Dédicace

09/07/2016 09:16 par ninanet

  • Dédicace

    Dédicace

    09/07/2016 09:16 par ninanet

Après une dizaine de jours à vivre la mamie heureuse de gâter son petit-fils,

Je suis en dédicace aujourd'hui samedi 9/7 au Cultura de Puget-sur-Argens de 10h30 à 18h. Des livres pour se délivrer des soucis de la vie quotidienne, pour bronzer sur la plage ou dans le fond du jardin ou lire en famille le conte Premières Lectures "Gracieuse et Panache sont amis. À bientôt. 

"Peu... mais rare"

23/06/2016 15:51 par ninanet

  • "Peu... mais rare"

    "Peu... mais rare"

    23/06/2016 15:51 par ninanet

« Le bonheur c’est savoir ce que l’on veut et le vouloir passionnément » de Félicien Marceau

Que penser du Premier Salon du Livre à Lorgues du 18 Juin ?

Je n’en ferai pas tout un « pataquès ».  Nonobstant !

Les points forts :

-       Les retrouvailles sympathiques entre auteurs, des amitiés qui évoluent dans le bon sens.  Et c’est fort appréciable car « être reconnu des siens » est une mise en confiance qui donne envie d’aller plus avant.

-       Un très  beau soleil, bien qu’il se soit fait voler la vedette par dame pluie en fin d’après-midi. Sans importance car nous étions dans une très belle salle.

-       Des lecteurs à l’écoute, à la recherche de livres les sortant du matraquage médiatique, ravis d’échanger et de partager avec des auteurs locaux.

-       De belles dédicaces,  pas pour tous hélas… Il ne suffit pas d’écrire, il faut aussi mettre son ego dans sa poche, donner de sa personne, de sa passion, de son envie de transmettre. Marquer sa différence ! Et ça malheureusement, cela ne s’apprend pas, c’est inné…  (je sais que je vais me faire des ennemis, tant pis, j’ai l’habitude).

Les points faibles :

-       Aucune communication à l’exception de quelques affiches apposées sur quelques vitrines de commerçants. Aucune banderole, aucun article sur le journal annonçant le Salon du Livre. Dommage car le Var Matin n’est jamais en reste pour offrir un espace publicitaire pour ce genre d’événements et c’est un journal localement très suivi. Un loupé !

-       Hélas ce ne sera pas un scoop : « peu » de monde. Lorgues est un petit village certes, mais il semblerait que la priorité ait été donnée aux commémorations du 18 Juin le matin, suivies de ripailles… À l’exception des Lorguaises et Lorguais qui ont fait le déplacement pour nous rencontrer. « Peu » peut vouloir dire « rare » et dans ce cas précis la rareté avait quelque chose de précieux et d’inestimable. Je ne m’en plaindrai pas, j’aime les challenges… Et les Lorguais(es) ne s’y sont pas trompés. Je tenais à les remercier. Voilà qui est fait !

Je pense que l’organisateur tiendra compte de nos conseils pour une saison 2 à Lorgues  réussie.

La haine

20/06/2016 17:04 par ninanet

"Regretter ce que l'on aime est un bien, en comparaison de vivre avec ce que l'on hait" de Jean de La Bruyère

La haine est le pire des sentiments chez l'homme. Ne la laissez pas vous habiter, elle finira par vous détruire.

Fêtons les papas !

17/06/2016 11:06 par ninanet

  • Fêtons les papas !

    Fêtons les papas !

    17/06/2016 11:06 par ninanet

“La magie des livres est une drogue, un sortilège, une échappatoire, aussi puissante, aussi envoûtante que le Pays imaginaire de Peter Pan » de Tatiana de Rosnay.

Fêtons les papas !

Je serai en dédicace au Centre Culturel à Lorgues (83510) ce samedi 18/6/2016 de 10h à 18 h. Pour la fête des papas, plusieurs de mes romans alliant suspense, humour et amour, partant d’histoires vraies ou partiellement vraies feront leur bonheur… Plus dédicace personnalisée et marque-page offert. 

