Quand les enfants lisent...

25/09/2019 09:10 par ninanet

  • Quand les enfants lisent...

    Quand les enfants lisent...

    25/09/2019 09:10 par ninanet

« Un jour, on se met à écrire pour entendre la voix lointaine de nos mères. Lorsque j’écris, j’entends la voix de la mienne «  René Frégni

LE grand moment approche d’aller à la rencontre des 7/12 ans pour leur parler lecture et écriture. Car l’un ne va pas sans l’autre. http://labodeshistoires.com/lbh/animots/

Tous les jours on entend dire que les enfants ne lisent plus. Il y a ceux qui lisent, bien heureusement. Et lorsqu’une maman s’investit à m’envoyer le coloriage de Valentin et ses réactions sur l’histoire :

« Bonjour, Voici le coloriage choisi par mon fils, Valentin 7ans. Bravo pour cette jolie histoire de Gracieuse et Panache qui a su garder Valentin en haleine, plein de questionnements, de rêves et essayant de résoudre les intrigues. Merci »

cela suscite quelques réflexions :

1/La lecture doit être un jeu pour l’enfant tout en suscitant sa curiosité.

2/ Laisser libre cours à l’imaginaire dans ce jeu de coloriage, choix du dessin d’abord et des couleurs ensuite.

3/ L’accompagnement parental est important. La complicité de cette maman avec son fils Valentin est un bel acte d’amour.

4/ Je dois au plus vite m’atteler à l’écriture du prochain tome de Gracieuse et Panache pour ces enfants qui attendent leur récompense au concours et pour découvrir d’autres aventures !

Au boulot !

 

Lire et écrire, un bel équilibre

13/09/2019 12:22 par ninanet

  • Lire et écrire, un bel équilibre

    Lire et écrire, un bel équilibre

    13/09/2019 12:22 par ninanet

Lire et Écrire, un bel équilibre !

Après une saison estivale très chargée en rencontres, dédicaces, surprises et bien sûr emplie d’émotion, j’ai apprécié ces trois semaines de repos et de calme. Faire retomber la pression et se retrouver débarrassée des doutes, de la frénésie de l’écriture. Vivre des mots des autres et je ne m’en suis pas privée. J’ai lu tout à loisir.

Certains romans m’ont agréablement surprise, d’autres m’ont interpelée, d’autres encore m’ont ennuyée. J’ai lu avec fougue, comme lorsque j’étais enfant, tout ce qui me tombait sous la main. La médiathèque, celle qui m’a faite auteure, ne m’aura jamais autant vue rapporter des livres et en prendre des nouveaux !

Tout au long de mes lectures, du matin au soir, jusque fort tard dans la nuit, j’ai découvert des auteurs. J’ai découvert des situations inhabituelles. J’ai découvert des marchands de mots. J’ai découvert des livres encensés sans comprendre pourquoi et d’autres passés inaperçus injustement.

En fait, non je n’ai pas fait toutes ces découvertes. Toute une vie de lecture m’a  préparée à ces parties de cartes avec des rois, des reines, des valets, de trèfle, de cœur, de carreau, des numéros partant de rien au meilleur... Des mots enfilés comme des colliers de perles qui brillent aussi bien au soleil couchant qu’au petit matin où la lune tarde à se retirer. Passer du rêve à la réalité. Passer de la réalité à la vérité des choses de la vie. Lire c'est vivre intensément les choses de la vie !

Et c'est reparti pour mes séances de dédicaces :

- Le 15/9 de 9h30 à 12h à la Presse du Centre à St Cyr s/Mer

- Les 21 et 22/9 au Salon du Livre « Lire à Vence »  de 10h à 18h

- Le 29/9 au XXIIème Salon du livre à St Laurent du Var de 10h à 18h

Je vous attends avec grand plaisir. Merci.

Pour tout savoir sur mes publication :http://a5editions.fr

 

Itinéraire d'une auteure gâtée

05/09/2019 07:22 par ninanet

  • Itinéraire d'une auteure gâtée

    Itinéraire d'une auteure gâtée

    05/09/2019 07:22 par ninanet

Le mois prochain j'animerai un atelier d'écriture auprès de jeunes de 7 à 12 ans à Toulon dans l'unique but de susciter "l'envie d'écrire". J'ai débuté mon aventure littéraire et ma vie d'auteure dans un atelier d'écriture et moins de dix ans après et douze romans, j'ai le grand honneur et surtout le vif plaisir d'aller à la rencontre de notre jeunesse dans un grand élan de partage. La suite très prochainement.

