Merci Père Noël
26/12/2021 14:42 par ninanet
« Chaque homme dans sa nuit s’en va vers sa lumière » Victor Hugo
Cher Père Noël. Des mois durant tu as reçu des milliers de lettres du monde entier. Cette année, j’imagine que le nombre de courriers a décuplé. Covid oblige !
Tout le monde te sollicite. Et tu ne faillis pas à la règle absolue, dictée par tous les chérubins, qui de toute leur candeur, loin de se douter de l’immense tâche qui t’incombe, ont formulé plein de souhaits. Tu t’exécutes. La magie de l’enfance !
Alors, juché sur ton traineau rempli de tant de présents, tu as sillonné les routes, traversé les mers, grimpé les monts et descendu les vallées. Tu t’es glissé dans toutes les cheminées, prenant le risque de te brûler ou de rester coincé dans un tuyau de poêle. Sans bruit, avec amour, tu as bien veillé à distribuer tous les cadeaux sans te tromper. Le soir de Noël ne pas faire de déçus !
Moi du plus loin que je me souvienne, je ne t’ai jamais écrit. Je t’ai laissé libre de m’apporter ce que tu pensais être le mieux pour moi. Depuis la demie banane et le minuscule paquet de pois chiches grillés que tu m’as apporté à l’âge de cinq ans, (t’en souviens-tu Père Noël ? Moi oui !) jusqu’à tant et tant de petits et grands bonheurs.
Sauf cette année car mon bonheur était écrit sur la portée musicale de mon cœur mais un vent méchant a tout effacé. Tu ne t’en es même pas aperçu. Je ne t’en veux pas. La vie est parfois bancale.
Sais-tu Père Noël quel est mon lot de consolation ? Je voudrais que tous les petits enfants qui vont découvrir « Gracieuse et Panache », « Gustave »… ainsi que tous les adultes avec mes autres romans, soient très heureux en ouvrant les jolis paquets au pied du sapin. J’espère qu’ils seront impatients de me lire.
Vois-tu cher Père Noël, me vient à l’esprit une pensée impromptue : personne ne songera à t’écrire pour te remercier de ton total dévouement. C’est bien dommage. Ainsi va la vie !
Nonobstant, permets-moi, au nom de tous ces enfants, ces parents et grands-parents, frères, sœurs, cousins, cousines, voisins, voisines… amies et amis… de te souhaiter un bon retour vers la lumière blanche immaculée de la neige de ton paradis. Repose-toi bien. MERCI Père Noël.
« A l’an que vèn, Se sian pas mai que siguen pas mens »
(À l’année prochaine, que si nous ne sommes pas plus, nous ne soyons pas moins).
Bonjour mes amies et amis. Mes lectrices et lecteurs. Mes libraires.
J’émerge seulement de ma dernière journée de dédicaces, un jeudi ce n’est guère coutumier. Je crois qu’une de plus je n’aurais pu la vivre. Ma sensibilité exacerbée était à un tel niveau qu’hier à 16 h j’avais l’impression d’avoir bu un litre de whisky. J’ai patienté encore une heure, à 17h j’ai plié bagages après avoir dédicacé à Ionela (origine Roumanie) « La Miraculée » pour elle et les Trois Gracieuse pour Orianne et Laura ses filles adorables. J’ai voulu partir sur cet émouvant coup de cœur.
Que d’émotions, que de sourires, que de partages et que de rencontres improbables mais tellement lumineuses, que ne pas les avoir vécus auraient été regrettable.
Mais aussi, que de regards tristes, que de regards éteints, que de regards vides, que de remarques parfois acerbes ou décourageantes. Ainsi est la réalité d’une journée de dédicaces. Tout n’est pas blanc, tout n’est pas noir… Tout est trésor à enfouir dans ma malle de souvenirs.
Le positif mérite d’être relaté : rencontre avec des visiteurs des quatre coins du monde, Thelma d’Afrique du Nord, nous étions à deux doigts de nous embrasser au bout d’un bel échange. Nous sommes exactement sur la même longueur d’onde. Merveilleux !
Ionela une roumaine, ses yeux brillants d’émotion, je ne les oublierai pas de si tôt.
Un papi israélien, de passage dans sa famille à Tourettes, nous avons évoqué tant de souvenirs de notre passé (voyageur) tellement similaire.
Angelika de Francfort. Bien sûr nous avons parlé de mes petits-enfants nés à Francfort…
Nathaly de l’autre bout de la France, tremblante de joie à l’idée d’offrir mes Gracieuse à Sidney.