Les papas

13/06/2016 18:16 par ninanet

  • Les papas

    Les papas

    13/06/2016 18:16 par ninanet

« On n’a pas le temps, si brève est la vie, pour les chamailleries, les excuses, l’animosité, les appels à rendre des comptes, on n’a que le temps pour aimer, pas un instant de plus pour ainsi dire, que pour ça, » de Mark Twain.

C'est la deuxième année que mon papa n'est plus là pour la fête des pères. Dimanche ce sera sans lui.

Alors avant qu'il ne soit trop tard, n'oubliez pas dimanche le petit geste qui lui fera plaisir, un livre, un parfum, une chemise, une cravate... peu importe, seule la pensée compte ! accompagnés de trois petits mots en toute simplicité : "je t'aime papa". 

Merci pour tous les papas.

 

Du rire !

10/06/2016 09:19 par ninanet

  • Du rire !

    Du rire !

    10/06/2016 09:19 par ninanet

Si j'avais le pouvoir d'oublier, j'oublierais. Toute mémoire humaine est chargée de chagrins et de troubles.” de Charles Dickens

Envie de rire ? Mais de rire aux éclats ? De rire pour de « vrai » et se laisser porter ?

Envie de savoir ce qui se passe dans les familles ? Celle des autres, pas la vôtre. Oui mais la nôtre, la vôtre, qu’est-ce que ça change ? Il y aura toujours un frère, une sœur, une mère, un amant subsidiairement… Sauf que les situations diffèrent suivant la mère, la sœur, l’argent, la jalousie, ah oui la jalousie entre frères et sœurs tout le monde connaît. Mais si ! Fouillons un peu dans nos mémoires ! La chouchoute, le préféré opposés à la mal aimée, au souffre douleur, les grincements de dents, les règlements de compte à chaque réunion familiale… Comment vous ne connaissez pas ? Alors allez vite voir le film « retour chez ma mère » et vous saurez ce à quoi vous avez échappé ou ce que vous aurez manqué. Parce qu’une fratrie, c’est quelque chose ! Du dur. Du pur. Du sûr. Mais aussi des larmes, des regrets, des frustrations, des tristesses et parfois de la haine. Et cette haine, tel l’ouragan, détruit tout sur son passage. Mais pas là, pas dans « retour chez ma mère ». Ouf et ça fait du bien.

Du déjà vu ? Je ne crois pas. Un air de « bûche (de Noël) » de  Danièle Thompson ? Non ! La Famille Bélier ? Non ! Un été à  Osage County » ? Non je vous dis ! Un autre regard, plus tendre, plus consensuel, plus exigeant aussi !

Famille je vous hais, mes emmerdes, mes amours ! Un trio de femmes fortes et fragiles, un duo d’hommes trop gentils… Tout le monde se cherche… Sauf l’Amour. Il est dans chaque réplique, dans chaque respiration, dans chaque personnage, dans chaque balbutiement. Hélas aussi perceptible soit-il, il est inaudible car  la souffrance crie plus fort et la cacophonie est totale. L’amour dérange, encombre, grince des dents, surprend, attaque, susurre… On rit même quand c’est triste à pleurer mais n’est-ce pas là le propre de la comédie, faire rire par l’âcreté de la réalité, la vie projetée sur grand écran, la vérité qui vous assaille, un miroir qui vous renvoie à  « vos » vérités. Ces vérités que parfois on a déniées, accumulées au long des années. J. Balasko, A. Lamy et M. Seigner juste comme il faut chacune dans son rôle. On rit moins à la fin, c’est l’émotion qui prend le pas.

Puis quand tout s’arrête, que la salle allume ses néons blafards… La lumière est crue !

"Ils sont partout"

04/06/2016 13:48 par ninanet

  • "Ils sont partout"

    "Ils sont partout"

    04/06/2016 13:48 par ninanet

« Parce que c’est ça votre force, votre différence, cette urgence à vouloir absolument vivre en soi et pas à côté de soi et devenir quelqu’un, sans oublier d’où on vient et où on va. Et au bout d’un certain nombre d’années, on se dit que si on n’était pas parti de là, on aurait peut-être laissé tomber » de Steve Suissa

C’est un peu le résumé du film de Yvon Attal « Ils sont partout ».