Pour en savoir plus : labodeshistoires.com:

La Miraculée à Sorgues

20/08/2019 09:43 par ninanet

« Tout ce que j’ai publié n’est que des fragments d’une grande confession » Johann Wolfgang Von Goethe.

Ma journée de dédicaces au Cultura de Sorgues m’a réservé bien des surprises.

Le trajet, qu’on nous prédisait des plus terribles, samedi classé journée rouge, A7 et A8 à éviter impérativement… s’est fort bien passé. Nous avons été plus rusés que Bison Futé qui n’a pas réussi à nous décourager, puisque nous sommes partis à l’heure où nous savions que les Parisiens n’avaient pas encore quitté le lieu de leurs vacances et les arrivants peinaient à quitter la région parisienne… Nous n’avons jamais si bien roulé ! Heureux présage !

Accueil très sympathique, belle table placée face à la porte et toujours entourée des livres d’auteurs des plus médiatisés. Je suis rodée à cette gymnastique : convaincre le lecteur qui cherche à sortir des sentiers battus que mes livres valent la peine d’être lus, et ça marche ! Partager ma passion est un état naturel me concernant.

Autre surprise : les lecteurs voulaient faire connaissance. Les discussions n’en finissaient pas, curiosité saine et admirative. Une lectrice était très émue, j’achète très rarement des livres et c’est la première fois que je parle avec une auteure, me dit-elle. Un jeune trentenaire a choisi « À l’assaut du bonheur » pour sa chérie et devinez la dédicace : « à ma chérie de la part de Mon bonheur », c’est ainsi qu’elle l’appelle. La Miraculée a fondu de bonheur.

Mon coup de foudre a été pour Serban un jeune garçon de treize ans qui s’est approché de ma table avec sa maman qui me dit d’emblée « je laisse mon fils faire son choix, il lit beaucoup ». Serban a « visité » tous mes livres, un par un, a buté sur un mot qu’il ne connaissait pas sur une de mes quatrième de couverture. Il a écouté mon explication sur ma façon de décortiquer les mots pour essayer de trouver la racine des mots. Il m’écoutait avec des yeux brillants d’intelligence, un sourire radieux aux lèvres.. J’aurais cru qu’il choisirait « Lettre à pépé Charles », plus pour son âge, pas du tout ! Il a préféré « La clé de l’embrouille ». C’était la 4ème de couverture où il y avait le fameux mot qu’il ne connaissait pas. Bel éclat de rire !

L’été des dédicaces se terminera en grande euphorie.

La rentrée s’annonce tout aussi radieuse. Un nouveau challenge m’attend. Chut… On en reparlera.

 

Le jeu des grands

11/08/2019 15:40 par ninanet

  • Le jeu des grands

    Le jeu des grands

    11/08/2019 15:40 par ninanet

Et c’est parti pour cette quatrième course « Grand prix nocturne de Bormes ».

Casaque Porte d’Or prend la tête, talonnée par Casaque Tendresse et son poulain. Tous trois galopent crinière au vent. Loin devant. Casaque Miraculée se traîne  et essaye de se relancer. Elle est vite rattrapée par Casque GPH. Casaque Suspense ferme la marche. Il n’aura aucune chance ce soir. Le cœur palpite, l’émotion est à son comble. Casaque Porte d’Or perd du terrain, dépassée par Casaque Tendresse et son poulain qui forment un tandem. Inséparables. Ils prennent une belle avance. Ils sont sur la ligne d’arrivée. Émotion garantie.

En dédicace à Bormes les Mimosas, au moment de disposer mes romans sur la table, je m’arrêtai un instant sur la couverture de « Gracieuse et Panache au Haras » avec son beau cheval sur la couverture et un souvenir d’enfance est venu me percuter de plein fouet.

