Il était une fois...
03/01/2018 07:12 par ninanet
« Lisez ce livre formidable, tranche de vécu, direct, incisif, plein, entier et toute à la volonté de donner élan et inspiration pour avancer, progresser et comme disent les sportifs, « ne jamais rien lâcher ! ». Éric Vernassière
Éric Vernassière blogueur des « 8plumes » de l’Express, rencontré lors de la sortie de mon premier roman « retourne de là où tu viens », depuis devenu mon ami, a lu et relu (dit-il) mon récit-témoignage « La Miraculée », l’a décortiqué pour en extirper les éléments essentiels de la reconstruction d’une Miraculée. Ce récit-témoignage peut plaire, intéresser ou rebuter mais il ne peut laisser indifférent. Quinze mois déjà…
En voici quelques extraits :
« Je viens de lire et de relire son dernier opus, qui s’affiche comme un vrai roman naturaliste ou comme un récit de vie, mais qui se place surtout comme une ode à la résilience, à la volonté indéfectible et permanente de combativité et de courage face aux éléments de noirceur ou aux difficultés qui s’amoncellent… et comme un hommage à la vraie amitié, celle qui partage les liens et ouvre les communications, qui jamais ne juge et toujours appuie ou renforce les fidélités… »
« L’on ne pouvait éviter son escalier stylisé et monumental, tout en arpentage italianisant, mais sans rampe, car elle défigurerait son intégration spatiale et son élancement propice à toutes les légèretés, aux envols et aux rêveries, rassemblant ainsi toutes les captations des imaginaires d’Annette »…
Pour lire l’intégralité de la chronique : https://debredinages.wordpress.com/2018/01/02/la-miraculee-par-annette-lellouche/
Un grand merci à mon ami Éric Vernassière.
Une année s’achève et nous serons nombreux à ne pas la regretter. D’autres au contraire auront envie qu’elle ne se termine jamais.
Une autre se profile et prendra toute sa place dans quelques heures.
Elle est pleine de promesses, de joie, de rires, d’amour et d’amitié.
Tout va si vite que je ne me souviens déjà plus de 2017 car mes rêves pour 2018 remplissent déjà tout mon espace. Alors il n’y a pas de temps à perdre, profitons un maximum des petits bonheurs que la Vie nous offre, sublimons-les, partageons-les, que nos regards soient toujours brillants de mille étoiles.
Un grand nombre de mes amis ne me liront pas ce soir, ils sont en fête et c’est magnifique. Pour mes amis qui sont seuls ce soir et face à leur ordinateur je leur dis « ne désespérez pas, la roue tourne et vous aurez votre heure de bonheur, tout le monde y a droit ». Et pour ceux qui me liront demain, ils n’auront pas les idées très claires, l’estomac chargé, le vin mauvais… ou au contraire joyeux, mais le cœur léger…
Bonne et heureuse Année 2018 et qu’elle vous apporte tout ce dont vous rêvez, surtout si vous lui donnez un coup de pouce pour qu’elle réalise tous vos vœux.
Qui se fiche… est fichu !
Qui connaît par cœur le numéro de téléphone de ses proches (qui change tout le temps, la faute aux offres mirobolantes des opérateurs), leur adresse exacte, parfois même leur date de naissance ? On ne cherche plus à mémoriser, pour quoi faire ? On a, je ne sais plus combien de place dans ces petites boites magiques que sont les portables. Quand je vous dis que la mémoire fout le camp ! Gare si on la perd (la boite) parce que la mémoire… Pas terrible !
On dit que les réseaux nous « fichent » mais nous-mêmes ne fichons-nous pas nos familles et amis ? Un ami a déménagé, hop on note son adresse sur notre sacrée mémoire sans fil, son numéro de téléphone et en passant sa date de naissance. Parfois le portable nous demande si on n’a pas encore quelque chose à noter, quelque chose à rajouter de particulier, à cette personne... ou à soi-même « la date de mariage ou la Saint Valentin ». Cela éviterait bien des disputes, n’est-ce pas Messieurs ?
N’en doutons pas, ça va servir à l’opérateur ! Magique, Il peut vous biper pour vous rappeler LA date importante… ou vous vendre… Enfin vos données !
À un moment où on parle beaucoup de l’Alzheimer ou comment maintenir sa mémoire « vive », n’est-ce pas ramer à contre-courant ? Alors on vous conseille d’acheter des livres qui vont vous expliquer comment la développer cette mémoire qui fiche le camp avec le temps : des petits carrés, des petits ceci, des petits cela, des exercices quoi… mais jamais de jeter vos portables.
