Le jeu des grands
11/08/2019 15:40 par ninanet
Et c’est parti pour cette quatrième course « Grand prix nocturne de Bormes ».
Casaque Porte d’Or prend la tête, talonnée par Casaque Tendresse et son poulain. Tous trois galopent crinière au vent. Loin devant. Casaque Miraculée se traîne et essaye de se relancer. Elle est vite rattrapée par Casque GPH. Casaque Suspense ferme la marche. Il n’aura aucune chance ce soir. Le cœur palpite, l’émotion est à son comble. Casaque Porte d’Or perd du terrain, dépassée par Casaque Tendresse et son poulain qui forment un tandem. Inséparables. Ils prennent une belle avance. Ils sont sur la ligne d’arrivée. Émotion garantie.
En dédicace à Bormes les Mimosas, au moment de disposer mes romans sur la table, je m’arrêtai un instant sur la couverture de « Gracieuse et Panache au Haras » avec son beau cheval sur la couverture et un souvenir d’enfance est venu me percuter de plein fouet.
Un après-midi dans un champ de courses. Un voisin s’y rendait toutes les semaines et en petite fille curieuse je ne cessais de lui poser des questions. Un jour il m’y emmena ; je découvris un monde d’hommes qui hurlaient, gesticulaient, s’énervaient ou parfois repartaient tête basse, les poings crispés sur un bout de papier. Mon voisin m’expliqua qu’il avait perdu de l’argent en misant sur les chevaux. Pourquoi lui demandais-je, naïve, tu voulais gagner un cheval ? Non, c’est un jeu de grands. Mais ça va s’arranger ajouta-t-il. Ce jour-là mon voisin avait dû perdre beaucoup d’argent car les murs résonnèrent toute la soirée de disputes avec sa femme. Le lendemain matin, celle-ci vint emprunter à ma mère quelques pièces pour nourrir sa famille. Je m’étais promis que je ne jouerais jamais aux jeux des grands. Durant toute la soirée magique à Bormes je n’ai pu m’empêcher de jouer aux courses avec mes livres. Et je gagnais à chaque fois. À chaque dédicace, à chaque sourire partagé, à chaque regard appuyé ou admiratif, je gagnais en confiance en moi. Au fond peu m’importait lequel de mes livres arriverait en tête sur la ligne d’arrivée, même si j’étais très émue de voir que « Lettre à pépé Charles » et Gustave » l’ont emporté. Ainsi la boucle est bouclée puisque c’est aussi un pan de mon enfance.
Juste une petite anecdote à ce propos : j’étais en train de dédicacer « Lettre à pépé Charles » et « Gustave » à un garçon accompagné de ses parents, lorsqu’un autre garçon du même âge pointa du doigt les deux livres et cria « Ah Gustave et pépé Charles, je l’ai lu ». J’ai levé la tête et j’ai misé (gros, prenant un risque, sait-on jamais… toujours mes doutes) en lui demandant « tu as aimé » ? Et il a répondu spontanément « Oh oui, c’est trop trop bien ». Inutile de décrire les visages enchantés de l’autre garçon et de ses parents et mon soupir de plaisir !
Le retour à une heure très tardive (deux heures pour parcourir 60 kms sur la route de St Tropez) fut empreint d’allégresse et surtout il n’y eut pas de disputes à la maison. J’ai joué au jeu des grands et j’ai gagné !
« Je viens vous chanter la ballade des gens heureux » : un samedi en dédicace.
Un jour, la lecture d'un article m'apprend qu’un écrivain célèbre refusait les séances de dédicace. Il estimait que ses livres se vendaient très bien sans lui. À mon humble avis, il rate une partie essentielle de la transmission de l’auteur au lecteur.
