Mes amies, les fleurs.
10/02/2025 14:04 par ninanet
Derrière
errière l’obscurité, la lumière » Talmud
Hier matin, comme tous les dimanches matin où aucune obligation ne m’a attirée dehors, je me suis « savatée » sur les réseaux. Et j’ai répondu par-ci, par-là suivant mon ou mes humeurs… J’aime les « j’aime » de mes ami(e)s pouce bleu levé, davantage les coeurs rouges et les échanges amicaux, gourmands en partage de belles recettes. J’adore cuisiner. Sans occulter le jardinage, c’est la panacée pour moi. Au fait, connaissez-vous Panacée ? C’est l’une des filles d’Asclépios, le Dieu de la médecine (mythologie grecque). Son nom signifie littéralement « tous les remèdes ». Merci Google… Mes mains dans la terre, l’eau qui arrose le plant et le souhait qu’il prenne… et j’oublie tout ! Même si Jacques Brel nous chante qu’on n’oublie rien de rien, on s’habitue, c’est tout ! Pas forcément oublier, mais relativiser. et je m’y emploie pour colmater les brèches.
En fond sonore j’écoute des chansons me baignant une peu en mode nostalgie. Charles Aznavour nous chante « on ne peut garder sans cesse sa jeunesse. »…Le suit de près comme en écho, Françoise Hardy « Ma jeunesse fout l’camp ».
Puis je me surprends à lire ce texte : Avec l’âge… et bla bla bla… Avec l’âge et bla bla bla…
Je ne sais pas ce que ça veut dire « avec l’âge… » Quel âge ai-je ? Je fouille dans ma tête et mes souvenirs. Une petite voix en sourdine me chuchote : « Tu étais vieille et responsable à vingt ans. Encore plus vieille mère et grand-mère, et encore plus vieille à la retraite. Tu n’étais pas une femme libérée (dit la chanson). Le poids des ans t’a pesé sur les épaules ». Là je m’insurge. C’est faux ! Lorsque j’étais jeune, mon seul but était d’aimer et d’être aimée. Alors oui je n’étais pas libre ! Maintenant je suis libre d’oublier mon âge et ses obligations. J’aime qui m’aime. Je m’éloigne de qui me manque de respect. Sans un mot, sans un regret, sans me retourner, sans état d’âme. C’est mon bras qui m’en empêche. Il m’a appris à faire le tri dans ma déchetterie, en gratitude de lui avoir redonné son autonomie. Il m’a appris qu’il faut s’aimer soi-même d’abord. Qu’il me fallait relever le défi d’être plus forte que l’adversité. Et j’y suis arrivée. Alors quel âge ai-je ? Quelle importance tant que mon cerveau fonctionne, que mes doigts courent sur le clavier de l’ordinateur, tant que le soleil me réchauffe de ses rayons… Tant que ma vie a un sens, car je suis sortie de mes zones d’ombres pour la lumière… Comprenne qui peut !
Bonjour mes amies et amis.
« Acquérir l’habitude de lire, c’est se construire un refuge contre presque toutes les misères de vie ». William Somerset Maugham
Les jours se suivent et se ressemblent… Janvier, hier, a tiré sa révérence sans pour autant déguerpir.
Février a pris sa place mais pas avec suffisamment de conviction puisqu’il fait toujours aussi maussade… Jean qui rit, Jean qui pleure… Se succèdent dans un ballet non orchestré les nuages, la pluie, le vent, un rayon de soleil bien pâlot… C’est notre lot en ce 1er février. Le temps est doux, lot de consolation.
Demain ? Il fera de nouveau jour.
Passez tout de même un bon week-end… Un livre pourrait faire l’affaire… Si, si je vous assure, quand le temps capricieux se joue de nous… Jouons-nous de lui en nous réfugiant dans un livre.
Je lis depuis l’âge de quatre ans et ma passion pour les livres n’a jamais faibli. Ce sont mes fidèles compagnons quand ça va mal et quand ça va bien… Mon refuge.