Tess, Lynna, Nelia, Loïs, Aimi, Nahel qui veut dire « qui étanche sa soif » Tout un symbole … Merci à vous d’avoir choisi mes romans et contes.
Merci à vous toutes et tous qui êtes partis en emportant mes ouvrages serrés contre vous et le bonheur affiché (derrière le masque) d’avoir vécu un moment des plus agréables.
Merci à l’équipe d’Alexandra, tout sourire. Merci à toi mon amie Alexandra qui m’encourage à venir encore et encore dédicacer dans l’Espace Culturel à Montauroux.
Merci à toutes les libraires et tous les libraires qui m’avez fait une place chez vous pour dédicacer malgré les consignes un peu exigeantes de la Covid, quand d’autres ont refusé. Merci aux organisatrices et organisateurs des salons et fêtes du livre pour votre implication.
Joyeux Noël à toutes mes lectrices et tous mes lecteurs qui durant cette année, malgré la complexité de la situation « covidienne » m’avez fait l’honneur et l’immense plaisir de chercher à me rencontrer, à faire connaissance et à me lire.
Rien que pour vous, je continuerai. Après l’avenir décidera.
Portez-vous bien.
« Notre richesse ce sont nos souvenirs » François Hertel
Durant ces deux journées de dédicaces des 18 et 19 décembre, j’ai emmagasiné de très jolis souvenirs. Je ne mentirai pas, je n’ai pas « explosé » dans mes ventes, je n’ai pas fait le plein comme d’habitude à la même période mais les rencontres étaient de très grande qualité. Il y a eu des coups de cœur souvent venus des papas.
Samedi j’ai été reçue avec un grand sourire, une longue table pour recevoir mes neuf titres et tout au bout de la table une jolie boite de chocolats, la petite bouteille d’eau ET le gel pour les mains. Bien sûr le café servi sur un petit plateau avec un petit biscuit. Anciennement l’Espace Culturel du Centre Leclerc, devenu Espace Olbia à Hyères, jolie rénovation mais hélas moins de monde.
Dimanche à l’Espace Culturel du Centre Leclerc à Montauroux, accueil on ne peut plus chaleureux, chocolats, petits gâteaux et le grand plus, l’AM un bouchon a sauté et j’ai été cordialement invitée à trinquer avec l’équipe.
C’est pour cela que lorsque mon amie Alexandra, la libraire de l’Espace Culturel du Centre Leclerc à Montauroux m’a proposé de revenir jeudi 23 décembre dédicacer, j’ai spontanément accepté (même si je pensais à mon époux qui sera mis à contribution pour jouer les chauffeurs). L’invite était si amicale « viens, Annette, je suis tellement contente quand tu es là »… Et moi donc !
Je tiens à remercier toutes les personnes qui en empathie et en coup de cœur sont reparties avec mes livres dédicacés.
« Le Bonheur se cultive au jour le jour. Ne jamais désespérer, il y a toujours une lumière au loin qui se rapproche » c’est ma philosophie…
Bonjour mes amies et amis.
« Le livre doit être la hache qui brise la mer gelée en nous » Franz Kafka
Hier matin je vous écrivais « À l’impossible nul n’est tenu » pour un événement auquel je ne pouvais assister.
Cet adage n’est que plus adapté aujourd’hui car depuis hier après midi, plus d’Internet.
Donc plus aucune connexion. Ce matin encore, rien de nouveau sous le soleil varois. Internet boude toujours. Minute solitude.
D’ordinaire, dés le café bu, bien calée dans mon fauteuil, d’un clic, je folâtre, j’échange, j’envoie des pouces bleus ou des cœurs rouges. Là, seul un bandeau cerné de rouge m’avise « vous n’êtes pas connectée… ». Après quelques gesticulations et réclamations à qui de droit, Facedecrabe continue à me narguer avec entêtement, j’entends une petite voix me susurrer « viens, je suis là moi ! ». Oh miracle ! Profitant de cette matinée « relâche », j’ai repris l’écriture de mon futur roman. Finie la procrastination !
Dois-je vous l’avouer ? À cause d’internet, de FB, et des blogs, je passais plus de temps à papillonner, à butiner de fleur en fleur sur des nouvelles amicales, des peintures, des lectures., les recettes de cuisine, des plus simples aux plus sophistiquées, que mon côté épicurien me fait essayer au point que j’en viens à me demander si je ne vais pas bientôt publier un livre de cuisine : « Recettes d’une Cheffe complètement toquée » ou bien « Devine chéri ce qu’on mange ce soir ? ». Qui sait ?
