Le hasard... 2

04/08/2015 15:54 par ninanet

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    Le hasard... 2

    04/08/2015 15:54 par ninanet

"Les hasards de notre vie nous ressemblent" de Elsa Triolet

Le hasard faisant partie intégrante de mon existence, et un hasard ne venant jamais tout seul...

Ce matin un article sur le Var Matin me comble de joie.

Certes ce n'est pas la première fois que je passe sur le Var Matin mais là, côtoyer Annie Bruel, une grande romancière du PACA, qui m'a fait l'honneur de préfacer mon roman "retourne de là où tu viens", de Martine Pilate qui au hasard d'une dédicace à mes tous débuts, m'a initiée au savoir faire du monde littéraire et à toutes les deux je leur en sais gré, je ne peux que me dire que le hasard fait bien les choses et qu'il provoque les meilleures rencontres.

Merci à ma ville et à Isabelle Riper la Directrice de la Médiathèque de Saint Raphaël. Sans leur confiance et leur amour de la Culture, je n'en serais pas là.

Au passage, merci à tous les libraires, les bénévoles des salons du livre, qui nous accueillent avec beaucoup d'amitié.

Mon huitième roman prend vie tout doucement grâce à toutes ces rencontres que le hasard met sur mon chemin d'écriture.

Merci à mes lectrices et lecteurs qui, au hasard de mes pérégrinations d'auteur, sont là pour emporter un bout de moi. Sans lecteurs, pas d'auteurs !

Le hasard...

03/08/2015 22:16 par ninanet

  • Le hasard...

    Le hasard...

    03/08/2015 22:16 par ninanet

" Il n'y a pas de hasard, il n'y a que des rendez-vous" de Paul Éluard

 

Depuis quelques mois, je n'arrive plus à écrire. Pour écrire, j'ai besoin d'être accompagnée de musique mais mon cœur n'est pas à la fête et donc mon poste de radio reste muet. Et pas de musique, pas d'écriture. Je tourne en rond.

Un auteur n'est pas toujours compris. Il dérange parfois, suscite de la jalousie souvent. Il ne lui suffit pas de se battre pour se faire accepter, il lui faut également s'expliquer encore et encore. Puis vient le temps du doute, du questionnement, des pourquoi et comment, des proches qui se détournent. Puis vient l'envie de baisser les bras, de tout envoyer promener et de se laisser aller à une mélancolie qui fort heureusement ne sera que passagère.

Il a suffi d'une première rencontre due au hasard, celle d'un ange, pour retrouver la musique des mots et redonner une impulsion à ma plume. Mais notre deuxième rencontre ne devait plus rien au hasard mais à un rendez-vous des plus apprécié.

L'ange, en la personne d'une adolescente, Laëtitia au visage expressif et au sourire épanoui, née à Tourrettes. adore ce village, moi aussi. Elle adore Pagnol et moi aussi. Et bien sûr ma trilogie "Gustave" l'a séduite au point de m'envoyer un mail enthousiaste.

Voici quelques extraits de sa chronique, digne d'une chroniqueuse littéraire :

"Je vous adresse ce message afin de vous faire part de mon ressenti face à la magnifique trilogie que vous avez écrite. J'ai pris beaucoup de plaisir à lire chacun des trois livres. J'étais tellement plongée au cœur de l'histoire que j'ai lu la trilogie en une semaine...

Les péripéties de Simon et le décor provençal m'ont rappelé les Souvenirs d'enfance de Marcel Pagnol, un auteur que j'aime beaucoup lire.  Votre style d'écriture est agréable à lire et permet par de nombreuses descriptions de procurer une émotion au lecteur. Cette émotion est renforcée dans Charles et Aurélien...

Berthe est aussi un personnage phare de la trilogie qui est tout aussi attachante grâce à l'amour qu'elle porte pour Pépé Charles. Ce couple prouve que l'amour n'a pas d'âge par son universalité. De plus, le message est d'autant plus fort par la présence de Gustave le chêne, symbole de longévité, de force, de sagesse, de générosité et de fidélité...

