Lire, c'est faire la fête !
14/05/2021 22:19 par ninanet
Le mois de mai à peine démarré que déjà il nous file entre les doigts…
On l’attendait avec impatience ce mois de mai ! Il y a d’abord eu le muguet. En profusion cette année. Le ciel se partage entre pluie et soleil. Sans parler du vent qui souffle à pleins poumons. La nature exulte dans toute sa splendeur, les odeurs, les couleurs, tout nous parle des jours heureux à venir. De grands ponts de jours fériés se profilent à l’horizon. Week-end de retrouvailles familiales ou amicales au soleil ou sous la pluie. Peu importe, l’essentiel étant de faire la fête ! Cette expression « faire la fête » est restée tapie en chacun de nous. L’espoir renait soudain à l’idée de pouvoir à nouveau faire la fête.
Que restera-t-il de ces deux années d’inquiétude, de drames, de souffrances ? La Vie redeviendra-telle normale ? Que veut dire normale de nos jours ? Rien ne sera plus normal mais nouveau ! C’est une nouvelle Vie qui nous attend. Sera-t-elle meilleure malgré les menaces réitérées de jour en jour en comptabilisant les confinements et qui pèsent lourdement sur nos têtes ? Il FAUT le croire.
Petite fille, je faisais sourire mon grand-père lorsque je lui répétais sans cesse « ce qu’il faut, il faut ». Puis j’ai grandi et j’ai compris que parfois il ne FAUT pas attendre statiquement ce qu’il FAUT… Il FAUT aller de l’avant. En avant les dédicaces !
Depuis une semaine, je reprends mon courage à deux mains, je téléphone, je parlemente, je négocie, j’essaye d’être persuasive. Les libraires semblent être dans l’expectative ne sachant plus à quels saints se vouer. En un mot je me bats. Je ne gagne pas à tous les coups. Remettre la machine en route n’est pas chose aisée mais il le FAUT !
Le dernier jour du mois de mai mettra à l’honneur toutes les mamans et ce sera bien mérité ! Plus que jamais ! Elles vont pouvoir souffler un peu et à l’ombre d’une chaise longue s’oublier dans des rêveries, des rires, des soupirs… Un livre fera bien l’affaire ! Et dédicacé, il prendra encore plus de valeur sentimentale. Car il prendra date.
En attendant de pouvoir retrouver mes lectrices et lecteurs, mes bains de foule, mes partages, mes rires, ma joie de vivre qui passe forcément par mes rencontres programmées, je continue à expédier sous 48h, mes livres avec une dédicace personnalisée, frais d’envoi et marque-page offerts…
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Merci pour toutes les mamans.
Bonjour mes amies et amis. En ces tous premiers jours de mai, tous vos vœux de bonheur accompagnés de l’incontournable brin de muguet, tous vos mots par-ci, par-là empreints de douceur, tous vos sourires d’Amitié me sont allés droit au cœur.
Ils m’ont fait rebondir pour vous offrir avec mes mots tout simples, mais authentiques, ma petite poésie sur l’Amitié :
Qu’est-ce que l’Amitié ?
C’est le soleil qui réchauffe en pleine froidure.
C’est la lumière qui illumine les moments durs
Ce sont les mots qui rassurent en plein doute
C’est la brassée de fleurs cueillie sur notre route.
Tout cela est l’amitié !
Pas toujours facile à l’appréhender
Pas vraiment simple à l’apprivoiser
Pas toujours aisé à la conserver
Mais indispensable en vérité !
Vivre sans Amitié ?
Ce serait vivre dans un monde amphigourique
Ce serait raisonner de façon inique
Qui aboutirait sur un long chemin aride
Dans une Vie triste, insipide et vide.
La Vie est ainsi faite qu’il lui faut
du bruit, des rires, et des larmes.
Des regards qui jamais ne désarment
Des soupirs, des embrassades et des mots.
Des Mots liesse.
Des Mots sagesse.
Des Mots allégresse.
Des Mots promesse.
Tout cela est l’Amitié. Mon Âme sœur.
Gardons précieusement nos Amis… À la Vie !