Et c’est là que je me pose la question. Est-ce que Internet est-il aussi indispensable que je l’imagine ? Ne plus en avoir du tout c’est impensable ! Ce serait un sacré manque dans ce monde des réseaux où tout le monde sait tout sur tout, avant tout le monde. Ce monde d’amitiés, même virtuelles qui s’avèrent parfois si présentes. Toutes ces informations que l’on reçoit par flopées, ces sourires. Oublions les quelques teigneux désobligeants car visiblement pour certains « de la discussion jaillit l’étincelle » n’est pas de leur goût. Les vraies nouvelles, les fausses nouvelles. STOP ! N’en jetez plus la cour est pleine.
J’ai donc ressenti ce matin mon cerveau vibrer. Mon cœur s’emballer d’images oubliées. Des souvenirs sont venus s’égréner dans mon récit, l’étoffant d‘événements à développer pour peut-être prendre racine. La grosse machine est en route.
Au fond, ma liberté c’est incontestablement l’écriture, la fleur qui ne se fane jamais.
Bonjour mes amies et amis.
« Malheureux, qui ne peut se réfugier dans ses souvenirs » Jacques Chardonne
Ce matin séquence émotion, souvenirs, partages, grâce à FB.
Hier soir sur la chaine télé FR3, séquence nostalgie avec Charles Aznavour grâce à Dany Brillant. Ah ! Les souvenirs m’arrachent toujours autant de petites larmes dans le fond de mes yeux et illuminent de sourires mon cœur. On ne peut chasser sa sensibilité, son esprit fleur bleue. On ne peut oublier ses amis, ses amours, ses emmerdes.
« Non je n’ai rien oublié » « Nous nous reverrons un jour ou l’autre, si vous y tenez autant que moi… plus on est de fous, plus on rit de tout. » Du grand Charles, du très grand Charles. C’est toute ma jeunesse qui n’a pas pris une ride.
« Et pourtant, et pourtant » tout n’a pas encore été écrit. Il reste tant de pages à noircir pour le futur où les souvenirs viendront encore bercer mes jours.
« Souvenirs, souvenirs vous revenez en mon cœur » nous a chanté Johhny.
« La nostalgie ; la fiancé des bons souvenirs qu’on éclaire à la bougie » Grand corps malade. J’ai un stock inépuisable de bougies.
Bon samedi.
Bonjour mes amies et amis.
« La vie est une fleur, l’amour en est le miel » Victor Hugo.
J’ai hésité avant de poster ce court écrit de ce matin. J’ai cédé à la pression…
Levée avec la pluie tambourinant sur la toiture. Il faisait noir à 7h, triste et humide.
Beurk… Une envie furieuse de rester au lit mais voilà il y avait urgence, je ne vous dirai pas laquelle, puisque vous avez deviné.
Donc une fois debout, plus envie de retourner au lit. Toilette vite faite, café avalé d’une traite. Pas faim ce matin pourtant ma brioche réalisée hier m’attend. Non plus tard ! Je m’assois au volant de mon ordi et en route Nénette.
J’aime flâner sur les grands boulevards Facebookiens. Il y a tant de choses, tant de choses à voir et à lire, sans parler de boire et manger avec toutes ces recettes pour un Noël familial réussi, qu’on nous promet ! Quelques blagounettes me dérident, quelques conseils, quelques annonces m’invitent au rêve…
Oups ! Là je cligne des yeux. Un réputé médecin (je commence à avoir des doutes à son sujet) nous annonce dans une vidéo qu’il ne sait pas encore mais qu’il va falloir prévoir probablement une quatrième dose… Mais s’il ne sait pas, alors pourquoi il nous affole ?
Bof ! Je zappe ! Zemmour apparaît les bras levés au ciel. Ah non pas encore lui ! Je zappe. Le temps inexorablement passe et ne m’apporte pas de soutien moral. Il pleut toujours !
Alors voilà je préfère vous inviter dans mon univers fleuri. Je jette un œil dehors, temps toujours aussi fou furieux. Mais j’aperçois mon bougainvillier qui doit remercier Dame Nature en buvant toute l’eau qui tombe de là-haut. Sa première année sans fleurir et là hop des fleurs d’un beau rouge ! Mes rosiers ont triste mine. Il faut expliquer que des jardiniers peu scrupuleux les ont trucidés. Seule une rose, une miraculée, mon amie la rose, a survécu et posée là sur mon bureau me revigore. Elle sent si bon si vous saviez !