Hier avec mon amie Claire nous avons retrouvé notre rituel d’aller au cinéma. Il y avait longtemps, des soucis familiaux, des empêchements, mes dédicaces puis les retrouvailles. Le bonheur simple d’une amitié simple et sincère.

Nous voici toutes deux donc à discuter à bâtons rompus pour rattraper le temps perdu. Se rattrape-t-il ? Dans le noir d’une salle de cinéma, et dans l’attente de la projection du film, le temps nous file entre les doigts, entrecoupé de rires et d’émotion. Puis silence, le film ! Quel plaisir d’entendre mon amie Claire s’esclaffer comme une petite fille à chaque répartie, chaque cliché…  Parce que oui ce film n’a pas été tourné pour faire pleurer dans les chaumières et encore moins sur les pauvres Juifs… Non, non, non ! Mais pour montrer le ridicule de notre civilisation qui malgré les années, que dis-je les siècles, n’a guère évoluée avec les clichés qui ont la dent dure… Sur ces 0,2% de Juifs de la population mondiale qui continuent à déranger.

Yvon Attal obnubilé par des attaques répétées et parfois personnelles sur les Juifs, s’épanchent deux fois par semaine auprès de son psy.  Il pose des questions existentielles qui en deviennent obsessionnelles sans obtenir de réponses. Y-a-t-il des réponses à la bêtise humaine ?  Entre nous, les réponses il les connaissait.

La dérision, l’humour, le sarcasme, l’exaspération ne résolvent rien tant que « l’homme restera un loup pour l’homme ». Tant que le proverbe « l’union fait la force » restera lettre morte. Tant que le 10ème commandement « Tu ne convoiteras pas… » restera ignoré.

Il n’a rien inventé, et moi encore moins, sauf qu’à penser tout haut, il force à réfléchir, aussi bien les Juifs, les Catholiques, les Musulmans, les Roux, les Blondes, les Gros… Personne aujourd’hui n’est à l’abri d’une attaque, je l’ai été moi-même plus d’une fois et même s’il est difficile de se relever, même si on en garde à vie les stigmates, à chaque fois on en ressort plus fort. Croyez-moi ce ne sont pas de vaines paroles ou des paroles de consolation mais c’est la réalité.

Au vu de ce film, les extrémistes et ou intégristes, les jaloux, les faibles et lâches, le deviendront peut-être un peu plus car on leur vole leur fond de commerce. Ils ont besoin de se repaître du sang et des larmes de leurs victimes et d’éructer pour exister. Mais vous remarquerez qu’ils n’ont jamais gagné une seule victoire !

Yvon Attal j’ai adoré ton film (entre pieds noirs séfarades on peut se tutoyer) mais une image m’a terriblement choquée, même si elle était très belle : les sublimes fesses de ta femme en string noir… Pas du tout à mon goût dans un tel film ... mais pas pour ces messieurs... qui en redemanderont. C'est comme rajouter du sel dans un plat déjà salé pour emporter "la gueule"... Le coup de caméra à trinquer de trop.

logique féminine...

31/05/2016 11:03 par ninanet

  • logique féminine...

    logique féminine...

    31/05/2016 11:03 par ninanet

« Le rire est une bouée de sauvetage » de Michel Serrault Une logique toute féminine pour une petite histoire drôle reçue d’une amie et que je partage : Un couple de juifs marocains âgés a acheté un ventilateur. 
L'homme le met en permanence fixe sur lui.
Vendredi soir arrive et Soulika sa femme lui dit - Massoud, laisse le ventilateur et va à la synagogue"
. - Massoud lui répond : ok j'y vais, mais ne t'avise pas de toucher au ventilateur ! Dès qu'il quitte la maison, Soulika curieuse commence à examiner le ventilateur. Soudain elle presse sur le bouton du haut et le ventilateur commence à tourner...droite, gauche, droite, Soulika essaye de le remettre en fixe mais n'y parvient pas, 
elle sait que bientôt Massoud va revenir de la synagogue ... wayy wayy wayy alyaaa ... 
Massoud arrive et voit le ventilateur tourner de gauche à droite. 
Il se met à hurler - Soulika ! 
 Soulika arrive tranquillement... - 
Qu'est-il arrivé à mon ventilateur" ? 
 - Soulika lui répond : Je ne sais pas....dès que tu es parti, il a commencé a te chercher !

