Hello le soleil brille...

07/03/2022 15:33 par ninanet

  • Hello le soleil brille...

    Hello le soleil brille...

    07/03/2022 15:33 par ninanet

Hello mes amies et amis. Hello le soleil brille, brille, brille. Après trois jours de pluie, le soleil est de retour. Le moral aussi.

À la télé ce midi, oups... les nouvelles sont mauvaises… Des fois qu’on s’habituerait à être de bonne humeur ! Les malades du Covid reprennent du galon. Et on nous susurre que peut-être lundi 14 Mars, date de notre liberté retrouvée, le pass pourrait... Je n’écoute plus. J’éteins  d’un geste vif et rageur cet oiseau de mauvais augure. M'en fous.

Moi ce matin j'ai bu un café en terrasse, face à la mer et personne ne m'a rien demandé (ni pass, ni masque). Quel bonheur de retrouver cette sensation de plénitude, les oiseaux gazouillaient sur un air de printemps annoncé. Les fleurs embaumaient l’air sous la caresse d’une brise passagère. La mer brillait sur toutes ses facettes sous les ardeurs du Roi Soleil, quelques mouettes la survolaient.

Alors je lève les yeux au ciel et le remercie pour ma jolie matinée où le café avait un goût de merveilleux. Bises

Une première, dédicace 5/3 à OPIO

01/03/2022 18:17 par ninanet

  • Une première, dédicace 5/3 à OPIO

    Une première, dédicace 5/3 à OPIO

    01/03/2022 18:17 par ninanet

Bonjour mes amies et amis, il y a un petit moment que je n’ai pas écrit d’articles. Un peu de vague à l’âme et de fatigue aussi.

« Hâtez-vous lentement, et sans perdre courage, vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage. Polissez-le sans cesse et le repolissez ; ajoutez quelquefois, et souvent effacez ». Nicolas Boileau.

Après cette fin d’année 2021 très chargée en dédicaces, après janvier et février qui sont passés à une allure folle, quelques cheveux blancs et quelques rides de plus, je reprends ma casquette de commerciale pour obtenir des dates de dédicaces.

Cela fait quelques jours que je me bats (et le mot n’est pas trop fort) pour en obtenir. Les places sont très demandées. Mais j’y arrive ! Pour la plus grande récompense de ma persévérance, mon agenda 2022 se construit peu à peu. Ma mère disait « petit à petit l’oiseau fait son nid ». Hélas deux librairies où j’avais l’habitude de dédicacer ont fermé. L’une a fait faillite et l’autre a vendu. Le nouveau libraire sera à reconquérir. D’autres enseignes ont changé de responsable. Il faut vingt fois sur le métier…Rien n’est acquis définitivement.

En ce week-end de la FÊTE DES GRANDS-MÈRES, c’est une première fois et j’aime la découverte, je dédicacerai mes ouvrages, le SAMEDI 5 MARS 2022 de 9h à 18h à La Librairie LE PARCHEMIN à OPIO et aurait plaisir de glisser un petit message attentionné pour faire plaisir à toutes les grands-mamans.

D’autres dates sont en cours de validation. Je les communiquerai mois par mois.

Je crains les mois à venir ; cela fait plusieurs années maintenant qu’on nous parle de guerre. D’abord la guerre sanitaire, maintenant la guerre des hommes. Un mal chasse l’autre. Hélas cela finit toujours par la mort d’enfants, de femmes, d’hommes et de soldats… Souhaitons que le printemps calme les ardeurs guerrières, que le calme revienne dans tous les foyers et avec le moins de dégâts possible.

Merci de venir me voir samedi, on pourra échanger, reprendre contact et sourire, c’est le plus important. MERCI.

GUSTAVE pour les petits

04/02/2022 17:41 par ninanet

  • GUSTAVE pour les petits

    GUSTAVE pour les petits

    04/02/2022 17:41 par ninanet

Bonjour mes petites amies et petits amis. Ce post est pour vous.

« Gai, gai l’écolier, c’est demain les vacances… »

L’école ferme ses portes ce soir. Vous allez avoir tout votre temps libre.

Il faut vous amuser, sortir, faire sauter les crêpes préparées avec avec maman ou mamie, mais aussi il serait bon de lire. Un peu chaque jour ou chaque soir au moment d’aller au lit et de refermer le livre en rêvant de la suite de l’histoire.

La lecture fait rêver, sourire, ouvre l’esprit. Plus tard vous aussi aurez envie de raconter des histoires pour les plus jeunes.

Aussi je vais vous parler de « GUSTAVE ». Gustave est l’ami et complice de Pépé Charles. Gustave sait tout, Gustave parle même s’il n’est pas de nature à parler. Mais quand on veut se faire comprendre on y arrive toujours, d’un hochement de tête par exemple… Avec un peu d’imagination on devine tout !

Simon s’assoit un jour de fête au village à côté d’un vieux monsieur et tout au long de la journée ils vont faire connaissance jusqu’à ce qu’il lui révèle le motif de sa présence sur ce banc.