Bon n’exagérons rien tout de même ! On a besoin de son portable. Par exemple le mari au supermarché « allo ma chérie, comment s’appelle ta marque de café, je ne m’en souviens plus » ? ou « crois-tu que pour ta mère je pourrais lui prendre un livre ? Oui ? Mais tu sais ce qu’elle lit ? » (Là on devine le degré d’intimité belle-mère/belle-fille) ! Ou encore « comment s’appelle la petite d’un tel ? Pourquoi ? Mais parce que j’en ai besoin pour une dédicace ? Quel livre ? Ah crois-tu... Et ainsi de suite… et ça dure, et bla, bla,bla on passe du coup à un autre sujet, on a bien sûr oublié le motif de l’appel. On s’empresse de rappeler, juste d’un clic, « ah au fait tu parles, tu questionnes mais tu ne m’as toujours pas dit comment s’appelle la petite, ah je me souviens c’est Julie non ? Non ? C’est Julia ? Oh j’y étais presque… » et c’est reparti ! « Au fait, tu sais qui j’ai rencontré dans le magasin ? Tu ne devineras jamais ! Mais non cherche un peu »… Vous l’avez deviné, c’est du vécu ! Pas grave, forfait illimité, pourquoi s’en priver ? Et puis le portable sert aussi à appeler ses amis, histoire de bavarder un peu, de se tenir compagnie… à distance… mais on a oublié qu’ils sont partis en vacances ou chez le médecin ou… On oublie tout parce que tout va trop vite. Une information chasse l’autre. Comment voulez-vous qu’on se souvienne de tout ?
Moi, mon problème c’est le portable que j’oublie tout le temps. Ce fil à ma patte m’agace. Je déteste qu’on me demande « allo, tu es où, tu fais quoi là ? Une salve de questions auxquelles je n’ai même pas le temps de répondre. Ce qui m’a le plus frappé l’autre jour, c’est un lecteur à qui je montrais une photo prise dans un salon du livre et je ne me souvenais plus de l’endroit. Il me dit « regardez Madame (déjà le ton du Madame me vieillissait d’une belle tranche d’années), regardez là-haut c’est marqué « Vence ». Mince alors ! Mais en même temps je peste quand faute de portable, je ne peux appeler… Je pourrais demander à quelqu’un possédant un portable (je le sais parce qu’il l’a collé à son oreille) de… Mais je ne connais pas par cœur, « comme avant », le numéro de téléphone. Pas grave je vous dis ! Bientôt on va nous greffer une puce dans le poignet et nous voilà robotisés à cent pour cent !
Et la mémoire dans tout ça ? Ça sera fichu !
Ah j’oubliais ! Bonnes fêtes de fin d’année… 2018 s’impatiente déjà !
Mon violon... la musique adoucit les mœurs.
À l’impossible nul n’est tenu…
Cher père Noël, tu as pris beaucoup d'avance pour me prendre par la main, m’aider à guérir, guider ma plume, m'encourager à sourire, à remercier, à partager avec tous ces grands-parents, ces parents, ces enfants venus, non pas me voir, mais m'ont trouvée sur leur chemin avec leurs listes de cadeaux. Ils n'ont pas résisté devant la douceur de "Pépé Charles", la magie de "Gracieuse et Panache...", le suspense de "La clé de l'embrouille", l'Amour de "Un soir d'été en Sardaigne"... mais le plus touchant, ce sont toutes ces personnes qui comme moi sont des Miraculées et il y en a plus qu'on ne l'imagine. Tous ces témoignages reçus mériteraient presque un tome deux de "La Miraculée". À n'en pas douter de nouvelles amitiés sont nées ce samedi, veille de Noël à Montauroux.
Un grand Merci !
Mon cœur bat à la pensée de tous ces cadeaux qui vont être ouverts en hâte pour découvrir mes livres au pied du sapin. Certains m’ont déjà lue, beaucoup me découvriront.
Dans le calme qui règne en ce matin de Noël, je descends lentement mon escalier.
La Miraculée attendait d’autres miracles, mais Père Noël tu ne l’as pas entendue. Tu ne peux pas être partout. Peut-être n’ai-je pas été assez convaincante, peut-être n’ai-je pas prié assez fort, peut-être que la petite fille, avec sa candeur et sa naïveté, te croyait capable de tout. Mais tu ne peux pas être partout.
Et puis, il est des endroits d’où l’on ne revient plus, il est des affections qu’on ne peut forcer, des amitiés qu’on ne peut retenir. En toute chose, il faut raison garder.
Et puis… Il y a des urgences, des impératifs, trop de gens à rassurer, d’enfants à remettre sur pieds… de parents désespérés. Cette année 2017 a été éprouvante...