« La résilience, un champ de bataille où l’on ressort vainqueur »
Bonjour mes amies et amis, lectrices et lecteurs. À mon grand regret les dédicaces prévues jusqu'au mois de mai sont annulées. Mes 19 héroïnes de ma nouveauté, recueil de Nouvelles et Poésies « Voulez-vous danser ? » vous raviront par leur optimisme et leur joie de vivre. Adoptez les, elles vous feront oublier la morosité ambiante. Excellente idée cadeau pour la fête des mamans comme mes autres récits de vie "la Miraculée", saga provençale "Lettre à pépé Charles" ou saga romanesque "À l'assaut du Bonheur". Et pourquoi ne pas gâter les petits avec les aventures de nos deux amis détectives "Gracieuse et Panache", assorties d’un concours de coloriage ? Les 4 tomes « premières lectures » sont à votre disposition. Si vous le voulez bien, poussez ma porte et entrez dans ma danse et mes passions. Émotions garanties. Je peux également vous en parler et vous conseiller, (achat coup de cœur pour vous ou pour offrir) par message privé. N’hésitez pas, je suis très disponible pour partager avec vous mon aventure littéraire qui fête ses dix ans déjà !
Mon site http://a5editions.fr pour en savoir plus et également pour passer commande. Paiement Paypal sécurisé, par virement ou par chèque. Expédition sous 48h. Frais d’envoi offerts ainsi que la dédicace et le marque-page.
Merci par avance.
Bonjour mes amies et amis. Coucou me revoilà, après ma séance nostalgique d’hier, je reprends en main le destin des mes héroïnes dans « Voulez-vous Danser ? », toute à mon bonheur de recevoir la chronique de L’Écritoire des Muses. Voulez-vous entrer dans ma danse avec le regard de Annie Muse ? Musique des mots Maestro :
Un titre séduisant
Voulez-vous danser ? : Un point d’interrogation dans un titre ! Ce n’est pas commun. Un clin d’œil de la narratrice invitant le lecteur à danser, à être emporté dans son univers tout à la fois fictif et réel, dans le tourbillon émouvant et parfois tragique de la vie dont « les années passent vite et (dont) chaque jour compte ».
Trouver le chemin du bonheur
Chaque nouvelle du recueil éponyme d’Annette Lellouche « Voulez-vous danser ? » narre des moments de vie de femmes simples, toutes uniques, individualisées par leur prénom, leur personnalité, se heurtant à des difficultés, à des peines, à des drames comme Jeanne plongée dans la solitude et la tristesse « depuis qu’un accident de la vie l’a laissée seule avec son désespoir ». Mais malgré les heurts de l’existence, ces femmes continuent de rêver, d’espérer, secondant même le destin par d’anodines astuces afin de trouver le bonheur. Jeanne, dans la nouvelle Jeanne d’Arc, feint des difficultés avec son ordinateur pour le plaisir de parler au jeune et sympathique technicien : « Au tout début, Jeanne appelait le ‘petit’ pour un oui ou pour un non. Toutes les excuses étaient bonnes. Elle était inventive. Elle simulait de toutes petites pannes pour avoir le bonheur de l’entendre lui donner ses explications en toute simplicité ». Francine, dans « Au bal des raies », tente de gagner un concours… Prendre sa vie en main, en changer le cours, voyager comme Eliette et Robert, « voyageurs infatigables » dans « Embarquement immédiat », découvrir d’autres contrées, ne pas rester seule, rencontrer des gens, (« Elle fréquente ce bal assidûment par amour des gens, par sympathie musicale, par ressort instinctif de l’accompagnement »), oser aller à la rencontre de l’Autre comme Emilie invitant l’homme assis qui lui sourit lors d’une soirée dansante (« Emilie tend sa main gantée, dans une invite sans équivoque »), découvrir un nouvel amour, retrouver l’amitié, entrer en résilience comme Jeanne, retrouver ses enfants, ses petits enfants après de longues années perdues.
Aucune des femmes de l’ouvrage d’Annette Lellouche ne s’engluent dans un quotidien morose et taciturne. Malgré les difficultés, parfois très pesantes, inhérentes à la vie, elles conservent une vision positive, font face aux obstacles avec lucidité et les surmontent : « Les montagnes à escalader sont ‘casse-gueule’ mais une fois là-haut, quel spectacle ! L’extase ! Tu n’auras plus envie de redescendre, ce choix on ne l’a qu’une fois ! ». S’impliquant dans ses nouvelles, s’y dévoilant, (« Ostensiblement je mêlerais fiction et réalité. Par dose homéopathique j’assènerais des vérités, exprimerais des douleurs et des non-dits. Faire endosser à mes héroïnes le poids de ma rébellion (…) »), l’autrice donne des leçons de vie, montrant que chacun a la possibilité de faire l’expérience du bonheur, aidant ainsi le lecteur à surpasser les défis de l’existence. Tout en le divertissant, Annette Lellouche instruit amicalement le lecteur.