Enfin, je voulais également vous dire que la lecture de cette trilogie m'a permis d'outrepasser ma motivation pour écrire mon début de roman. Certes, je n'écris pas à une vitesse incroyable mais j'avance à mon rythme afin de donner un peu plus vie à chaque nouvelle page à mon personnage principal. Je viens juste de passer le cap de la vingtième page..."

Ce n'est pas par hasard que l'on décide d'écrire, c'est pour avoir de beaux rendez-vous comme avec Laëtitia et tant d'autres, si, en plus, cela peut déclencher des envies d'écriture ou les encourager, alors je me sens bien dans ma peau d'auteur. 

Musique maestro, j'y retourne !

Un grand merci Laëtitia.

La femme au tableau

31/07/2015 18:06 par ninanet

  • La femme au tableau

    La femme au tableau

    31/07/2015 18:06 par ninanet

"Un des plus grands bonheurs de ce monde, c'est l'amitié. Un des bonheurs de l'amitié, c'est d'avoir une personne à qui confier ses secrets". (Les plus beaux proverbes).

Avec mon amie Claire, nous avons pris pour habitude de programmer un après midi par semaine pour pouvoir nous raconter. Autour d'un café nous refaisons le monde. Ces temps-ci nos tracas s'accumulent. Pour ma part, mes livres, mes séances de dédicaces ne suffisent plus à me sortir de ma torpeur.

Aujourd'hui Claire a décidé d'un changement de programme. Nous irons au cinéma. Excellente idée lui ai-je répondu. Et nous voilà toutes les deux, après une bonne heure de bavardage dans le coin café du cinéma, bien calées dans nos fauteuils, au frais et attendant avec impatience de voir "La femme au tableau".

"Une septuagénaire américaine d'origine autrichienne mène un combat incroyable pour récupérer les tableaux de sa famille, volés par les nazis.

Elle engage un jeune avocat, fils d'amis de la famille. Tout d'abord il ne pense qu'à l'appât du gain. Récupérer le plus beau tableau de Gustave Klimt lui rapporterait gros. Puis lors du voyage à Vienne, il se sent Autrichien, pense à ses grands-parents déportés en pleine nuit. Il se prend au jeu du pot de terre contre le pot de fer. Il veut rendre à cette femme ce qui lui appartient de droit : le portrait "Adèle" de Gustave Klimt  est celui de sa tante Adèle. Pour cette femme c'est une histoire de famille, pour les Autrichiens, ce tableau est un patrimoine d'une extrême importance. Ils refuseront toute transaction avec l'héritière pour rendre le tableau.

C'est une histoire vraie et nous adorons les histoires vraies. Le peintre est Gustave Klimt et j'adore Gustave Klimt. J'ose avouer qu'avant d'être allée à Vienne, il y a quelques années de ça, et d'avoir admiré une exposition qui lui était entièrement dédiée, je n'étais pas spécialement attirée par la peinture. J'ai été subjuguée par ses tableaux et je crois lui devoir ma forte attirance pour la peinture.

Mais au-delà des critiques qui ne sont pas très élogieuses, au-delà du jeu des acteurs que nous avons trouvé magnifiques, parce que beaux, parce que touchants, parce que troublants dans leur détermination, au-delà de l'histoire où la justice passera, c'est le partage que nous en avons fait avec mon amie Claire. Nous étions émues, écrasant nos larmes discrètement, applaudissant presque lorsqu'une réplique faisait mouche, riant quand le méchant s'est laissé battre grâce à la complicité d'une femme d'un certain âge et de son jeune avocat.

Amitié... Amitié... Un après-midi sous le charme de l'Amitié.

Tout a une fin...

15/07/2015 21:28 par ninanet

  • Tout a une fin...

    Tout a une fin...

    15/07/2015 21:28 par ninanet

Me voici de retour après quelques jours de repos en famille pour fêter le deuxième bachelier de la descendance. Du repos, des repas arrosés de champagne, de la chaleur et le lâcher prise après cette année bousculée en dédicaces.