Juillet s’est clôturé à coups de tonnerre, de batailles de grêle, de rafales de vent, le baromètre en chaleur et la terre qui craque sous les assauts du soleil. Un temps « de jamais vu » nous serine-ton aux informations…
Et mes dédicaces durant ce premier semestre ? Quoi de neuf ? Jusqu’avant ce samedi 27/7/19, la routine. Et là c’était magique. Pourquoi ? Grâce à quoi ou à qui ? Il suffit d’un rien, d’un regard échangé, d’un sourire appuyé, d’une remarque parfois innocente mais pleine de sens… De tous ces livres hyper médiatisés, cintrés de bandeau rouge… prix de ceci, prix de cela… Ils sont là tout près de moi et me narguent. Je vois des lecteurs, tels des papillons attirés par la lumière, se précipiter sur les Levy, Musso, Vargas et tant d’autres achetés les yeux fermés. Moi, petite auteur, comment garder encore la foi ? Pourquoi choisirait-on tel ou tel de mes livres dont peu de gens ont entendu parler ? L’espace de quelques secondes, je me décourage. Vais-je sortir de ma valise mes livres ? Une toute petite voix me susurre « maintenant que tu es là, fonce et OSE ! C’est à chaque fois le même scénario. OSER ! Je reprends du poil de la bête, j’aime les défis. Aussi je m’applique pour mettre tous mes titres en valeur sur la table qui m’est désignée. Souvent je m’entends dire « ah c’est qui avez écrit… (Peut-être n’ai-je pas la tête de l’emploi, qui sait ?). Oui, oui c’est moi… (affirme-je la tête haute). Je ne vous connais pas… Pas grave je suis là pour faire connaissance (pardi !) Des sourires de circonstance ou sarcastiques cherchent à me déstabiliser. Je ne perds pas le nord… moi la fille du Sud ! J’offre en retour mon plus beau sourire, mes plus belles explications sur tel ou tel de mes écrits, animée de ma passion débordante et lorsque la joute se termine par « ok, pourquoi pas essayer celui-ci ? Il me parle ». Je suis fière d’avoir emporté la bataille « auteurs hyper médiatisés contre une auteure de l’ombre, et c’est moi qu’on a choisie ». Là ne s’arrête pas le travail d’un auteur. Il faut personnaliser la dédicace, écouter ce que le lecteur a envie de lui dire.
Samedi une dame d’un certain âge m’a confié « je lis beaucoup mais ces derniers temps je tombe sur des livres avec trop de personnages et on s’y perd ». J’ai mémorisé ce conseil qu’elle me donnait mine de rien, sans même m’avoir jamais lue. Je lui ai répondu « j’y veillerai ». Puis elle me regarde et me demande, on dirait que ce livre n’attire pas les lecteurs, en désignant le tas intact de « La Miraculée ». Je lui réponds en toute bonne foi, que je n’en avais pas encore dédicacé ce matin. « Normal, m’a-t-elle ajouté, vous n’en parlez même pas, alors je vais lui donner sa chance ». Comment a-t-elle deviné que ce livre comptait tant pour moi, même si je n’en parle pas (plus) ? En parler c’est raviver ma souffrance d’une année… que je m’exhorte à oublier… Émotion garantie.
Une gamine d’une dizaine d’années qui s’arrête devant « Gustave », me dévore des yeux et me demande si elle peut... Bien sûr ! Soudain elle crie « maman attends-moi ». La mère s’était éloignée mais la gamine continuait à lire la quatrième de couverture, puis lève les yeux et crie à nouveau « maman viens, j’ai besoin de toi »… Sa mère revient sur ses pas et me dit « ma fille ne résiste pas lorsqu’elle voit un auteur il faut qu’elle lui achète son livre. Je lui présente donc « Gustave » mais les yeux implorants de la gamine quémandaient plus. Elle voulait « Gustave » et la suite « Lettre à pépé Charles ». Ce qu’elle a obtenu aisément avec cette phrase de sa maman qui fait bien plaisir à tout auteur : « tant que c’est pour des livres, je cède »…
Un garçonnet de neuf ans et son papa. Un tout autre registre. Ils sont silencieux et tournent autour de la grande table de livres d’auteurs hyper connus et hyper médiatisés. Ils les survolent du regard, rêveusement, sans y toucher. Ils arrivent à ma hauteur et je leur propose de présenter « Gustave » au fils. Le père est tout de suite séduit mais les yeux de l’enfant affichent le contraire. Grognon, il ne veut pas s’approcher de ma table, ne désirant pas me parler. Beau joueuse je dis au papa qu’il ne faut pas insister, qu’un livre doit être un coup de cœur, mais que je pouvais également lui présenter les livres pour adultes. Là, écoute quasi religieuse, regard doux et admiratif. Puis il propose à son fils, en parlant tout bas, de juste au moins feuilleter « Gustave », que la dame a écrit. Rien à faire. Le père choisit « À l’assaut du bonheur » et me demande très poliment une dédicace. L’enfant soudain s’anime, se dirige vers « Gustave » en prend un et me le tend : « moi aussi ». C’est tout ce qu’il a réussi à me dire. Son regard valait tous les discours.