Les amaryllis connaissez-vous ? Moi non, jusqu’à ce jour où j’ai découvert à la jardinerie un pot avec une tige verte gonflée à son extrémité, fièrement se hisser vers le soleil. Puis deux tiges, puis une toute petite troisième. Des fleurs aux pétales délicats ornent l’élégante tige. Ce joli bouquet trône sur mon escalier. Je l’amadoue après ce que j’y ai vécu par sa faute… Enfin par ma faute…
Les fleurs, c’est tout un pan de ma vie.
C’est ma résistance et ma résilience.
Aimer les fleurs c’est croire aux promesses de la nature.
J’ai souri très jeune aux fleurs. En mon fort intérieur, je leur ai fait une promesse.
Promesse tenue !
« Un enfant qui sourit, c’est une fleur qui s’ouvre » Dimitri Vallat
« Raconter, c’est résister » Luis Sepuvelda.
Qu’est-ce que la vie sans résistance ? Tenir bon, tenir tête, tenir la route, (se) tenir sur ses gardes… Tenir droit, tenir couché ou allongé… Mais TENIR !
L’essentiel est de tenir ses exigences, de croire en soi, de cacher ses faiblesses et de ne montrer que sa force de résistance.
Cette semaine, j’ai flâné dans plusieurs groupes d’échanges. J’ai pris part parfois, mis un pouce bleu levé ou un cœur bien rouge pour exprimer mon plaisir et confirmer mes amitiés. Quelques commentaires par-ci par-là, de-ci de-là… Pour montrer que j’existe !
Et que vous existez tout autant pour moi !
Raconter, partager pour résister et exister !
Noël est proche. Le père Noël s’active. Cette année il lui faudra n’oublier aucun enfant. Les grandes personnes aussi ont envie d’y croire.
Quand des esprits tordus veulent supprimer Noël, il faut résister.
Mon premier Noël, c’était… il y a fort longtemps, mais non je n’ai rien oublié. Ma demi-banane et mon petit paquet de pois chiches grillés. Le père Noël n’avait pas oublié mon petit soulier dans la cheminée qui nous servait de table de cuisson. Un véritable trésor reçu à l’âge de 5 ans que je raconte sans réserves. Puis il y en a eu d’autres et encore d’autres. Le Noël de mes enfants, de mes petits-enfants. Je n’ai jamais failli à la règle : gâter les miens dans cette période fastueuse où le rêve prime.
À Noël tout cadeau sera souvenir éternel. Point n’est besoin d’être riche, un cadeau venant du cœur, le plus minime soit-il sera le bienvenu.
Vive Noël ! Vive la fête ! Vive l’Amitié ! Vive les Amours ! Vive la Vie en joie ! Résistons !
« Lorsqu’on ouvre le cœur humain à une passion, les autres y pénètrent » Louis Philippe Comte de Ségur.
Le monde change. Les temps changent. Les choses changent. TOUT change. Le Covid et ses multiples variants ont changé la donne. Nous sommes en crise, en guerre. Et alors ?
Alors, ma séance de dédicace de samedi n’a ressemblé en rien aux autres, même lieu, même date et pourtant, ambiance différente, regards différents parfois indifférents ou vides. J’ai redoublé de sourire et d’écoute empathique. C’est ma nature.
À mon arrivée, d’un regard circulaire je me suis sentie noyée dans les grands étalages de cadeaux, des coffrets, des gadgets bien souvent. À ma droite une haute pile de livres d’un auteur connu à la publicité fracassante. Et il y avait MA table installée avec une affiche annonçant ma venue, avec sa jolie nappe rouge (toréador prends garde…) avec mes livres éparpillés dessus, merci à Alexandra et à son équipe. Je savais, d’instinct, que j’avais ma carte à jouer. Ma carte ? Ma passion des livres, de mes livres écrits avec tant de passion. Tout au long de la journée c’est la réflexion que l’on me faisait « vous en parlez avec tant de passion qu’on ne peut résister ». L’émotion était palpable au moment de la dédicace.