Un après-midi dans un champ de courses. Un voisin s’y rendait toutes les semaines et en petite fille curieuse je ne cessais de lui poser des questions. Un jour il m’y emmena ; je découvris un monde d’hommes qui hurlaient, gesticulaient, s’énervaient ou parfois repartaient tête basse, les poings crispés sur un bout de papier. Mon voisin m’expliqua qu’il avait perdu de l’argent en misant sur les chevaux. Pourquoi lui demandais-je, naïve, tu voulais gagner un cheval ? Non, c’est un jeu de grands. Mais ça va s’arranger ajouta-t-il. Ce jour-là mon voisin avait dû perdre beaucoup d’argent car les murs résonnèrent toute la soirée de disputes avec sa femme. Le lendemain matin, celle-ci vint emprunter à ma mère quelques pièces pour nourrir sa famille. Je m’étais promis que je ne jouerais jamais aux jeux des grands. Durant toute la soirée magique à Bormes je n’ai pu m’empêcher de jouer aux courses avec mes livres. Et je gagnais à chaque fois. À chaque dédicace, à chaque sourire partagé, à chaque regard appuyé ou admiratif, je gagnais en confiance en moi. Au fond peu m’importait lequel de mes livres arriverait en tête sur la ligne d’arrivée, même si j’étais très émue de voir que « Lettre à pépé Charles » et Gustave » l’ont emporté. Ainsi la boucle est bouclée puisque c’est aussi un pan de mon enfance.

Juste une petite anecdote à ce propos : j’étais en train de dédicacer « Lettre à pépé Charles » et « Gustave » à un garçon accompagné de ses parents, lorsqu’un autre garçon du même âge pointa du doigt les deux livres et cria « Ah Gustave et pépé Charles, je l’ai lu ». J’ai levé la tête et j’ai misé (gros, prenant un risque, sait-on jamais… toujours mes doutes) en lui demandant  « tu as aimé » ? Et il a répondu spontanément « Oh oui, c’est trop trop bien ».  Inutile de décrire les visages enchantés de l’autre garçon et de ses parents et mon soupir de plaisir !

Le retour à une heure très tardive (deux heures pour parcourir 60 kms sur la route de St Tropez) fut empreint d’allégresse et surtout il n’y eut pas de disputes à la maison. J’ai joué au jeu des grands et j’ai gagné !

 

La ballade des gens heureux

01/08/2019 16:59 par ninanet

  • La ballade des gens heureux

    La ballade des gens heureux

    01/08/2019 16:59 par ninanet

« Je viens vous chanter la ballade des gens heureux » : un samedi en dédicace.

Un jour, la lecture d'un article m'apprend qu’un écrivain célèbre refusait les séances de dédicace. Il estimait que ses livres se vendaient très bien sans lui. À mon humble avis, il rate une partie essentielle de la transmission de l’auteur au lecteur.

Juillet s’est clôturé à coups de tonnerre, de batailles de grêle, de rafales de vent, le baromètre en chaleur et la terre qui craque sous les assauts du soleil. Un temps « de jamais vu » nous serine-ton aux informations…

Et mes dédicaces durant ce premier semestre ? Quoi de neuf ? Jusqu’avant ce samedi 27/7/19, la routine. Et là c’était magique. Pourquoi ? Grâce à quoi ou à qui ? Il suffit d’un rien, d’un regard échangé, d’un sourire appuyé, d’une remarque parfois innocente mais pleine de sens… De tous ces livres hyper médiatisés, cintrés de bandeau rouge… prix de ceci, prix de cela… Ils sont là tout près de moi et me narguent. Je vois des lecteurs, tels des papillons attirés par la lumière, se précipiter sur les Levy, Musso, Vargas et tant d’autres achetés les yeux fermés. Moi, petite auteur, comment garder encore la foi ? Pourquoi choisirait-on tel ou tel de mes livres dont peu de gens ont entendu parler ? L’espace de quelques secondes, je me décourage. Vais-je sortir de ma valise mes livres ? Une toute petite voix me susurre « maintenant que tu es là, fonce et OSE ! C’est à chaque fois le même scénario. OSER ! Je reprends du poil de la bête, j’aime les défis. Aussi je m’applique pour mettre tous mes titres en valeur sur la table qui m’est désignée. Souvent je m’entends dire « ah c’est qui avez écrit… (Peut-être n’ai-je pas la tête de l’emploi, qui sait ?). Oui, oui c’est moi… (affirme-je la tête haute). Je ne vous connais pas… Pas grave je suis là pour faire connaissance (pardi !) Des sourires de circonstance ou sarcastiques cherchent à me déstabiliser. Je ne perds pas le nord… moi la fille du Sud ! J’offre en retour mon plus beau sourire, mes plus belles explications sur tel ou tel de mes écrits, animée de ma passion débordante et lorsque la joute se termine par « ok, pourquoi pas essayer celui-ci ? Il me parle ». Je suis fière d’avoir emporté la bataille « auteurs hyper médiatisés contre une auteure de l’ombre, et c’est moi qu’on a choisie ». Là ne s’arrête pas le travail d’un auteur. Il faut personnaliser la dédicace, écouter ce que le lecteur a envie de lui dire.