Une dame s’approche de ma table et visiblement aime la lecture. En posant ses yeux sur « À l’assaut du bonheur », son regard se brouille. Aucun son ne pouvait sortir de sa bouche. Je ne comprenais pas ce qu’il se passait, puis les larmes ont coulé et j’ai compris que c’était un récent chagrin qui refaisait surface. Elle ne pouvait plus endiguer le flot de paroles qui la submergeait. D’autres personnes s’approchaient de ma table, je ne les voyais pas, seule cette femme qui avait besoin de partager son récent deuil m’importait. J’ai fait du mieux que j’ai pu pour lui apporter un peu de réconfort. J’espère que mon roman le fera également.
J’arrête là mon bavardage de peur de lasser. Le bonheur ne serait pas total sans partage. Quelques pépites vécues dans une journée de rencontres… Une juste récompense.
Voilà dix ans que je passe la plupart de mes week-ends en dédicace, de ville en ville, tel le troubadour des temps modernes où tout va si vite, où on ne prend pas le temps d’écouter son prochain, mais où un artiste peut apporter sa petite pierre de bonheur lorsque le besoin s’en fait ressentir.
Alors on continue ?
Je serai en dédicace au mois d’août :
Merci.
Le retirage de la Trilogie : Gustave, Lettre à pépé Charles et Charles et Aurélien est arrivé à bon port.
Une bonne nouvelle « Lettre à pépé Charles » a été augmenté du tome 3 « Charles et Aurélien. Ce qui porte le prix de la duologie à 25 € au lieu de 35 € la trilogie.
Mes lectrices et lecteurs qui attendaient le retirage seront servis en premier mais il y en aura pour tout le monde.
En cette saison brûlante de chaleur, la fraîcheur et la candeur de Simon, l’espièglerie de Pépé Charles et la ténacité de Berthe, dans cette belle histoire familiale au pied du Château des Tourrettes en Provence, vous feront passer un heureux moment.
Bonne lecture estivale.
Le retirage de la Trilogie : Gustave, Lettre à pépé Charles et Charles et Aurélien est arrivé à bon port.
Une bonne nouvelle « Lettre à pépé Charles » a été augmenté du tome 3 « Charles et Aurélien. Ce qui porte le prix de la duologie à 25 € au lieu de 35 € la trilogie.
Mes lectrices et lecteurs qui attendaient le retirage seront servis en premier mais il y en aura pour tout le monde.
En cette saison brûlante de chaleur, la fraîcheur et la candeur de Simon, l’espièglerie de Pépé Charles et la ténacité de Berthe, dans cette belle histoire familiale au pied du Château des Tourrettes en Provence, vous feront passer un heureux moment.
Bonne lecture estivale.
« Il ne faut pas avoir peur du Bonheur. C’est seulement un bon moment à passer » Romain Gary
La belle aventure de « À l’assaut du bonheur » continue. Livre porte bonheur.
Voici mes dates de dédicaces du mois de juillet :
MERCI.
En ce moment, le bac. Sujet de la philo. Le temps…
Je n’ai pas eu le temps de vous raconter ma journée dédicace samedi, veille de la fête des papas à Sormiou. De toute façon, pour vous dire quoi ? Que l’accueil du magasin était super sympa avec un grand chevalet annonçant ma dédicace, avec café et viennoiseries, sourire en prime ? Ça porte et ça réconforte ! Voilà qui est fait. Qu’il y a eu de belles rencontres ? Bon c’est comme d’habitude. Car quand on passe le seuil d’un espace Culturel c’est bien pour se faire plaisir… Tous ces enfants qui m’écoutaient, me souriaient et repartaient avec mes livres jeunesse. Quoi de plus naturel ! Ainsi que ces nombreux papas qui vont me lire, me découvrir, c’est de circonstance. Aimeront-ils ma prose ? Ça c’est une autre histoire et seul le temps nous le dira.