Nonobstant, ce qui m’a le plus interpellée c’est la fréquentation des lieux. En grande partie masculine. De nombreux jeunes hommes venus faire leurs cadeaux de Noël. Beaucoup m’ont fait l’immense plaisir de choisir mes livres pour les dédicacer à leur maman ou à leur épouse. D’autres, dont l’un avait déjà choisi ses livres avec sur le dessus celui de Christian Jacq (moi à côté je ne faisais pas le poids…), ont eu envie de découvrir l’auteure, là devant eux… Des taties, des mamies ont offert généreusement mes Gracieuse et Panache. Un grand merci à toutes et à tous.
Pour être complètement honnête, j’ai dédicacé un peu moins que les années précédentes à même date, même lieu. L’explication ? Beaucoup étaient venus faire du repérage et attendent de voir si Noël réunira les familles. La crainte de nouvelles restrictions.
On dit que les mauvaises nouvelles ont des ailes, et ce covid déploie largement ses ailes…
Moi je reste confiante. La meilleure preuve c’est que je reviendrai le dimanche 19 décembre pour ma dernière dédicace 2021 qui sera je n’en doute pas, la meilleure de l’année. Optimisme quand tu me tiens !
« Faire rire c’est faire oublier. Quel bienfaiteur sur la terre, qu’un distributeur d’oubli » ! Victor Hugo
Le rire est le médicament du pauvre disait ma mère. Pour moi c’est ma première nature. Même quand tout va mal, je souris, je ne sais pas faire autrement ! Les temps sont de plus en plus compliqués, anxiogènes, incompréhensibles… On ne sait plus, ni qui croire, ni en qui faire confiance.
Nonobstant Noël approche, et quel meilleur programme est-il envisageable pour faire rire et oublier cette fin d’année avec toutes les prévisions les plus alarmistes qu’on nous promet, que d’offrir des livres à toutes les personnes qu’on aime ?
Alors je préviens tout de suite. Je n’écris pas de policiers (même s’il y a du suspense et des rebondissements tonitruants dans tous mes romans), pas de thrillers (je déteste ce genre littéraire tout en respectant ceux qui les adorent. Je ne sais pas faire). Dans mes romans on ne prépare pas les mouchoirs (même si l’émotion est omni présente. Les larmes de joie sont si bienfaisantes !)
Mes livres sont truffés d’humour, même dans mon récit témoignage « La Miraculée », le but n’étant pas de me faire plaindre mais de raconter une année de ma vie que j’aurais pu éviter si… l’humour sert à dédramatiser.
Mes livres parlent d’Amour (À l’assaut du Bonheur »), d’amitié (Lettre à pépé Charles), d’histoires vraies (Voulez-vous danser ?). De triomphe (même modeste, quand la Vie ne nous a pas distribué les bonnes cartes et qu’on enfonce les bonnes portes). Sans oublier « Gustave » qui fleure bon la garrigue et l’entêtement d’un gamin à la recherche de sa famille et les contes pour les 6/8 ans « Gracieuse et Panache… », illustrations par mes soins.
Bon j’en vois qui s’impatientent déjà « mais où veut-elle en venir ? ». Allez faites un effort ! Je voulais juste vous aider à garnir vos sapins. Il y a des séances de dédicace en librairie, en salon du livre à tous les coins de rue et tous les W.E. Et de surcroit il va faire froid. Donc pas de balades de gens heureux en foulant le sable chaud ou en sirotant une boisson sur une terrasse de café mais en s’excitant de joie en choisissant les prochains cadeaux de Noël à mettre sous le sapin. Un livre ne prend pas beaucoup de place mais il tiendra sa place fièrement sur la table de nuit, dans la bibliothèque ou sous l’oreiller des petits qui se sont endormis en écoutant le beau conte lu ou raconté en toute complicité.
Quant à moi, je serai aux anges de vous présenter de vive voix mes romans :
- Samedi 27 nov. à l’Espace Culturel du Centre Leclerc à Montauroux (83) de 9h30 à 18h. Que du bonheur à venir et surtout partagé.
- Dimanche 12 déc. Rencontres littéraire et artistiques, « Les femmes et les étoiles », au Castellet de 10h à 18h
- Samedi 18 déc. à l’Espace Culturel Olbia à Hyères, de 9h30 à 18h.
- Dimanche 19 Déc. à l’Espace Culturel du Centre Leclerc à Montauroux de 10h à 17h.
Pour les personnes qui ne peuvent pas se déplacer, je peux vous expédier en port gratuit, toutes vos commandes dédicacées avec un marque page, sous 48h. Mon site pour en savoir un peu plus http://a5editions.fr