Et puis... Il y a la Vie plus fort que tout, l’Espoir chevillé au corps pour tenir tête, les Larmes qu’on refoule pour ne montrer que son Sourire. Offrir un sourire, une parole gentille, réconforter, rassurer. Un regard complice peut faire renaître. Une parole peut sauver ! Semons-les généreusement, la récolte sera assurée !
Cher Père Noël tu as gâté l’auteure, l’a aidée à réfléchir, ça n’est déjà pas si mal… Il lui reste encore tous ses rêves fous qui se bousculent dans sa tête de Miraculée. Rêvons tous ensemble !
Presque Rien n’est impossible !
Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d'aller de l'avant. » de Paulo Coelho
L’an dernier, même jour même heure j’étais dans un sale état. Mon amie libraire Alexandra m’avait gardé ma place et j’avais quand même réussi à dédicacer malgré mes souffrances. Les années se suivent et heureusement ne se ressemblent pas. J’ai retrouvé ma forme grâce à mes livres qui me bousculent, m’empêchent de broyer du noir, sans oublier mes amis qui m’ont encouragée et mes lecteurs qui m’ont gardé leur confiance.
Demain samedi 23 décembre sera ma dernière journée de dédicaces de cette année 2017. Cette date n’est pas innocente. Elle est fixée d’une année sur l’autre par mon amie libraire Alexandra. Mais cette année elle prend une tournure encore plus exaltante, passionnante et revitalisante : « La Miraculée » apprécie à sa juste valeur son statut !
Dernier jour avant Noël pour continuer à offrir du bonheur aux petits comme aux grands. De l’espoir quand tout va mal, il y a toujours une sortie de tunnel. De l’amour pour faire rêver et enfin du soleil pour réchauffer. Ne pas regarder en arrière, fixer son regard vers l’avenir, se battre et la réussite sera au rendez-vous.
Venez me rejoindre pour bavarder, partager, échanger demain à l’Espace Culturel du Centre Leclerc à Montauroux. Faites que cette journée du 23 décembre clôture mon année d’auteure en toute beauté et amitié. Merci.
Il y avait longtemps que je n'avais pas posté un billet d'humeur. Voilà qui est fait !
Lettre à Madame Christine Angot,
Chère Madame (là je reste polie, mais attendez de me lire…) je souhaiterais que vous me communiquiez votre adresse afin que je vous puisse vous offrir un dictionnaire des bonnes manières. Mais en attendant :
La moindre des politesses est d’écouter son interlocuteur sans lui sauter dessus en l’interrompant.
La supériorité, vous vous croyez plus maligne mais vous vous trompez, vous êtes… je vous laisse trouver l’adjectif, ça vous relaxera.
Le regard. C’est si beau un regard d’Amour au lieu de Haine pas même justifiée.
La générosité c’est… non ça c’est trop compliqué pour vous, passons.
L’appât du gain, je peux comprendre, vous êtes payée pour faire le buzz à Mr Ruquier.
La folie furieuse, là par votre comportement hystérique, vous nous servez sur un plateau d’argent l’exacte définition.
Chère Madame, en cette fête de Noël, je vous suggère de commander au père Noël plusieurs boites de Tranxène ou des tisanes relaxantes à boire avant de grimper toutes griffes dehors sur le plateau de Monsieur Ruquier. Ainsi je pourrais revenir vers cette émission que j’aimais beaucoup regarder avant votre arrivée. Rassurez-vous, c’est juste un petit bout de votre intervention (à charge) avec (contre) Madame Rousseau, postée sur le Huffpost qui m’a fait réagir, pas l’émission elle-même, puisque je vous dis que je ne la regarde plus.
Puisse ma fleur de safran vous apaiser !
« J’écris pour me parcourir. Peindre, composer, écrire : me parcourir. Là est l’aventure d’être en vie » de Henri Michaux
Samedi et dimanche en dédicaces, deux jours de fête, Noël avant Noël ! Quelle belle aventure que d’écrire et de partager sa passion. Quel bonheur ! Cela a dépassé tout ce que je pouvais imaginer de plus fou !
