables amoureux des livres.
J’étais donc sur mon petit nuage lorsqu’arrive un membre du Comité de Lecture des Écrivains en Provence de Fuveau. Un salon littéraire prestigieux où j’ai été invitée en 2011 grâce à mon roman témoignage « retourne de là où tu viens », parrainé cette année-là par Mr Patrick de Carolis et dont la Présidente d’Honneur est Mme Edmonde Charles-Roux. Cette lectrice prend mon livre et tout de suite me regarde, "mais vous êtes venue à Fuveau ! Je me souviens de votre livre, nous avons été très émus par votre roman témoignage qui a été élu « coup de cœur » à l’unanimité". Les quatorze membres du Comité de Lecture lisent deux livres par semaine, et donc cette femme a lu mon roman en 2011 et en 2014 elle s’en souvenait encore avec émotion. Mieux ! Elle m’a acheté « Un soir d’été en Sardaigne » et comme l’amie qui l’accompagnait s’en étonnait « avec tout ce que tu lis par Fuveau ? » ma bonne fée lui a répondu : « oui car Madame a une très belle plume ». Quel somptueux cadeau que cette reconnaissance ! J’étais aux anges mais je reste humble !
Pour finir, j’ai manqué de « Gustave ». Comment parler de la trilogie sans « Gustave » ? Mon score de ventes était paraît-il dans la haute moyenne, parmi des auteurs connus et appréciés de longue date. Merci à ma bonne étoile qui planait au-dessus de ma tête.
Pour une fois, ce soir je savoure mon bonheur en ne parlant que de moi. Mais ce serait injuste pour les organisateurs de ce salon.
Je me dois de vous dire que l’accueil était souriant et très chaleureux, l’attribution des places sans souci, la réception du matin avec café et viennoiseries permettant de bien démarrer la journée. On bavarde en se retrouvant entre amis auteurs, on se taquine parfois, on s’apprécie toujours. Le repas du midi, magnifique buffet, excellente cuisine provençale, nappes blanches et vins régionaux. La grande classe ! Sans oublier le fléchage qui dés la sortie de l'autoroute nous a guidés directement au parking réservé aux auteurs. Un sans faute. Vraiment ! Alors mon deuxième merci ira aux organisateurs et bénévoles de ce salon, ainsi qu'à l'équipe de l'espace Culturel de l'Hyper U de St Maximin, sans faire aucunement allégeance.
@Annette: Comment se passe une séance de dédicace? Est-ce nécessaire? Qui la prépare?
Trois questions en une, posées par un ami blogueur lors de discussions sur Linkedin concernant les bestsellers achetés et rarement lus jusqu’au bout, parce que la qualité littéraire suit rarement malgré le battage médiatique. Même si les commentaires amenant d’autres commentaires nous ont éloignés du sujet principal, j’ai promis d’y répondre en rédigeant cet article. Cela pourrait aider les nouveaux auteurs. Cela peut également éclairer les lecteurs qui n'imaginent pas la somme de travail et l'énergie dépensée que représentent, en dehors d'écrire, les séances de dédicace, mais c'est gratifiant (j'ai été la Présidente du premier Salon du livre "Lire en vacances" de l'Espace Culturel à Montauroux ces jours derniers, un pur bonheur le regard des gens, je me sentais "grande" du haut de mes 1m52 mais je reste humble, la route est encore longue) et surtout les séances de dédicace restent le principal moyen de communication (gratuit et constructif) puisque mon stock de livres subit un régime draconien de W.E. en W.E.
Je suis auteure depuis quatre ans et très vite je me suis rendue compte que si je voulais avoir un lectorat, je devais aller à sa rencontre. Il y a plusieurs moyens mais aujourd’hui je vais m’en tenir à celui de la dédicace et vous faire part de mon expérience.
Donc la première question (dans le désordre) : qui prépare la dédicace ?
MOI ! Les contacts viennent d’échanges avec d’autres auteurs. Il faut téléphoner, re-téléphoner et re-re-téléphoner aux Responsables et Organisateurs pour s’entendre dire parfois qu’il faut se déplacer, sinon envoyer sa biographie et bibliographie par mail ou courrier, argumenter, savoir se vendre quand on démarre dans l’écriture. Personne ne viendra me chercher, ni me prendre par la main, ni me supplier. NON !
Dans mes tous débuts, Euréka ! quand un salon prestigieux m’invitait, quand une importante librairie de ma région acceptait de me recevoir, quand les Espaces Culturels, les antres de la Culture me préparaient une table, mes livres posés dessus et une belle affiche annonçant la dédicace. Lire sur l’affiche, mon nom, voir ma photo et la 1ère de couverture de mon livre, me gonflaient de bonheur. Ensuite on s’y habitue très vite.
Deuxième question : Est-ce bien nécessaire ?