Bises.
Bonjour mes amies et amis. "Tous les matins, on a une mission. Trouver la gaieté au milieu des raisons de désespérer ; la beauté au milieu des laideurs… » Edouard Baer.
« Janvier pleure toutes les larmes de Dame Nature en ce dernier jour de son existence. Il en a perdu ses cheveux tombés des arbres par la violence des vents déchainés. La Nature a besoin de repos pour fleurir à nouveau.
En cette fin de matinée, au hasard de mes flâneries sur les grands Boulevards du Net, je croise mon Ami Alain qui nous dit que l’histoire se répète, trop souvent dans le tragique car nous ne retenons pas les leçons que nous donne le passé. On entrouvre une porte, on la referme quand elle nous insupporte. Mais encore… RIEN ; Nonobstant, le passé est toujours aussi présent que le présent omniscient mais non réactif. Inertie générale provoquée par les belles promesses qui, comme chacun le sait,« n’engagent que ceux qui y croient »… Et pendant ce temps notre jeunesse est fauchée par la haine injustifiée, le vol d’un portable, un coude à peine choqué, un regard. Des excuses, toujours des excuses pour ne pas alarmer. Il y a 80 ans la Shoah, en 2023 l’histoire se répète, encore et encore des ignominies… Mon dégoût est profond.
Mon ami Philippe Brahy, dans son article magistral sur la philosophie
nous apprend que « Phil » en grec ancien veut dire aimer. Mais oui AIMER est le plus noble chemin de VIE.
Mon nom de jeune fille, la racine « Gallus » en grec, le COQ. Le coq est fier… La fière aime en silence depuis des décennies. Pas de doute l’Amitié et l’Amour sont les deux piliers de la Vie, bercés par les rêves.
Ainsi je reviens sur Sire Janvier pour lui expliquer poliment que son départ ne m’émeut pas. Bien au contraire ! Et pour lui crever le coeur je fredonne « vive février et son corso fleuri, vive le mimosa et ses boutons d’or.
« C’était le temps des fleurs où l'on vivait sans peur/Où chaque jour avait un goût de miel/Ton bras prenait mon bras/Ta voix suivait ma voix
On était jeune et l'on croyait au ciel… Merci Dalida.
La fière a toujours cru aux fleurs même dans ses moments horribles où une brassée de jonquilles est venue la gifler avant de retomber à ses pieds. Pas grave elle les a ramassées, une à une, les dents serrées et les larmes ravalées… les a serrées sur son coeur leur promettant de ne plus vivre que pour elles. Vous serez mes garde-fous… Promesse tenue !
Bonjour mes amies et amis.
« Nous sommes comme des livres. La plupart des gens ne voient que notre couverture, la minorité ne lit que l’introduction, beaucoup de gens croient les critiques. Peu connaitront notre contenu ». Émile Zola
Un rapide retour sur ma séance de dédicace du samedi 30/11/2024.
Hélas, pas grand chose à en dire. Petite séance de dédicace. J’étais habituée à tellement plus surtout à cette période d’avant Noël. À l’impossible nul n’est tenu !
Nonobstant, chaque séance de dédicace a ses instants magiques.
À peine mes livres posés sur ma table qu’une jeune femme, Isabelle, s’approche de moi. Tout de suite elle me dit : « Je me suis arrêtée parce que vous avez de la lumière dans les yeux. Vous êtes rayonnante ». Après un bon moment passé à faire connaissance (à bâtons rompus), elle me fait dédicacer « La Miraculée » et s’éloigne en me disant qu’elle croyait au destin qui nous a fait nous rencontrer, on se reverra…
Tout de suite après, Kitzia, une jeune maman avec son petit garçon me sourit. Je lui présente mes livres et là elle me dit avec un petit accent « je suis brésilienne et j’aimerais bien vous lire pour apprendre mieux le français, choisissez pour moi ». Je lui ai dédicacé « Lettre à pépé Charles ». Elle était toute rougissante et m’a remerciée plusieurs fois.