J’aime bien partager avec vous mes petits clins d’œil des dédicaces :
- Une dame de 92 ans à l’esprit pétillant et la gaieté communicative, m’a fait dédicacer « La Miraculée » sur un coup de cœur. Elle lit beaucoup me dit-elle. En l’emportant elle ajoute « s’il ne me plait pas je vous le rapporte ». Je pensais qu’elle plaisantait. Eh bien pas du tout, un moment après j’étais avec une autre personne à qui je présentais « La Miraculée » et là voilà qui revient et me dit « je vous le prends, j’adore ». Comme je devais avoir une tête ébahie, elle a ajouté malicieuse « je me suis assise au coin lecture du magasin et je viens de lire 30 pages de « La Miraculée ». J’adore et comme je dors très peu, je vais le finir cette nuit. Du coup l’autre personne en a pris un tout de suite…
- Une autre dame d’un certain âge aussi, après m’avoir raconté sa vie, ses difficultés, m’a dit qu’elle ne résistait pas à s’offrir un livre de temps en temps malgré son budget des plus serrés. Six cents euros par mois (c’est mon cœur qui se serra à ce moment-là). Elle me fait dédicacer « Gustave » pour son petit-fils (qu’elle lira avant de le lui offrir) et « Lettre à pépé Charles » la suite pour elle, et me demande de les garder car elle ne pouvait pas les porter. Une heure après elle n’était toujours pas de retour, je me suis dit elle ne reviendra plus. Eh bien non ! Elle était allée se reposer au coin lecture et a attendu que son petit-fils vienne la chercher. Il a mis du temps et elle s’est excusée… Adorable.
Une jeune femme d’une quarantaine d’années, en voyant mes livres m’a dit « je vais gagner du temps, avec vous j’ai mes cadeaux de Noël ». Je commence à dédicacer deux livres pour les petits, puis les deux premiers de la trilogie et là je me rends compte que je n’ai plus le Tome 3 « Charles et Aurélien ». Pas grave me dit-elle, je vous le paye et vous me l’expédiez avant Noël. En toute confiance, sans reçu, rien. Incroyable ! Ce matin je lui ai téléphoné pour lui confirmer l’expédition de son livre. Elle était contente et m’a remerciée. Touchée !
J’arrête là sinon je vais vous lasser… Ne me dites pas que c’est déjà fait !
Un immense Merci à toutes les personnes qui m’ont accordé un peu de leur temps, qui ont ri et partagé un petit moment de bonne humeur, qui offriront mes livres avec générosité le soir de Noël. Et un Merci d’Amitié et de cœur à toi Amélie, libraire de Cultura de Puget-sur-Argens. Ton dynamisme, ta gentillesse, ton sourire éclatant, ton accompagnement, grâce à toi j’ai repris le chemin des dédicaces avec bonheur. Et ces deux jours, je ne suis pas sûre de les revivre une autre fois, c’était juste un miracle ! En présentant « La Miraculée » pouvait-il en être autrement ?
Merci infiniment Amélie pour ton accueil. Avec toi le mot "Amitié" prend tout son sens.
Excellente journée de dédicace au Cultura de Puget-sur-Argens. Noël avant l'heure ! Une ambiance des plus festives, des parents et grands-parents généreux. Oubliées les mauvaises nouvelles de ces dernières semaines... Noël approche à grands pas et le sapin s'impatiente ! Du coup, demain dimanche 17/12 prolongation comme au concert où on demande "une autre, une autre". Je serai présente de 10h30 à 17H et je ne manquerai pas de livres comme aujourd'hui, je vais prévoir plus large. je vous attends et MERCI par avance.
Il y a un an, jour pour jour, je publiais sur les réseaux un article dans lequel je regrettais de ne pouvoir venir à votre rencontre, suite à mon Accident. Depuis ma situation a bien évolué. Je me suis battue, j’ai publié, j’ai reçu des témoignages qui ont dynamisé mon énergie, mon envie d’avoir envie… Qui m’ont recadrée aussi. Rien n’arrive par hasard. Tout arrive pour mieux rebondir, il faut juste être réactive. Voici quelques retours :
- « J'ai bien aimé votre livre « La Miraculée ». Il peut apporter beaucoup à ceux qui souffrent et dépendent du monde médical. Vous décrivez tous les stades de doutes, de souffrances physiques et morales que vous avez surmontés. Lorsque nous sommes bien portants on ne s'imagine pas combien il est difficile d'accepter sa dépendance. Vous avez eu le courage de vous battre. L'amour de votre mari et l'amitié vous ont poussée à vous prendre en mains dans les moments de doute et de découragement. Cela est très précieux. C'est un enseignement de votre livre. Les lecteurs appartenant au corps médical peuvent aussi après avoir lu votre témoignage mieux comprendre leurs patients en détresse. Votre exemple peut redonner du courage à ceux qui doutent. L’Autre Annie »
- « Bonsoir, je viens de terminer votre livre, je vous ai rencontré au château à Sollies Pont. Je dois vous dire, j’ai mis du temps à me décider à l’ouvrir, car je travaillais et ensuite j’étais déprimée je n’avais plus de travail, je me suis enfin posée pour découvrir votre roman « Un soir d’été en Sardaigne » et j’ai beaucoup apprécié. Je vous félicite et vous remercie. J’avoue que je ne m’attendais pas à ça, encore bravo. Valérie. »
- « Je me permets de vous contacter, nous vous avions pris le tome 1 et 2 de Gracieuse et Panache pour notre petit-fils Raphaël à Montauroux. Il a adoré et lu les 2 livres dans la journée. Le 3ème livre était en cours, est-il disponible maintenant ? Mamie Pascale ».