Samedi une dame d’un certain âge m’a confié « je lis beaucoup mais ces derniers temps je tombe sur des livres avec trop de personnages et on s’y perd ». J’ai mémorisé ce conseil qu’elle me donnait mine de rien, sans même m’avoir jamais lue. Je lui ai répondu « j’y veillerai ». Puis elle me regarde et me demande, on dirait que ce livre n’attire pas les lecteurs, en désignant le tas intact de « La Miraculée ». Je lui réponds en toute bonne foi, que je n’en avais pas encore dédicacé ce matin. « Normal, m’a-t-elle ajouté, vous n’en parlez même pas, alors je vais lui donner sa chance ». Comment a-t-elle deviné que ce livre comptait tant pour moi, même si je n’en parle pas (plus) ? En parler c’est raviver ma souffrance d’une année… que je m’exhorte à oublier… Émotion garantie.

Une gamine d’une dizaine d’années qui s’arrête devant « Gustave », me dévore des yeux et me demande si elle peut... Bien sûr ! Soudain elle crie « maman attends-moi ». La mère s’était éloignée mais la gamine continuait à lire la quatrième de couverture, puis lève les yeux et crie à nouveau « maman viens, j’ai besoin de toi »… Sa mère revient sur ses pas et me dit « ma fille ne résiste pas lorsqu’elle voit un auteur il faut qu’elle lui achète son livre. Je lui présente donc « Gustave » mais les yeux implorants de la gamine quémandaient plus. Elle voulait « Gustave » et la suite « Lettre à pépé Charles ». Ce qu’elle a obtenu aisément avec cette phrase de sa maman qui fait bien plaisir à tout auteur : « tant que c’est pour des livres, je cède »…

Un garçonnet de neuf ans et son papa. Un tout autre registre. Ils sont silencieux et tournent autour de la grande table de livres d’auteurs hyper connus et hyper médiatisés. Ils les survolent du regard, rêveusement, sans y toucher. Ils arrivent à ma hauteur et je leur propose de présenter « Gustave » au fils. Le père est tout de suite séduit mais les yeux de l’enfant affichent le contraire. Grognon, il ne veut pas s’approcher de ma table, ne désirant pas me parler. Beau joueuse je dis au papa qu’il ne faut pas insister, qu’un livre doit être un coup de cœur, mais que je pouvais également lui présenter les livres pour adultes. Là, écoute quasi religieuse, regard doux et admiratif. Puis il propose à son fils, en parlant tout bas, de juste au moins feuilleter « Gustave », que la dame a écrit. Rien à faire. Le père choisit « À l’assaut du bonheur » et me demande très poliment une dédicace. L’enfant soudain s’anime, se dirige vers « Gustave » en prend un et me le tend : « moi aussi ». C’est tout ce qu’il a réussi à me dire. Son regard valait tous les discours.

Une dame s’approche de ma table et visiblement aime la lecture. En posant ses yeux sur « À l’assaut du bonheur », son regard se brouille. Aucun son ne pouvait sortir de sa bouche. Je ne comprenais pas ce qu’il se passait, puis les larmes ont coulé et j’ai compris que c’était un récent chagrin qui refaisait surface. Elle ne pouvait plus endiguer le flot de paroles qui la submergeait. D’autres personnes s’approchaient de ma table, je ne les voyais pas, seule cette femme qui avait besoin de partager son récent deuil m’importait. J’ai fait du mieux que j’ai pu pour lui apporter un peu de réconfort. J’espère que mon roman le fera également.

J’arrête là mon bavardage de peur de lasser. Le bonheur ne serait pas total sans partage. Quelques pépites vécues dans une journée de rencontres… Une juste récompense.

Voilà dix ans que je passe la plupart de mes week-ends en dédicace, de ville en ville, tel le troubadour des temps modernes où tout va si vite, où on ne prend pas le temps d’écouter son prochain, mais où un artiste peut apporter sa petite pierre de bonheur lorsque le besoin s’en fait ressentir.

Alors on continue ?

Je serai en dédicace au mois d’août :

  • Samedi 3/8, Espace Culturel du Ctre Leclerc à Montauroux 9h/18h
  • Jeudi 8/8, à Bormes les Mimosas, nocturne de 17h à 22H
  • Samedi 17/8 – Cultura de Sorgues de 10h à 18h

Merci.