Je n'ai pas lu, pas peint, pas écrit, j'ai vécu dans une euphorie totale pour me souvenir que la vie est belle sans contraintes, sans contrariétés, sans complaisances, sans, sans, sans... Juste égoïstement profiter du temps qui s'écoule sans sablier...

Dés demain jeudi et samedi, mes dédicaces reprennent à l'Espace Culturel du Centre Leclerc à Montauroux (Var) pour le deuxième salon du livre.

 


03/07/2015 15:06 par ninanet

  • 03/07/2015 15:06 par ninanet

 Par cette chaleur où rester devant son écran pour écrire est une gageure, j'ai le plaisir de décrocher de mon huitième roman en cours, pour vous faire partager  la chronique de Jacques Brachet d' Evasionmag.com concernant mon policier "La clé de l'embrouille".

Je l'en remercie bien vivement au passage.

 

Annette LELLOUCHE : La clé de l’embrouille (a5éditions)
"Annette Lellouche nous a habitués à des romans qui naviguent entre suspense et humour.
Pour ce nouvel opus, elle a un peu mis de côté l’humour pour mieux s’aventurer dans une histoire assez rocambolesque mais qui va nous tenir en haleine jusqu’à la dernière page...

... "C’est une histoire très compliquée qui, à chaque chapitre rebondit pour mieux nous surprendre en apprenant un nouveau fait, un nouveau mystère.
Ca n’est pas pour rien que ce roman s’appelle « La clé de l’embrouille » et Annette Lellouche sait à merveille nous embrouiller... 

... L’on sent qu’elle jouit de ces situations qui sortent de son imagination plus que fertile, dans un style très fluide car elle a un belle plume, et sait s’en servir pour… nous embrouiller à souhait !
Dur dur de quitter ce roman avant la fin...

 

Pour lire l'intégralité de la chronique : http://evasionmag.com

Je voudrais juste ajouter que le début et la fin de l'histoire ne sont pas issus de mon imagination, mais du vécu d'une personne de mon entourage. Eh oui ! Dame Nature distribue les cartes à son gré...

Pour commander votre livre de l'été et partir dans une embrouille que vous ne serez pas prêts d'oublier... envoi sous 48h en port franco : http://a5editions.fr

 

La première fois...

22/06/2015 18:51 par ninanet

Il y a toujours une première fois.

La première fois des premiers pas, la première fois des premières chutes, la première fois des premières révoltes, la première fois d'un regard amoureux, la première fois d'un rejet, la première fois tout au long de notre existence... jusqu'à la prochaine fois.

En ce dimanche de fête des pères, je dédicaçais pour la multitude de premières fois mais l'émotion n'était pas la même, pas au rendez-vous.

À Cucuron, petit village du Lubéron, la fête était à la fête. La fête de l'Eau, des Artistes, de la Musique. Ce n'était pas ma première fois à Cucuron. L'accueil est toujours aussi chaleureux, respectueux des auteurs, ma valise vidée de mes livres est remplie de cadeaux des organisateurs, un sans faute qui mérite des applaudissements et de vifs remerciements à Odile et Philippe.

Le décor était bien là, immuable, inconditionnel, fidèle à ma mémoire avec ses ocres, ses lavoirs, ses champs de lavande, ses vignes et bien sûr ses bécasses des bois, éperviers ou roitelets.  Ses amoureux de la  région, ses habitants vieillissants et sa jeunesse qui reprend le flambeau, ses myriades de touristes venus de toutes parts, Allemagne, Hollande, Angleterre... pour s'émerveiller soit pour la première fois soit pour redécouvrir encore et encore cette douceur de vivre.

Mon coeur n'était pas à la fête malgré les belles et très nombreuses dédicaces, les beaux sourires, les encouragements et les félicitations qui se succédaient.

Une première fois pour un aussi beau palmarès.

Cependant, toute la tristesse du ciel pourtant très ensoleillé ennuageait mon plaisir.

En d'autres premières fois j'aurais été comblée, portée aux nues mais là "un seul être vous manque et la terre est dépeuplée".

Pour la première fois de toute mon existence, TU n'es plus là pour te souhaiter "bonne fête papa". 

Le passé...

19/06/2015 18:25 par ninanet

  • Le passé...