D’autres témoignages feront l’objet d’une nouvelle chronique.
Un livre pour Noël est une marque d’attention personnalisée par une dédicace. Joindre l’utile à l’agréable…Des livres à offrir ou à s’offrir. Noël est la période la plus joyeuse et la plus lumineuse pour se poser et lire.
Pour toute commande sur le site : http://a5editions.fr , paiement sécurisé Paypal, expédition sous 48h frais d’envois offerts. Ou écrire à publication@a5editions.fr.
Si vous souhaitez me rencontrer : je dédicace :
- le samedi 16 Décembre de 10h à 18h à Cultura Puget-sur-Argens
- le samedi 23 Décembre de 9h30 à 18h à l’Espace Culturel du Leclerc à Montauroux.
Merci .
« Les émotions les plus belles sont celles que tu ne peux pas expliquer » de Charles Baudelaire
Deux journées consécutives en dédicace c’est difficile, fatigant et surtout lorsque le mauvais temps vient jouer les trouble-fêtes, ajouté aux obsèques de Johnny…
Plus de cinquante auteur(e)s ont bravé les intempéries, pluies verglacées, neige et vent violent pour aller à la rencontre des lecteurs, petits et grands. Le soleil s’est caché, sûrement fatigué de briller toute l’année dans notre grand Sud, la pluie audacieuse l’a supplanté et les flocons de neige ont eu envie de tourbillonner pour nous rappeler que Noël est tout proche.
J’ai souvent constaté lors de séances de dédicaces que la qualité prévaut à la quantité. Moins de monde certes, mais quel bonheur de pouvoir tranquillement converser avec des personnes ayant l’esprit littéraire, ayant envie de faire plaisir en offrant un livre, ayant l’envie de venir à notre rencontre pour revoir un auteur ou faire connaissance avec les auteurs régionaux. Il est vrai que Montauroux c’est mon fief, ma ville fétiche où je n’ai jamais raté une journée de dédicaces. On peut appeler ça de la magie… Montauroux c’est magique… Peut-être parce que les gens sont magiques, souriants et généreux. Pas de faux-fuyants, on aime ou pas mais on reste chaleureux.
Je voudrais dire aux lecteurs, même si vous n’avez pas de budget, même si vous n’êtes pas de grands lecteurs, poussez toujours la porte d’un salon du livre, vous apprendrez tellement avec nous qui sommes des passionnés. Il y a de plus en plus de jeunes auteurs qui viennent rejoindre des anciens comme nous. Un très beau partage inter-générationnel.
J’ai rencontré des enfants incroyables, des parents et grands-parents toujours aussi généreux. Des lectrices qui comme moi avaient eu un Accident repartaient avec « La Miraculée » sous le bras, me promettant un retour de lecture. La maman d’un éditeur venue juste faire un tour sans intention d’achat est repartie avec « La Miraculée ». Que d’émotions partagées.
Mon coup de cœur est pour Léonie, un petit bout de chou d’une vivacité et d’une politesse qui m’ont beaucoup touchée. Les yeux de sa maman étaient aussi brillants que les miens. Tessa, Levon, Émilie, Johanna, Laetitia… que du bonheur !
Merci à Sylvie Magras une amie auteure rencontrée au Salon du livre à St Ambroix et qui m’a tout de suite fait dédicacer « La Miraculée ». Une belle amitié.
Et mon émotion la plus belle, la plus forte, est venue d’une équipe de TRÈS jeunes pompiers en formation (âgés de 14 à 21 ans) qui étaient là pour emballer nos livres d’un joli ruban de Noël. J’ai discuté un long moment avec eux, leur ai à nouveau témoigné ma reconnaissance pour leur assistance le soir de mon Accident. Ils étaient contents et m’ont dit « tous les gens ne sont pas comme vous, on a rarement des remerciements, on se fait souvent insulter ». Alors je voudrais dire « n’attendez pas un Accident pour reconnaître la Valeur et le Travail immense de nos sapeurs pompiers, accordons-leur notre soutien et nos encouragements pour leur métier très difficile ».
Je vous aime mes jeunes et moins jeunes amis pompiers.