L’art du portrait
Entrant dans l’espace intime de ses personnages principaux et secondaires, Annette Lellouche trousse des portraits physiques tendres comme celui de la marchande, vieille femme, poupée de vitrine, miniature émouvante : « Une boucle de cheveux gris argent indisciplinée, dépasse du petit fichu serré sur tête gris blanc de la petite mamie au regard gris irisé. Un petit tablier fleuri gris souris chicotant sur son habit gris empire », donnant à voir la fragilité d’être pleins de densité. Elle brosse des portraits moraux dotés de toute une profondeur psychologique. Des confidences, des flux de conscience rapportés au style indirect libre, en focalisation interne, révèlent des êtres sensibles, d’une grande richesse intérieure. Francine, femme généreuse, reconnaissante, veut gagner un voyage pour l’offrir à sa voisine : « Francine veut gagner ce voyage pour l’offrir à Valérie, la gentille jeune fille qui habite sur le même palier. Avec tant de gentillesse Valérie se charge des courses ! Elle va lui chercher ses médicaments lorsque ses rhumatisme se réveillent et l’obligent à garder le lit ». La narratrice donne à lire des vérités psychologiques émouvantes et tendres. Elle dit des événements parfois banals de la vie quotidienne, mais tellement importants pour celui qui les vit.
Un rythme dansant
Malgré quelques doutes quant à sa capacité de raconter des histoires (« Vais-je être à la hauteur, vais-je savoir, vont-ils comprendre ? »), l’écrivaine emplie d’humilité est emportée par le ballet de sa verve littéraire et créatrice. Avec une écriture soignée, Annette Lellouche joue avec les mots (« Des madones (…) redoutables dans leur ‘faim’ de vie ») et les sons, doux clins d’œil humoristiques : « la mésange asservie est enchaînée, emberlificotée, domestiquée. Etouffée ! », « Suzette négocie avec le malaise sourd qui l’habite, son incurie incurable. Nulle curette au secours de Suzette. Nulle curiethérapie pour sa maladie ». Des accumulations verbales, adjectivales, des rimes rythment ses récits, embarquant le lecteur dans des danses joyeuses, ludiques, poétiques : « Le soleil la transperce, la réchauffe, la sollicite, joue à cache-cache avec le vent qui fait onduler les arbres verts, entrant dans son univers, ami pervers, en courant d’air ! ». Les échos phoniques concrétisent des pas de danse, donnant tout un tempo, une musicalité aux récits, aux nouvelles, parfois séparées par des poèmes versifiés.
Dans ces nouvelles aux chutes, véritables petits coups de théâtre narratifs précipitant le lecteur dans d’émouvantes révélations, des liens se tissent, des femmes se croisent, sœurs de cœur de la narratrice, femme sensible, amoureuse des mots (« partager ses émotions, faire passer sa motivation, son amour des mots »), désireuse de transmettre sa joie de vivre, de créer et la beauté résidant en elle.
Un grand merci à Annie Muse, de l’Écritoire des Muses, qui m’a toujours suivie, chroniquée avec empathie et qui renforce à chaque fois mon envie de continuer.
Merci à mes amies et amis qui auront à cœur de me rejoindre dans cette sarabande du bonheur.
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Bonjour mes amies et amis. Bravons ensemble la morosité ambiante. Même le ciel n'en fait qu'à sa tête ! C'est son choix.
HEUREUSE !
Heureuse de manger, de boire, de lire, d'écrire, de vivre quoi !
Heureuse de rire, de rêver, de penser, de communiquer...
Heureuse d'être libre d'aimer la pluie ou de cligner des yeux au soleil.
Heureuse de voyager dans une nuit étoilée.
Heureuse de cueillir une fleur, d'humer sa fragrance.
Heureuse de fouler la terre de mon jardin les pieds nus, mes cheveux chuchotant avec le vent léger parfumé au jasmin. Doux souvenir lointain.