Qu’allez-vous penser de ce préambule ? Ça y est, elle a la grosse tête. Pas du tout ! Justement j’avais la tête un peu dans les nuages, car toute la journée du samedi, à chaque dédicace, je sentais sa présence guider mes mots. Je revoyais son sourire, son regard admiratif. Au fond tu n’es jamais parti puisque tu es toujours présent dans mes moments précieux. Tu n’as jamais lâché la main de la petite fille que j’étais, et encore aujourd’hui tu guides mes pas, mes joies et mes pensées.
Il m’a fallu trois jours pour retrouver mes esprits et t’envoyer cette dédicace. Elle est pour toi, mon cher papa, le premier homme de ma vie. Ton absence est pleine de ta présence. De tout temps !
Ma séance de dédicaces à Montauroux en ce samedi du premier jour de juin a été très riche en émotion, embrassades, sourires et rires et pour une fois j’ai envie de garder tout ça pour moi. Égoïstement.
Déjà de retrouver Alexandra et son équipe que je n’avais pas revues depuis Noël 2018 c’était du bonheur. Tout de suite ma nouveauté « À l’assaut du bonheur » a été placée dans les « nouveautés ». De revoir Léa et sa maman tout d’abord et ensuite Laetitia, cela a illuminé toute ma journée. Ma vie d’auteure est un long fleuve tranquille ponctué de belles surprises.
Cela fait également un moment que je n’étais pas retournée dédicacer à l’Espace Culturel de l’Hyper U de St Maximin la Ste Baume. J’y serai en dédicace ce samedi 8 juin de 10h à 18h. Au plaisir de vous retrouver. Merci.
« Exister c’est cela, pensai-je, un sursaut de joie, une pointe de douleur, un plaisir intense, des veines qui battent sous la peau, il n’y a rien d’autre à raconter » Elena Ferrante
Aujourd’hui, une fois n’est pas coutume, je voudrais remercier mes romans. TOUS ! Ils me donnent une raison d’exister, d’aller de l’avant, de partager avec des personnes auxquelles je n’aurais jamais été présentée… De discuter, développer, créer une symbiose entre le lecteur et l’auteur. L’envie d’avoir envie comme l’a si bien chanté Johnny.
Ce préambule pour vous parler de ma séance de dédicaces samedi dernier à Cultura de Mandelieu. Comme l’an dernier Natacha est venue me rejoindre, m’a fait dédicacer deux livres de « À l’assaut du bonheur », un pour elle et un pour sa maman, elle est la générosité même. Puis nous avons déjeuné ensemble pour « nous » raconter. Une amitié pure et qui perdure depuis nos débuts, elle de peintre (aujourd’hui affirmée et confirmée) et moi d’auteure. Il y a eu beaucoup de monde comme d’habitude. Des promeneurs, des curieux, des coups de cœur, des rires, des confidences. De l’émotion !
La précocité des enfants m’a beaucoup émue : Marie 4 ans m’a parlé de Gustave Eiffel en me montrant du doigt ma couverture « Gustave ». Elysa (avec un Y SVP) a déjà commencé à écrire un petit livre. James, Pharrell et Oumou de 5 à 8 ans parlent plusieurs langues car les parents voyagent beaucoup pour leurs affaires… Lisa à peine 8 ans est partie avec Gustave… Abygail, Jacky… que du bonheur de voir mes bébés attirer le regard et donner l’envie de me lire pour me découvrir.
La particularité de cette séance de dédicace est que mon fils (l’artiste qui réalise mes couvertures, venu dans le Sud pour la fête des mères) pour la première fois m’a accompagnée à Cultura, placé mes livres sur ma table. J’ai senti dans ses yeux un sentiment de fierté de voir sa mère à cette place. Il est revenu me chercher en fin d’A.M., heureux pour moi du résultat.