Sophie, Séverine, Charlie, Lilian, Claude, Olivia, Justine… ont emporté mes livres pour faire des cadeaux.
Je garde le meilleur pour la fin : Une dame, la cinquantaine, regarde mes livres, pointe du doigt « Gracieuse et Panache quand je serai grand » mon conte pour enfants et me dit : « je l’ai lu ». Face à mon étonnement, elle sourit et m’explique « je suis enseignante, une petite fille de ma classe l’a apporté et on travaille dessus, les enfants aiment beaucoup». Elle est repartie avec la suite « Gracieuse et Panache au Parc des amis » que j’ai dédicacé « à mes élèves » .
Un grand merci à toutes les personnes qui m’ont écoutée, m’ont souri (c’est important), ont emporté un bout de moi : Il ne me restait sur la table qu’un seul « Lettre à pépé Charles, suivi de près par « La Miraculée » et « Gracieuse et Panache quand je serai grand… ».
J’ai quand même ressenti l’inquiétude de bon nombre de personnes, certains visages étaient fermés ou crispés. J’espère que Noël leur apportera la quiétude des jours heureux.
Bonjour mes amies et amis, grands et petits.
« Lisez, posez-vous des questions, cultivez votre esprit critique et votre mental sera libre. C’est ça qui est important. Lubna Azabal »
C’est exactement ce que je disais aux personnes qui s’arrêtaient devant mon stand de livres. Quand quelqu’un me disait « je ne lis pas, je n’aime pas lire, je n’ai pas le temps de lire… » d’instinct je lui répondais que lire est un espace de liberté, ça fait du bien au moral surtout en ce moment !!! Et à chaque fois on me répondait « c’est vrai ! ».
L’intérêt des lectrices et des enfants qui les accompagnaient était vivace. Il ne m’en fallait pas plus pour que j’explique ce qui me pousse à passer mes samedis à courir les routes. Écrire un roman c’est vivre un long moment d’isolement, puis aller à la rencontre des lecteurs, c’est lâcher prise, dire, expliquer en un mot comme en dix, le pourquoi écrire qui est viscéral chez moi, la nécessité de lire, et dans l’idéal cumuler la lecture et l’écriture en une seule et même passion.
J’avais tout mon temps puisque les gens ne se bousculaient pas devant ma table. Et c’est parfois un bien. Prendre son temps permet de créer des relations fiables et pérennes. La cerise sur le gâteau c’est de susciter l’envie de tous les emporter, mes livres… Je souriais face à l’hésitation entre deux titres, finalement les deux partaient avec la jubilation de ma future lectrice. Ça c’est le meilleur cadeau que je puisse recevoir. Manon, dans un élan, me dit « il y a cinq minutes on ne se connaissait pas et j’ai l’impression en vous entendant parler de m’entendre moi-même. » Et pourtant, elle avait commencé par me dire « désolée, je suis très pressée ». Elle a hésité et m’a dit « allez je vous écoute, qu’écrivez-vous ? ». Isabelle me dit, « oh la la je dois retourner à la voiture chercher mon téléphone et je reviens vous voir ». D’expérience, on ne revoit plus la personne. Eh bien non, elle était là face à moi et me dit « me revoilà, chaque fois qu’il y a un auteur, je ne résiste pas, il faut que je l’écoute. Je suis tellement admirative… ». Elle a fait ses cadeaux de Noël avec mes romans.