 

Le bonheur en famille provençale (2)

23/07/2019 15:42 par ninanet

  • Le bonheur en famille provençale (2)

    Le bonheur en famille provençale (2)

    23/07/2019 15:42 par ninanet

Le retirage de la Trilogie : Gustave, Lettre à pépé Charles et  Charles et Aurélien est arrivé à bon port.

Une bonne nouvelle « Lettre à pépé Charles » a été augmenté du tome 3 « Charles et Aurélien.  Ce qui porte le prix de la duologie à 25 € au lieu de 35 € la trilogie.

Mes lectrices et lecteurs qui attendaient le retirage seront servis en premier mais il y en aura pour tout le monde.

En cette saison brûlante de chaleur, la fraîcheur et la candeur de Simon, l’espièglerie de Pépé Charles et la ténacité de Berthe, dans cette belle histoire familiale au pied du Château des Tourrettes en Provence, vous feront passer un heureux moment.

Bonne lecture estivale.

 

Le bonheur en famille provençale

23/07/2019 15:41 par ninanet

  • Le bonheur en famille provençale

    Le bonheur en famille provençale

    23/07/2019 15:41 par ninanet

Le retirage de la Trilogie : Gustave, Lettre à pépé Charles et  Charles et Aurélien est arrivé à bon port.

Une bonne nouvelle « Lettre à pépé Charles » a été augmenté du tome 3 « Charles et Aurélien.  Ce qui porte le prix de la duologie à 25 € au lieu de 35 € la trilogie.

Mes lectrices et lecteurs qui attendaient le retirage seront servis en premier mais il y en aura pour tout le monde.

En cette saison brûlante de chaleur, la fraîcheur et la candeur de Simon, l’espièglerie de Pépé Charles et la ténacité de Berthe, dans cette belle histoire familiale au pied du Château des Tourrettes en Provence, vous feront passer un heureux moment.

Bonne lecture estivale.

 

Dédicaces de Juillet

05/07/2019 15:21 par ninanet

  • Dédicaces de Juillet

    Dédicaces de Juillet

    05/07/2019 15:21 par ninanet

« Il ne faut pas avoir peur du Bonheur. C’est seulement un bon moment à passer » Romain Gary

La belle aventure de  « À l’assaut du bonheur » continue. Livre porte bonheur.

Voici mes dates de dédicaces du mois de juillet :

 

  • 6 juillet de 9h30 à 18h à l’Espace Culturel du Centre Leclerc à Montauroux
  • 10 Juillet de 9h à 12h – 5ème édition de « Lire sur le sable » au Pradet
  • 13 juillet de 10h à 18h Cultura Puget-sur-Argens
  • 27 juillet de 10h à 18h Espace Culturel du Centre Leclerc à Cogolin
  • 28 juillet salon du livre à Callas

MERCI.

 

De tout temps !

18/06/2019 19:14 par ninanet

  • De tout temps !

    De tout temps !

    18/06/2019 19:14 par ninanet

En ce moment, le bac. Sujet de la philo. Le temps

Je n’ai pas eu le temps de vous raconter ma journée dédicace samedi, veille de la fête des papas à Sormiou. De toute façon, pour vous dire quoi ? Que l’accueil du magasin était super sympa avec un grand chevalet annonçant ma dédicace, avec café et viennoiseries, sourire en prime ? Ça porte et ça réconforte ! Voilà qui est fait. Qu’il y a eu de belles rencontres ? Bon c’est comme d’habitude. Car quand on passe le seuil d’un espace Culturel c’est bien pour se faire plaisir… Tous ces enfants qui m’écoutaient, me souriaient et repartaient avec mes livres jeunesse. Quoi de plus naturel ! Ainsi que ces nombreux papas qui vont me lire, me découvrir, c’est de circonstance. Aimeront-ils ma prose ? Ça c’est une autre histoire et seul le temps nous le dira.

Qu’allez-vous penser de ce préambule ? Ça y est, elle a la grosse tête. Pas du tout ! Justement j’avais la tête un peu dans les nuages, car toute la journée du samedi, à chaque dédicace, je sentais sa présence guider mes mots. Je revoyais son sourire, son regard admiratif. Au fond tu n’es jamais parti puisque tu es toujours présent dans mes moments précieux. Tu n’as jamais lâché la main de la petite fille que j’étais, et encore aujourd’hui tu guides mes pas, mes joies et mes pensées.

Il m’a fallu trois jours pour retrouver mes esprits et t’envoyer cette dédicace. Elle est pour toi, mon cher papa, le premier homme de ma vie. Ton absence est pleine de ta présence. De tout temps !