Alors je ne peux que continuer :
Samedi 1 juin de 9h30 à 18h : Espace Culturel du Centre Leclerc à Montauroux
Samedi 8 juin de 9h30 à 18h : Espace Culturel de l’Hyper U à St Maximin la Ste Baume
Samedi 15 Juin de 10h à 18h à l’Espace Culturel du Centre Leclerc à Sormiou (Marseille)
Je sais déjà qu’une très belle amie et lectrice viendra à Montauroux.
Après ce sera la surprise. MERCI !
« Est-il de beauté plus belle que le rêve ? Est-il de vérité plus douce que l’espérance ? » Jean Philippe Rameau
Avec un peu de retard je vous raconte ma journée dédicace du mercredi 22/5/2019 à Cultura Toulon. Un accueil sympathique, une table face à l’entrée. Comme d’habitude !
Le mercredi, il y a moins de monde, qu’à cela ne tienne, j’ai fait de très belles rencontres et surtout j’ai eu droit à une très belle qualité d’écoute.
Je n’avais pas fini de m’installer que Géraldine, professeur de français, m’a écoutée longuement avec un plaisir évident. Bien sûr elle n’a pas résisté à mon dernier bébé « À l’assaut du bonheur » mais ce qui m’a touchée davantage c’est quelle a choisi « Gustave » dédicacé à « mes élèves de la part de Maîtresse », pour le lire à ses élèves.
Tout de suite après, Virginie a voulu son « À l’assaut du bonheur » pour sa maman.
Annick m’observait sans oser m’aborder. Je lui ai proposé de découvrir mes livres. Elle était très émue et j’essayais d’en comprendre la raison. Elle m’a avoué qu’elle est très timide, qu’elle dévorait les livres mais de parler à un auteure, elle pensait que c’était impossible. J’étais sa première fois… Nous avons bavardé comme deux vieilles amies et pour finir elle est repartie avec presque l’ensemble de mes livres en me demandant si elle pouvait m’embrasser pour le bonheur que je lui avais procuré.
Laurie m’a écoutée très intéressée par mon parcours et nous avons élaboré un projet d’intervention… Je vous en parlerai ultérieurement.
D’autres rencontres, d’autres sourires, d’autres confidences… C ‘était une belle continuité après la Fête du livre à Hyères… de Hyères à Toulon il n’y a que quelques Kms.
Demain samedi 25 mai, je serais ravie de vous rencontrer à ma journée dédicace à Cultura Mandelieu de 10h à 18h.
Pensez aux mamans. MERCI.
Samedi dernier, même heure, émue et passionnée, je passais l'entrée du grand hall de la Fête du Livre à Hyères. Un sans faute et un week-end empli d’émotion, qu’il m’a fallu quelques jours pour réaliser. Je ne m’y attarderai pas, j’ai déjà raconté dans un article précédent le bonheur vécu. Juste un grand merci. (Mon blog : ninanet.vip-blog.com ou ma page Facebook.)
Ce matin je devais dédicacer à Toulon et un changement de programme l’a reporté au mercredi 22/5. Jour des enfants et jour des mamans ou mamies, des papas et papys aussi accompagnant les enfants. Encore de belles rencontres, de beaux échanges à venir, à n’en pas douter. Ne jamais douter !
Ce matin, repos et tranquillité en compagnie de Lorraine Fouchet « Tout ce que tu vas vivre ». Elle a écrit dix-neuf romans. Je ne l’ai jamais lue et mieux, je n’ai jamais entendu parler de cette auteure, anciennement médecin urgentiste. Et pourtant je lis deux à trois livres par semaine ! Une très belle découverte. J’aime beaucoup ce livre écrit à « deux voix ». Je vous laisse le découvrir.
Vous pouvez également passer un bon moment avec « À l’assaut du bonheur ». Hier c’était la journée mondiale de l’homophobie. Une partie de mon roman traite ce sujet avec la conviction que tout le monde a droit au bonheur, aussi bien les mères que leurs enfants ! http://a5editions.fr .