Heureuse de converser avec mes amies et amis sans censure, de flâner sur les réseaux, de parsemer à la volée mes mots gentils, mes mots d'humour. De pépier tel l'oiseau libre.
Heureuse rime avec amoureuse. L'amour sous toutes ses formes. L'amour en coup de cœur d'hier, d'aujourd'hui et de demain.
Heureuse de prendre mes décisions avec ma seule conviction.
HEUREUSE !
Voilà c'est déjà un vaste programme. Et qu'on ne vienne pas me dire que mon bonheur est inaccessible aux autres... Que je suis une privilégiée ou une égoïste. Non j'ai eu ma part et j'ai compris qu'il faut s'accrocher à la moindre brindille de bonheur. Ne rien lâcher ! Je souhaite donner espoir à celles et ceux qui souffrent ; tout tunnel a sa sortie ; le Bonheur passera ; il ne faut surtout pas le laisser s'éloigner, le retenir fermement, et le vivre pleinement. Un peu, beaucoup, passionnément. .. Foi de Miraculée multirécidiviste.
HEUREUSE de danser avec mes Héroïnes sur des airs d’artistes célèbres :
« Oh mon amie la rose,
Mais il est où le bonheur ?
Quand il me prend dans ses bras…
Dansons joue contre joue,
Retiens la nuit, pour nous deux…
Je veux de l’amour, de la joie, de la bonne humeur…
La bohème, ça voulait dire on est heureux.
Elle qui l’aimait tant, elle le trouvait le plus beau de St Jean…
Et quand je vois tes yeux je suis amoureux…
Envole-moi, envole-moi, envole-moi, remplis ma tête d’autres horizons…
Ne me quitte pas, moi je t’offrirai des perles de pluie…
Amado Mio, love me for ever and let for ever begin tonight… »
Ce matin, me promenant dans plusieurs groupes, je me suis fait le constat suivant :
« Quelle drôle d’époque tout de même » !
Certes je n’ai pas inventé la poudre à éternuer.
Certes depuis longtemps l’ai-je constaté !
Certes je ne manque pas d’être surprise de retrouver des « Amis » publiant une photo, une citation, un avis sur tel ou tel événement. Je les avais perdus de vue. Pourquoi ? Comment ? Le jeu des chaises musicales orchestré par les réseaux. Les algorithmes qui choisissent pour nous nos relations ? Une mine d’or tout de même que ces réseaux qui nous font fantasmer. Chacun se lâche, se raconte, s’extériorise… On se dit l’ami de quelqu’un qu’on ne connaît qu’à travers des mots, des ressentis. Parfois un visage ou un symbole. Voilà une dizaine d’années que je flâne sur les réseaux, que j’ai accepté des centaines d’Amis. Mais en réalité, au plus profond de soi il n’en reste qu’une poignée, qu’on garde au chaud dans le creux de nos mains. Ceux qu’on aime pardessus tout ! Les autres s’en viennent et s’en vont.
Et puis la plume prend le dessus et trace ces quelques vers qui peuvent correspondre à tout un chacun. À aimer ou à détester :
« L’homme qui murmurait à l’oreille »
Vous êtes passé un soir par hasard
Avez lâché quelques mots sans fard
Puis la conversation à bâtons rompus
S’est engagée sur nos sentiers battus.
Vous étiez drôle, amical, chevaleresque
De confidence en confidence, sans préjugé
Avions bâti de nos vies une jolie fresque
Mais les fondations n’étaient pas ancrées.
N’ayant pris garde à votre « je disparaitrai »
Je pensais à une galéjade pour me faire réagir
Notre amitié éphémère s’est effacée d’un trait
Il n’en restera qu’un très doux souvenir.
Adieu l’homme qui murmurait à l’oreille
Tous nos mots sont jetés dans la corbeille
Au milieu du gué, vous avez changé de cheval
Vous avez éteint la musique, quitté le bal.
Adieu l’ami de quelques moments d’euphorie
Nos échanges ont eu la grâce de nos charivaris
Nos attentes n’ont pas été à la hauteur à priori
De nos lâcher-prise sur la coulée de nos vies.