Je ne vais pas pérorer et vous raconter des histoires. Hier matin, à ma dédicace à Montauroux, ma déception était grande de voir si peu de monde. J’avais peur, mes terribles doutes, de rater ma journée dédicace. C’est le 2/11, les gens sont partis honorer leurs morts, m’a annoncé la libraire. Qu’est-ce que je suis venue faire dans cette galère, alors ??? Puis sont arrivés Ezzio, mon petit-fils de cœur, avec sa maman et son petit frère. J’ai eu droit à une jolie surprise (je vous en parlerai plus tard). Bien sûr Ezzio a voulu repartir avec "La clé de l'embrouille". Du coup mes doutes se sont dissipés. Et ma journée s’est assez bien terminée sur un score honorable. Comme à l’accoutumée « Lettre à pépé Charles » est en tête des dédicaces, suivi de près par «La clé de l’embrouille ». c’était prévisible.
Un grand merci à toutes mes lectrices qui m'ont fait confiance ainsi qu'aux enfants qui ont emporté les contes de Gracieuse et Panache.
Bonjour mes amies et amis
« La vie ce n’est pas d’attendre que les orages passent, c’est d’apprendre à danser sous la pluie » Sénèque.
À la demande de mon fan-Club (toute prétention gardée) je viens de rééditer « La Clé de l’embrouille » un suspense qui vous entrainera dans une lecture drôle, humaine et haletante jusqu’au dénouement.
Dolorès, Madame et Alain n’ont pas attendu de laisser passer les orages, ils vont danser sous la pluie des secrets et des non-dits. Dolorès la gentille, mais pas tant que ça, va mener la danse et vous embarquer dans une embrouille digne de ce nom.
Mon retirage est bien arrivé. Je n’attends plus que vos commandes.
Merci par avance. À plus de vous lire.
Bonjour à toutes et tous. À mes ami(e)s et aux autres que je ne connais pas.
Un cadeau de Dame Nature se partage à la volée.
En me levant tôt ce matin, ma tasse de café à la main, je respirais les bonnes odeurs du jardin, mon grand ami fidèle.
Puis j'aperçois, au loin, une tâche rosée. Plus je m'en approchais et plus elle s'inclinait pour m'offrir sa brassée de fleurs roses et de feuillages verts. Mais, mais, balbutiais-je ? Comment en une nuit ce tas de corolles vertes s'il mué en tant de baisers matinaux ? Qui a semé à l'envi ces graines venues de nulle part ? Mes amis les oiseaux ou le vent généreux par chez nous si présent ? Pourquoi chercher une explication, seuls mes yeux apprécient ce beau cadeau intitulé "mes invitées". Mon cœur soupire d'aise et remercie Dame Nature.
Ce bouquet est aussi pour vous. Puisse-t-il vous faire voir, l'espace d'un regard, la vie en rose !
Beau mardi fleuri.
Bonjour mes amies et amis petits et grands.
« De temps en temps, il est bon d’arrêter notre quête du bonheur et d’être tout simplement heureux… » Guillaume apollinaire
Ce matin, je me suis réveillée sous un ciel pluvieux, tristounet. Même mes fleurs ne sont pas aussi resplendissantes, elles piquent du nez sous le poids des larmes qui tombent du ciel. Au fond, me dis-je la pluie c’est quand le ciel est triste et parfois il est si triste qu’il en pleure… Dans le Sud il est rarement triste parce que le soleil est le plus fort.
Nonobstant, le ciel peut venir prêter main forte à la nature qui a bien besoin de lui… donc il ouvre les vannes de tout là-haut ! J’aime mieux ça. Je n’aime pas la tristesse ! Puis au moment d’ouvrir mes volets dans ma cuisine, que vois-je ? Non je n’ai pas la berlue, devinez ! Une petite grenouille accrochée sur le bois et qui sans doute voulait entrer chez moi. Mais non petite grenouille, ta place n’est pas dans ma cuisine mais dans le jardin. Le temps de retrouver mon portable pour l’immortaliser, de prendre la jolie grenouille dans sa pose et déjà elle se sauvait. Disparue.
Comme je suis très cartésienne et que parfois j’aime faire exception et voir des signes, là je me pose la question. Que me voulait-elle ? Peut-être simplement me saluer et dès qu’elle m’a aperçue, elle s’en est allée continuer son aventure, librement.