Toujours partant de ma propre expérience, sans aucun doute possible c’est plus que nécessaire de dédicacer. C’est impératif ! Sauf qu’il faut le faire avec le sourire, beaucoup de persévérance et de passion. Ma première dédicace fut pénible. Je n’arrivais pas à articuler un seul mot, tétanisée que j’étais, je fus submergée de doutes. Puis vint le déclic à la dédicace suivante où j’étais assise à côté d’une auteure connue dans la région. Elle a ouvert mon roman, a lu quelques phrases au hasard et m’a dit « vous avez une belle plume ». C’était parti ! C’est dans les séances de dédicace qu’on fidélise ses lecteurs.
Troisième question : « Comment se passe une séance de dédicace » ?
En général assez simplement. J’arrive toujours un peu en avance pour m’installer sans stress. Suivant les endroits, on peut avoir moins d’ 1m pour présenter ses livres ou trois fois plus. Il faut agir en conséquence, espace réduit ne pas encombrer de papiers inutiles ; espace conséquent, soigner la présentation des livres. Quelques jours avant la dédicace, je l’annonce sur les réseaux sociaux ou sur mon blog, avec photos du livre à l’appui en rappel, et dans un périmètre assez large autour de la dédicace en placardant des affiches annonçant l’événement. En principe les boulangeries, boucheries, fleuristes, médiathèques jouent le jeu. Reste à l’auteur de sourire, présenter ses œuvres avec passion et confiance.
Question subsidiaire : Quel accueil reçoit-on en dédicace ?
Côté organisateurs, en principe, très bel accueil. Café et viennoiseries à l’arrivée, une petite bouteille d’eau et bien souvent le repas du midi est offert. Les bénévoles sont prévenants et nous assistent avec bonne humeur et gentillesse. Parfois des journalistes sont là et prennent la photo des auteurs qui se trouvera sur le journal régional dès les jours suivants. Les maires également se déplacent pour venir nous saluer ainsi que des bibliothécaires qui achètent nos livres. Bien évidemment pas toujours mais assez souvent !
Côté visiteurs, excellent même quand ils n’achètent rien. L’échange est cordial, l’écoute de qualité. Si on a séduit par la qualité de nos écrits, aucun doute non plus là-dessus, nos lecteurs nous le feront savoir et continueront de nous lire.
Vous l’avez compris dédicacer exige beaucoup de temps, de communication et de don de soi. En récompense « on construit son nid petit à petit, dans du solide ».
« Le talent n’est presque rien et l’expérience est tout, que l’on acquiert à force de modestie et de travail » de Patrick Süskind
Hier clôture du salon du livre « Lire en vacances » de l’Espace Culturel du centre Leclerc à Montauroux.
Lorsque le Directeur de l’Espace Culturel et la Responsable de la Culture Alexandra m’ont proposé de m’associer à l’organisation de ce premier salon, j’ai bien évidemment accepté avec plaisir et fierté.
Je le devais à « Gustave », « Lettre à pépé Charles » et « Charles et Aurélien », ma trilogie fétiche.
Je le devais à toute l’équipe de l’Espace Culturel du Centre Leclerc qui s’occupe si bien de nos livres mais aussi de tout ce qui touche à la Culture, l’informatique, la téléphonie.
Tout d’abord je voudrais remercier tous les auteurs qui ont accepté spontanément et en toute amitié mon invitation de participer à ce premier salon. Et bien sûr merci à la Maison d’Edition SUDARENES qui a répondu à mon appel et surtout qui a accompagné tous ses auteurs.
Un premier salon n’est jamais gagné d’avance et si j’ai l’habitude de dédicacer dans les salons et centres culturels, je n’avais pas l’expérience de la mise en route d’une telle organisation.
Merci à Alexandra, la responsable de l’Espace Culturel pour son accueil (ainsi qu’à toute son équipe) le café, la bouteille d’eau et le repas du midi offerts en toute simplicité. Un coup de chapeau à la Brasserie So John, efficacité, qualité, gentillesse.
L’heure est donc au bilan.
D’expérience je sais qu’il y a toujours des défections parmi les auteurs même dans les plus grands salons où les places sont chères. C’est indéniable et fort regrettable surtout pour les lecteurs qui se déplacent en vain ! Je leur dirai « les absents ont toujours tort » mais cela a fait le bonheur d’autres auteurs qui se sont empressés de combler les défaillances sur le champ.
Les dédicaces se sont passées dans la bonne humeur avec des lecteurs d’abord agréablement surpris par l’événement puis attentifs et ensuite « généreux ».
Le travail des auteurs, des organisateurs a payé. Le Talent aussi j’en suis certaine était présent, modestie oblige. Rendez-vous est déjà pris pour le salon 2ème édition.
La violence dans son quotidien
nous heurte violemment sans trêve.
Seule la nature s’abstient.
L’explosion de fleurs est un rêve
Les agapanthes dressent leur tête
La lavande de mauve vêtue fait la fête
Resplendissent les arbres fruitiers
De fruits gorgés et mûrs à souhait
Dans ce monde fanatique et violent
Les abeilles butinent, batifolant
Les oiseaux volettent de branche en branche
Et dans leur nid par amour se penchent
Mes yeux se promènent captant la lumière
Mes sens en éveil jouissent librement
Pendant ce temps tombent des enfants
Et meurent dans un cri d’une vie éphémère
Au nom de quelle idéologie ?