    Le passé...

    19/06/2015 18:25 par ninanet

Plus qu'un sujet du bac, le débat est lancé avec cette interrogation :

"Suis-je ce que mon passé a fait de moi" ?

Le passé est-il plus puissant que le présent ou le futur ? Nous domine-t-il de tout son poids telle une forteresse gardant jalousement les secrets, les non-dits, les craintes, les joies et les peines ? Nous façonne-t-il magistralement pour un devenir insoupçonné ? Nous rattrape-t-il quand on veut le fuir désespérément ? 

Mon passé, qu'as-tu fait de moi ? Ai-je été un jouet entre tes mains ? Ou ai-je voulu t'échapper pour aimer, être aimée. Prouver, toujours prouver... Douter, toujours douter... Mais encore... Résister pour exister...

Mon passé, chef incontesté de mon destin. Chef des armées, de toutes les luttes et de toutes les adversités. 

Mon passé, toutes les portes et fenêtres de la forteresse claquent. Je suis en plein courant d'air et j'aime ça ! 

Mon passé, avec toi dimanche à Cucuron. La preuve par l'absolu.

Salon du livre à Cagnes-sur-Mer

14/06/2015 21:39 par ninanet

  • Salon du livre à Cagnes-sur-Mer

    Salon du livre à Cagnes-sur-Mer

    14/06/2015 21:39 par ninanet

"Le courage et la joie sont deux facteurs vitaux". de Anne Franck

Salon du livre à Cagnes-sur-Mer. Deuxième édition.

Ce salon a moins bien démarré que l'an dernier où pas même installée je dédicaçais déjà et j'avais fini en tête des dédicaces dans la journée.

D'une année sur l'autre, le paysage change. Je parle, vous l'avez compris, du paysage littéraire. Nous appréhendions les orages, nous avons eu du soleil. Nous étions donc très motivés mais sans visiteurs, les auteurs se trouvent bien démunis...

Je ne triche jamais et je ne vous dirai pas que c'était un magnifique salon.

Je peux souligner qu'à midi je n'avais pas dédicacé un seul livre. Cela ne m'était jamais arrivé depuis le début, même lorsque je présentais timidement mon premier recueil de nouvelles et de poésies que je réédite très prochainement.

Sauvés par le gong, le maire, l'apéritif, les gens sont arrivés peu à peu. Quelques dédicaces ont suivi. Notamment une petite-fille Annie qui voulait "Lettre à pépé Charles" pour l'offrir à son papa. Je l'ai embrassée sachant qu'elle me porterait chance... Elle s'appelle Annie cela ne s'invente pas ! Puis le calme plat à l'instar d'un chanteur très latino, glamour, qui a joué de sa voix pour nous animer pendant qu'on mastiquait nos jambons beurre, pizzas ou petits biscuits, faire danser, eh oui ... mettre de l'ambiance quoi.

Jusqu'à 16h ! Serge l'Australien s'est approché de mes livres et m'a expliqué dans un français honorable qu'il n'achèterait pas de livres car il ne lit pas en français et sa femme encore moins. Qu'à cela ne tienne ! Il m'en faut plus pour me désarmer ! Je lui ai présenté ma trilogie provençale, mon sucre d'orge, mon cheval de bataille, mon "Gustave" l'arbre génial, magique, l'ami de tous et j'ai répondu avec un grand sourire dans les yeux (oui ...) - Prenez "Lettre à pépé Charles" et vous ferez d'énormes progrès - Il a éclaté de rire et bien sûr me l'a fait dédicacer "à Serge l'Australien". Et sa femme a voulu nous prendre en photo pour la montrer aux enfants en rentrant... La preuve par l'image... Serge m'a même proposé, s'il arrivait à me lire, de me traduire en anglais ! YES ! Et c'était parti, très peu de monde, mais des visiteurs qui finalement se sont laissés séduire par nos présentations, comme Laura (prononcez LAORA) une très jolie Italienne qui parlait un français impeccable avec moi et s'adressait à ses deux garçons en italien (que je parle et donc cela a créé un lien). Elle a flashé sur la trilogie car elle m'a avoué être venue à Cagnes-sur-Mer pour adopter un chat mais elle est allergique et n'a pu le prendre, donc le hasard m'a conduite directement à vous, je vais adopter votre chat (personnage important de la trilogie) a-t-elle conclu, heureuse de repartir avec mes livres.  