C’est ça le bonheur non ? Cette visite impromptue en ce matin pluvieux.
Il pleut, il mouille, c’est la fête à la grenouille, dit la chanson.
Bonne journée.
Bonjour mes amies et amis, petits et grands
« La passion est encore ce qui aide le mieux à vivre » Emile Zola
Un rapide retour sur ma journée dédicace à Cogolin hier samedi 21-09-2024. Toujours le même emplacement face à l’entrée dans un grand hall où sur une table quelques bouquets de roses rouges inodores (désolée) et sur une autre quelques services de table basiques offre événementielle… attendaient preneurs. À ma droite une longue banque de livres hyper médiatisés et derrière, le magnifique espace culturel.
J’étais donc aux premières loges, on ne pouvait pas me rater, même pour les personnes qui se dépêchaient de remplir les chariots de victuailles et de promotions (m’a dit une dame).
Je ne vais pas fanfaronner. Journée très difficile. Les visages étaient fermés, les gens pressés. Sur mes dix « bonjour » formulés, deux ou trois à peine recevaient une réponse.
Tout cela n’était pas pour me décourager. Au contraire plus c’est difficile et plus je me targue de réussir. Il y a tant de romans, pourquoi me choisir moi ???
Bizarrement, ceux qui m’écoutaient ne s’intéressaient pas à mes livres mais à ma personnalité. Parce que ma passion, mon débit enthousiasmé, mes sourires et mes mots empathiques (un monsieur avait sa femme à l’hôpital et il était venu lui chercher deux livres, il a reposé ceux qu’il avait choisis pour prendre « La Miraculée » et « Lettre à pépé Charles « ) jouaient un plus grand rôle que mes premières de couverture. Une mamie aussi me racontait qu’elle ne voyait pas souvent sa fille et ses petits-enfants. Nous avons échangé un long moment et elle m’a dit « vous avez raison, je vais choisir 3 livres pour ma fille et mes deux petits-garçons et un pour moi, dédicacez-les pour Noël ». Les questions pleuvaient : pourquoi j’écrivais, depuis quand, est-ce que je lisais et quoi, me souhaitant en repartant, bon courage. Bien souvent sans coup de cœur pour un de mes livres, faute de moyens, s’excuse-t-on.
La journée me parut bien longue, fatigante mais le résultat fut concluant, exactement le même nombre de livres dédicacés que l’an dernier, même date, même lieu.
Merci à Ettore, Hermine, Michel, Monique, Laurence, Marianne, Shayan, Melissa, Annie, Katia… pour nos échanges très amicaux. Alors ? Alors tout va bien ! On continue !
« Le courage n’est pas d’avoir la force de continuer ; c’est de continuer même si on n‘en a plus la force ». Théodore Roosevelt
Bonjour mes amies et amis, petits et grands.
Aujourd’hui j’ai envie de ne m’adresser qu’à mes Amies et Amis qui sont dans la souffrance ou la tourmente.
Je voudrais leur insuffler tout le courage nécessaire pour continuer la dure bataille que sont la vie, la santé, les problèmes familiaux…
Je voudrais vous envoyer toutes mes ondes positives que je possède en moi pour vous faire espérer qu’après la pluie vient le beau temps. Que le soleil est là pour tout le monde et lorsqu’il s’absente, lorsqu’il tarde à venir, gardez espoir parce que tout tunnel a sa sortie.
Quand vous vous absentez, que je ne vous lis plus, vous me manquez tellement !
Vous êtes mon ressort et j’ai besoin de vous pour rebondir.
Je vous embrasse de tout mon cœur, de toute mon amitié sincère, de tout mon souhait de vous retrouver sur les réseaux, de vous lire chaque jour, d’échanger en message public ou privé. Je suis là à votre écoute. Si vous le voulez bien.