Un bonheur n’arrivant jamais tout seul, après le post-it qui accompagnait le chèque de Nicole reçu au courrier de ce matin, c’est avec une vive émotion que je prends connaissance de la chronique d’Éric Vernassière. J’ai connu Éric tout d’abord virtuellement sur ce réseau, suite à une de mes chroniques. Très vite nous nous sommes rencontrés et l’Amitié s’est installée durablement entre nous. Amitié avec un A majuscule aussi vertigineux que la Tour Eiffel. Voici le petit mot qui accompagne la chronique et que je partage en toute amitié :
« Merci pour ton nouvel opus, et merci pour toutes tes forces communicatives et pénétrantes. Merci pour ce que tu es et pour ce que tu écris. Amitiés vives ! Éric »
Éric va nous hisser un drapeau haut en couleurs de chaque nouvelle avec émotion et plaisir. Voici quelques extraits :
« Amie Lectrice et Ami Lecteur, quand Annette publie un nouvel opus qui nous invite à danser, nous ne pouvons faire autrement que de partir en quadrilles avec elle, surtout en ces moments rudes vécus, où les liens sociaux sont réduits aux acquêts »…..
« Cet opus, très délicatement introduit par son amie Christine, qui entremêle souvenirs communs et appréciation de plaisirs partagés, se lit avec un vrai bonheur, car il est écrit en une langue recherchée, stylisée, et il affecte tous les domaines littéraires, de la nouvelle à la poésie, du conte onirique à la déclamation de moments d’humeur »…..
« Je viens de le lire par deux fois consécutives, pour en humer les saveurs, je vous incite à suivre mes pas, à vous placer dans le sillage de personnages qui, d’indépendance de récits, se re-croisent en des aventures communes, pour prolonger leurs tensions et désirs, pour ainsi offrir au lecteur une vraie tonicité plurielle qui juxtapose tous les moments qu’il a vécus, au détour des mots, des réflexions, des passions que sait puiser Annette, en récurrence »….
« Si par instants directs et précis, le livre d’Annette rappelle que sa mise en écriture n’allait pas de soi, qu’il lui fallait combattre et s’aguerrir, qu’elle a souvent vécu des espaces sensoriels qui la mettaient en contrainte sur sa confiance en elle, le lecteur sait qu’elle va toujours de l’avant, qu’elle sait nous tenir en haleine, qu’elle aime raconter des histoires, qu’elle définit l’émotion avec un talent inspiré......
« Très belle touche amicale et sensible que cette rencontre entre une Mamie et une jeune fille, en proie aux douleurs intérieures de spleens ravageurs, et qui, par le contact charnel avec des pommes de couleurs différentes, vendues par la Mamie marchande, dont elle sait conter les différences et les atouts, redonnera espoir à la jeune fille, pour que sa vie se pare de chatoiements et d’espoirs. Toute l’intensité de cette nouvelle, son écriture déployée, me ravissent et m’ont empli de larmes, de force et de nécessité d’optimisme résolu, envers et contre tout »…..
Vous venez de prendre connaissance de quelques extraits du ressenti d’Éric. Je souhaite vivement que vous aurez à cœur de lire l’intégralité de la chronique d’Éric qui nous ouvre, Nouvelle après Nouvelle, la porte des destins multiples et assumés des héroïnes. https://debredinages.wordpress.com/2021/03/30/voulez-vous-danser-annette-lellouche/
Merci est un bien faible mot pour exprimer toute ma gratitude à Éric et à mes lectrices et lecteurs qui ont déjà « Voulez-vous danser ? » entre les mains ou sont en attente de le recevoir. Pour celles et ceux qui veulent « entrer dans la danse de mes héroïnes » :
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Prenez bien soin de vous et bon mardi.
Bonjour mes amies et amis,
Reçu ce post-it au dos du chèque d’une fidèle lectrice.
Pour démarrer la journée, il n’y a rien de tel que ce joli soleil !
« Voulez-vous danser » avec mes héroïnes pour avoir vous aussi la pêche ?
Il sera chez vous sous 48 h si la Poste le veut bien ! Frais d’envoi offerts.
Pour toute commande, merci de préciser si vous souhaitez une dédicace, ma plume n’attend que cela. http://a5editions.fr pour commander et payer par Paypal (paiement sécurisé) ou par chèque et ces derniers jours j’ai eu quelques paiements par virement, avec la Belgique l’expérience est concluante. Merci par avance.
Bonjour mes amies et amis. Chaque jour qui passe augmente mon angoisse. Après tous mes ennuis entre l’imprimeur et le transporteur, mes envois dédicacés tout aussitôt et postés, vont-ils arriver à bon port et ouvrir le bal des ressentis ?