Mon score in fine a été tout aussi honorable que le français de mes nouveaux lecteurs Australiens, Italiens et même deux Allemandes qui sont parties avec "retourne de là où tu viens" et "La clé de l'embrouille" me disant que les histoires du Sud de la France les intéressent.

Rien ne sert de courir ... il faut partir à point et surtout ne jamais baisser les bras en gardant sa confiance.

Voilà dimanche prochain, je vous donne rendez-vous à Cucuron au salon de la "Fête de l'Eau", des Arts et des Lettres, repris en main par Odile et Philippe. Cucuron dans le Lubéron, est un des beaux plus villages que je connaisse dans l'arrière pays. Vraiment il vaut le détour ! Venez nombreux pour que la fête continue !

Ce qui me gêne...

11/06/2015 21:48 par ninanet

"Ce qui me bouleverse, ce n'est pas que tu m'aies menti, c'est que désormais, je ne pourrai plus te croire" de Nietzsche

Ce qui me gêne dans cette histoire, c'est le mensonge orchestré, applaudi et instrumenté, c'est pour la bonne cause ! Encore un droit dans ses bottes ! 

Ce qui me gêne dans cette histoire, c'est la naïveté d'un premier ministre qui s'imagine plus malin que les autres et qui après nous prend pour des andouilles... Et c'est lui qui doit prendre les bonnes décisions pour le pays ???? 
 

Ce qui me gêne dans cette histoire, Mr Vals vous êtes Français et j'aurais accepté que vous alliez au bout du monde pour une finale des bleus mais pour le Barça, vous auriez dû demander aux Espagnols de vous défrayer du déplacement, pour l'honneur que fait un premier ministre Français se déplaçant pour cette équipe, en plein congrès PS qui plus est. 
 

Ce qui me gêne dans cette histoire, savez-vous que vous avez créé une jurisprudence contraire à la morale ? En effet un jeune pris dans un supermarché en train de voler, promet de rembourser un quart du prix, il avait faim de nouilles comme vous de foot, on le relâchera. C'est normal. Un automobiliste qui roulait trop vite pour aller à un RDV d'affaires un W.E. en emmenant sa secrétaire, faudra juste qu'il explique que c'était pour sauver sa société. Il s'excusera publiquement, et négociera son amende ou le nombre de points retirés puisque c'était pour le travail, pour ne pas mettre des employés au chômage. De qui se moque-t-on ?

Ce qui me gêne dans cette histoire : La justice française est-elle la même pour tout le monde qu'on soit dans le bocal des agités burlesques ou dans le bocal des sans dents ?

Fred Melchior 2

10/06/2015 17:17 par ninanet

  • Fred Melchior 2

    Fred Melchior 2

    10/06/2015 17:17 par ninanet

Mon dauphin ne connait pas Internet et ses dérives. Il est heureux !

Fred Melchior a disparu comme il est venu. 

Grâce à la mobilisation générale, le faux Fred Melchior a été délogé de Facebook.

Le vrai Fred Melchior a tout de suite été alerté et a fermé sa page en s'empressant d'envoyer des alertes à tout son fichier pour ne surtout pas ouvrir le lien qu'il avait aussitôt supprimé, mais trop tard, pour faire des dégâts chez les autres.

Il faut retenir la leçon suivante et surtout bien l'expliquer à la jeunesse :

Ne jamais ouvrir un lien de quelqu'un qu'on ne connait pas, même si on le connait, s'assurer que c'est bien la personne connue qui l'a envoyé en lui téléphonant tout de suite. Ceux qui connaissaient Fred Melchior savaient qu'il n'était pas du genre à poster des vidéos porno et même des photos... c'est ce qui les a alertés. Ça parait bête mais c'est efficace.

Soyons méfiants et  prompts à réagir pour le bien de tous.