Au nom de quelle folie ?
Au nom de quelle stupidité ?
Au nom de quelle cupidité ?
Au nom des miens
Au nom des tiens
Au nom de tous
Disons STOP !
Une petite semaine de vacances pour me ressourcer en famille, évacuer fatigue et stress, avant d'affronter les prochains salons de l'été.
Le prochain salon aura lieu à Montauroux, là où est née ma trilogie "Gustave" et je suis mise à l'honneur !
Je suis vraiment contente car le travail a porté ses fruits. Mon septième roman est terminé. Je le relirai tranquillement à mon retour. Il faut qu'il soit meilleur que les autres. Je n'ai pas le droit de décevoir.
Un grand merci à toutes celles et ceux qui m'ont encouragée et qui me suivent.
Bonnes vacances à vous. Annette
Vendredi nous avons posé nos pinceaux pour lever nos verres, à l'amitié et à la magie de l'art dans toute sa créativité. Nous nous sommes souhaités de bonnes vacances et un ressourcement pour de nouvelles aventures créatives. Merci au SRAL (Saint Raphaël Accueil Loisirs) merci à Thessy et à toute son équipe dévouée. Merci à nous qui nous retrouvons toutes les semaines avec bonheur...
Autour du pot annuel de l’amitié
Une année de créativité s’est achevée.
Allègrement, séance après séance,
Nos pinceaux petits et gros ont dansé
Nos toiles ont pris des couleurs denses
Et l’imagination s’est laissée emporter
La palette de couleurs à l’infini
À nos travaux a donné vie
Par le regard et par l’esprit
Par l’espoir et par l’envie
La main tremble parfois
Le cœur souvent est en émoi
Le regard lui seul perçoit
Ce qui se cache derrière notre Moi
Lorsqu’enfin à la touche finale
La réalisation rejoint l’original
Dans notre bulle nous retranchons
Rêvant déjà des futures créations.
Dans la joie et la bonne humeur
Les verres ont remplacés les couleurs
Bleu d’azur, jaune soleil de remerciement
A Martine pour son accompagnement
"L'oiseau a son nid, l'araignée sa toile et l'homme l'amitié" de William Blake
Aujourd'hui, avec ce temps qui ne ressemble pas à ce qu'il devrait être, les giboulées de mars en juin, des grêlons qui tombent du ciel comme s’ils étaient crachés par le diable dans une envie de tout dévaster, les oiseaux en perdent leur nid, les toiles d'araignées sont ravageuses et envahissent nos espaces comme des rapaces.
Et nous les humains avons la chance d'avoir l’Amitié comme Colonne Vertébrale de Vie.
Ah l'amitié ! L’amitié qui se pare de multiples visages.
Tout d’abord l’amitié depuis l’enfance. C’est la plus belle quand elle dure et perdure, malgré les aléas de la vie.
L’amitié rencontrée par hasard et qui résiste au temps parce que le hasard fait bien les choses.
L’amitié exceptionnelle qui a une résonance toute particulière. Un flash d’amitié qui se pratique sans raisonnement rationnel. En général la durée est immaîtrisable et le souvenir immarcescible.
L’amitié virtuelle, nouveauté du siècle avec tous ces réseaux sociaux. Que vaut-elle ? Le prix qu’on veut bien lui en donner.
Comme je n’ai pas d’ami(e) d’enfance avec tout ce qui l’accompagne, la maison d’enfance, l’école de mon enfance et tous les inconvénients et conséquences du déracinement…
Comme j’aime rencontrer des ami(e)s par hasard, que le hasard est toujours heureux et m’offre une très belle qualité de vie, je les chouchoute même si parfois le temps me manque.
Comme l’amitié exceptionnelle, d’une qualité rare, qui telle la foudre vous électrise et vous emporte dans une autre dimension ; celle qui vous fait passer du rire aux larmes, qui d’un mot apaise, d’un silence inquiète. On croise les doigts et on prie pour que ça dure, longtemps, longtemps…
Que me reste-t-il ? Je perds un peu le fil de l’amitié… Ah oui j’oubliais : l’amitié virtuelle.
Tant décriée par tous mais qui sans conteste, finalement, occupe une place importante dans notre vie. Comme ce lecteur que je n’ai jamais rencontré et qui a eu l’extrême gentillesse de m’envoyer une carte postale de Vence avec ces mots : « Madame, lors de vacances passées récemment dans votre région, j’ai eu l’opportunité de lire « Un soir d’été en Sardaigne ». C’est un très beau roman, écrit avec force et avec maîtrise. Voilà un livre tout à fait réussi et fort agréable à parcourir. Bravo donc…. » !
Comment a-t-il eu mon adresse ? Comment connaît-il mon véritable prénom noté sur l’enveloppe ? Internet et sa magie, Internet et ses mystères.