Dès réception, mes livres « Voulez-vous danser ? » ont été expédiés, presque tous reçus, quelques uns sont encore dans la nature. Décidément Imprimeur, Poste et Transporteur ne riment pas avec rigueur… En ces temps de pandémie, peut-on être exigeants ? Non je ne crois pas. Nonobstant un exemplaire envoyé dans la région parisienne (dont on entend les nouvelles alarmistes, pandémie, lits d’hôpitaux, saturation, confinement encore et encore) est arrivé illico presto en 24h ! Eh bien, pour le coup, côté postal les bonnes nouvelles ont des ailes. Ma lectrice de la première heure, toujours partante de me lire à chaque publication, m’envoie encore plus rapidement son ressenti partiel trop pressée de partager le début du Recueil et Poésies :
« COUCOU CHERE ANNETTE, j’ai reçu ton livre hier et malgré tout ce que j'ai à faire j'en ai déjà lu la moitié. Il me plait et me séduit BEAUCOUP BEAUCOUP. Il me donne du courage en cette période dure que je traverse avec mon PHILIPPE. BRAVO BRAVO ton livre est tellement VRAI !!! Je m'y retrouve et toutes les femmes si elles ont vraiment vécu et souffert s'y retrouveront. Et c'est vraiment un hymne à l'espoir qu'il ne faut jamais perdre, sinon on est fichues.
BRAVO BRAVO BRAVO et plein de bisousss Nicole ».
Comme nous l’écrit Nicole gardons toujours en nous l’espoir de jours meilleurs.
Bon mardi.
Bonjour mes chers amis.
Un petit coup de blues à partager juste en attendant que le soleil ne vienne me faire cligner des yeux. Le Soleil ou le Bonheur ? Qui sait !
Ces jours-ci, pour apaiser mes tensions j’ai passé beaucoup de temps sur les publications de mes amis (en passant, un petit clin d’œil à mon ami Alain Tremiseau). Ce temps qui ne m’appartenait plus face aux turpitudes des aléas de la vie. Ce temps qu’aucune horloge ne pouvait arrêter ni accélérer… Je ne pouvais même pas l’utiliser pour ne pas me ronger les sangs, ni pour calmer l’angoisse qui monte, monte comme la petite graine plantée et qui pousse, pousse, vaillante et fière ! Même pas !
Où étaient passés mes livres « Voulez-vous danser ? ». ? Personne ne le savait ! Que de temps passé à râler et je sais faire ; à téléphoner inutilement ; et enfin à user de ma force de persuasion pour que l’imprimeur me les réimprime tout en me conseillant de boire une tisane pour me calmer. Véridique ! C’est l’épine qui me restera en travers de la gorge.
Puis mes livres sont arrivés ! Alleluia ! Branle-bas de combat. Vite, vite, vite, les dédicaces muries dans ma tête depuis plusieurs jours et retranscrites sur la page blanche de garde du livre. Quelques ratures, minuscules mais qui trahissent mon émotivité.
J’ai beau me dire « on se calme, on se calme, j’obtiens l’effet inverse ».
J’ai beau connaître la musique, ce n’est pas mon premier livre, c’est à chaque fois une nouvelle émotion ! Tout est remis sur l’échiquier du destin ! Tout est à réapprendre !
Et puis ce matin le soufflet est retombé brusquement, me laissant face à mes doutes cruels.... Le succès sera-t-il au rendez-vous ? Et si… Et si… Le temps d’un petit déjeuner, le temps de quelques échanges fort sympathiques sur ces réseaux où le pire côtoie le meilleur, là c’était le meilleur, le temps de passer à autre chose et le soleil brille à niveau sur mon univers un peu éprouvé d’auteure.
Aussi mes très chers lecteurs, bientôt « Voulez-vous Danser ? » arrivera chez vous. Vous serez invités à Danser. M’accorderez-vous cette danse pour entrer dans l’univers de mes héroïnes ? Elles vous attendent pour vous révéler leurs batailles, leurs souffrances et leur résilience. Le temps ne fait rien à l’affaire quand le Bonheur est au bout du chemin.
Et si vous ne l’avez pas encore commandé, ne perdez pas de temps : vite un clic sur le site :
http://a5editions.fr - Un grand merci pour m’avoir lue jusqu’au bout.