La fête des mamans

29/05/2016 15:51 par ninanet

  • La fête des mamans

    La fête des mamans

    29/05/2016 15:51 par ninanet

« On ne peut pas exister sans être aimé » de Romain Gary

Ma journée de dédicaces à Montauroux était un peu surréelle. Je ne parlerai pas de l’accueil chaleureux, des embrassades, de l’émotion intacte à chacune de nos retrouvailles. Le Directeur qui me salue avec déférence, moi la toute petite auteure…  Rien à ajouter là-dessus si ce n’est que cela permet d’optimiser cette journée.

Alors pourquoi surréelle cette journée ?

-       Parce que c’était la veille de la fête des mamans, que lorsqu’au moment de la dédicace voyant les yeux brillants de jeunes gens (de Yoan pour ne citer que lui, très pressé mais qui ne voulait plus partir) et surprenant l’émotion dans leur voix à l’intitulé du prénom tant chéri, j’essayais d’imaginer comment étaient ces mamans à qui était destiné mon livre.

-       Parce que d’autres étaient ému(e)s en pensant à leur maman disparue, toujours trop tôt, mais qui repartaient avec un de mes livres comme un lot de consolation.

-       Parce que  d’autres encore, malgré les nombreuses années passées, s’épanchaient en me racontant leur souffrance d’avoir été mal-aimé(e)s, rejeté(e)s, des souffre-douleurs. Et là j’essayais de trouver les mots qui apaisent.

-       Parce que j’ai rencontré un petit bonhomme haut comme trois pommes, six ans à peine, qui après avoir lu quelques lignes de « Gracieuse et Panache sont amis » m’a dit au vu de mes peintures et dessins « moi je veux dessiner et vous vous écrivez ». Voilà il me proposait déjà sa collaboration. Soudain Eagan (prénom irlandais qui veut dire puissant) a pointé son doigt sur le livre à offrir à sa mamie Chantal. Son père a souri ajoutant « je cherchais un livre pour ma maman ». Puis il s’est assis au sol pour démarrer sa lecture tranquillement. Tout comme Léane (qui se prononce Li Hane prénom chinois qui veut dire paix et tranquillité) un gamin adorable reparti avec « Gracieuse… » tout content. Mamie Anne qui m’assure qu’elle allait être gâtée le lendemain et ne voulant pas être en reste, a emporté la trilogie et Gracieuse pour ses 4 petits enfants, m’assurant qu’elle les lira aussi…

-       Parce que pour finir, cette dame qui a refusé une dédicace car « c’est à moi d’écrire ce que j’ai ressenti en vous écoutant et pourquoi j’ai choisi ce livre ». Comprenne qui peut ! Respect !

Une journée qui ne s’annonçait pas sous les meilleurs augures avec les restrictions d’essence et l’agitation permanente actuelle, mais qui a été forte en messages d’amour, de générosité et de détresse assortie de courage. Mon esprit a flotté dans une autre dimension. En des allers et retours dans mon autre vie et dans celle-ci. L’enfant que j’ai été et la maman que je suis aujourd’hui… On retient forcément les leçons de la vie. 

Nous aussi on savait !

17/05/2016 16:31 par ninanet

  • Nous aussi on savait !

    Nous aussi on savait !

    17/05/2016 16:31 par ninanet

Le harcèlement. « Conduite abusive qui se manifeste notamment par des comportements, des paroles, des gestes, des actes, des écrits pouvant porter atteinte à la personnalité, à la dignité ou à l’intégrité physique ou psychologique d’un personne ». Définition du mot harcèlement donnée par la psychanalyste Marie-France Hirigoyen.

Chaud devant ! Chaud !  Un sujet d’actualité resté, soit disant, tabou jusqu’à ces jours-ci ; or lorsqu’on a ouvert la boite de Pandore qu’a-t-on trouvé ? Des ministres (des perruches) qui savaient mais qui se sont tues « on ne pouvait pas parler ». Ben voyons !

Aujourd’hui elles s’agitent, pérorent, s’achètent une bonne conduite en créant un manifeste… « plus jamais ça »… Bla bla bla… Que nenni… Une vieille rengaine qu’on nous ressert à un moment donné. Et donc ce serait le bon moment ? Ben il faut croire ! Parce que parler du chômage, du déficit budgétaire, des panama papers et autres… Cela ne fait pas le (bon) jeu de notre Don Juan national.  Quel paradoxe ! Mais nous ne sommes pas à un paradoxe près… Belle hypocrisie !

J’irai plus loin : Nous aussi on savait ! Les débats parlementaires télévisés nous ont donné de beaux exemples de sexisme, de machisme. En politique comme en privé tous les coups sont permis, sauf qu’il faut savoir damer le pion à son adversaire ! N’a-t-on pas vu des femmes ministres s’insurger, d’autres en larmes, d’autres recevoir des fleurs en guise d’excuse… Et hop on passe à autre chose. Un sensationnel chasse l’autre.

Qui, un jour ou un autre n’a pas été « persécuté » par un (ou une) chef tatillon ou malveillant ou simplement si peu en confiance avec lui-même qu’il…  Qui n’a pas subi la jalousie, la méchanceté, la bêtise humaine ? Qui ? À des degrés divers, soit !

On est là tranquille, on pense n’avoir que des amis, que la vie vaut la peine d’être vécue et on fredonne la ballade des gens heureux. Puis le Hasard vient pactiser avec le Diable et là patatras, tout s’écroule. À qui la faute ? Au Hasard jaloux ou à Satan vicieux ou aux deux ? Et lorsque Madame Boutin persifle que ces femmes harcelées l’ont un peu cherché, là je frôle l’overdose. Vais-je être pire qu’elle et lui répondre que lorsqu’on ressemble à un boudin avec une cervelle de moineau, c’est sûr qu’on ne risque rien ! Tant pis je l’ai dit, mais c’est elle qui a cherché la bagarre ! Sans compter que ses bondieuseries m’insupportent… Ah ! La bonne conscience et la bienséance de bas étage…

Je ne vais pas me faire l’avocat du diable en prenant la défense de ces quelques « pôvres » ministres qui ne voyaient pas à mal, certains se sont excusés pitoyablement ! C’est d’un grand pitoyable, car dans la vie il faut assumer et de nos jours « ni coupable ni responsable » pourvu qu’on garde son poste et ses acquis...

Je me souviens de mes quelques années passées dans un laboratoire pharmaceutique. J’animais les séminaires de vente. Le soir, après une soirée bien arrosée, les langues se déliaient. Les déléguées commerciales obligées de se laisser tripoter par les chirurgiens pour qu’ils daignent passer leur commande, même punition pour les délégués hommes qui subissaient les assauts des « cheffes » de services, nues sous leur blouse. Le harcèlement n’est pas réservé au seul sexe féminin. Je me souviens aussi d’un pari engagé pour qu’un tel finisse le séminaire dans le lit d’une telle.  Si ça ne marchait pas comme décidé par la « PéDéGère », une mégère voyeuse, c’était la porte…  Et il l’a prise en pleine figure… la porte, la belle ne s’est pas laissée croquer. Ça ne marche pas à tous les coups ! Double vexation.

Aussi je m’interroge : pourquoi les hommes harcelés ne disent-ils rien ? Par goût du jeu comme au casino ? Auquel cas, sont-ils de bons perdants ? Ou alors, peut-être parce qu’ils ne demandent que ça, n’est-ce pas Madame la ministre  broute broute… ?