Si j’ai suscité ton envie de découvrir Gustave, Simon, Pépé Charles et ce charmant village qui sent bon les bougainvilliers… Alors demande à tes parents de commander ce livre sur mon site : http://a5editions.fr  . Le livre sera expédié tout de suite en frais de livraison offerts ainsi qu’un marque page et une dédicace. Sinon commande en MP ici-même.

À bientôt alors ! Et MERCI pour GUSTAVE qui s’impatiente déjà de vous rejoindre.

Le château de cartes

28/01/2022 16:57 par ninanet

  • Le château de cartes

    Le château de cartes

    28/01/2022 16:57 par ninanet

« Fuir n’est pas seulement partir, c’est aussi arriver quelque part ». Bernard Schlink

Le temps passe. La vie le rend impitoyable. Il ne se retourne jamais, avance inévitablement à son même rythme, façonne les envies et les regrets, au gré des saisons, des âges et des raisons ! Et surtout sans raison, il passe, sans jamais ne se lasse !

J’entends dire de-ci de-là « j’ai choisi et j’assume » ou « j’ai choisi et je regrette ». J’ai même entendu quelqu’un dire «  elle a choisi son camp, qu’elle se débrouille » ! Dur et injuste.

Avons-nous vraiment le choix lorsque nous choisissons ?

Est-ce que notre choix, parfois tellement légitime, tellement guidé par le bon sens, et souvent par défaut, ne s’impose-t-il pas de lui-même ?

La vérité éclabousse les meilleures intentions.

Ce leitmotiv qui revient sans cesse « ai-je bien fait » déstabilise.

Et puis la flopée de questions les plus enfouies dans notre mémoire, se bouscule au portillon. Ça tourbillonne dans la tête comme toutes ces feuilles mortes que le vent soulève avec violence, ça claque dans la figure libérant des torrents fous, toutes vannes ouvertes. « Aurais-je dû ? Aurais-je pu faire autrement ? Ai-je pensé une seule seconde à l’avenir ? Et si, et si… ». Et bla bla bla.

Trop tard ou peut-être tant mieux ! On ne le saura jamais.

La réalité est terrible car elle n’apporte que tardivement les réponses auxquelles il n’y a plus de solution. La vie imperturbable distribue les cartes sans mode d’emploi. Et le château s’écroule sans crier gare. Trop tard ! On tourne la tête et c’est FINI ! Trop tard !

La révolte gronde. Le tunnel semble plus sombre et plus tortueux. La sortie ? On ne la trouve pas ou on ne veut pas la trouver…

Ma mère disait toujours « tu n’as pas où fuir, le destin te rattrapera toujours »… Le destin qui nous fait arriver quelque part ? 

Le ménachhhhh !

14/01/2022 15:21 par ninanet

  • Le ménachhhhh !

    Le ménachhhhh !

    14/01/2022 15:21 par ninanet

Il y en a qui haïssent les dimanches, moi je n’aime pas les vendredis.

Pourquoi ? Parce qu’il me rappelle que la semaine est terminée, que je suis plus vieille de… pas possible ce que le temps passe ! Mon cerveau cogite, qu’ai-je fait de ma semaine ? Pas grand chose… Et j’ai beau soupirer; aujourd’hui c’est vendredi le devoir m’appelle. Le ménage m’attend !

Eh oui, le vendredi c’est jour de grand ménage. Un rituel instauré depuis ma mise à la retraite. Afin d’avoir une maison très propre pour le week-end. Je me demande bien la raison de ce raisonnement. Le mardi aussi c’est bien d’avoir une maison propre, mais bon je n’ai pas que ça à faire non plus, au boulot !

Je commence très tôt par faire du ménage sur mon ordinateur, c’est plus fort que moi, c’est ma clé de contact avec ma deuxième vie… Je pianote de-ci de-là, un j’aime, un j’adore, un petit mot ou un long texte quand le sujet me parle… Un coup d’œil sur l’horloge (je vois défiler les minutes, secondes), oups déjà ??? Oh la la faut que j’y aille.

Aspirateur, chiffonnette, balai, brosse, produits ménagers, branle-bas de combat et me voilà transformée en fée du logis. Enfin fée… Fais comme tu peux ironise une petite voix dans mon oreille, avec le flacon nous dessinant un sol parfait, celui au liquide jaune citronné pour les carrelages , le pschitt pschitt anti-calcaire pour la salle de bains, le bleu pour les miroirs et vitres… fabuleux ! Sans oublier la fameuse bombe Plizz… Tu connais la pub de la nana glissant de tout son long sur la table de la salle à manger, persiste la voix qui me nargue. La publicité assure qu’un simple mouvement du poignet et du corps et hop envolée la poussière. Menteuse !

Avez-vous remarqué qu’on achète plein de produits ménagers pour gagner du temps et moins se fatiguer et qu’avant de commencer le ménage on passe un temps fou à lire le mode d’emploi. Tel produit pour le marbre mais pas le carrelage poreux. Tel autre ne laisse pas de traces  sur les vitres. Bizarre, j’en ai plus avant qu’après… Alors je relis bien le mode d’emploi… des fois que… j'ai loupé les recommandations d'usage écrites en tout petits caractères.

Heureusement que lorsque je publie mes livres, c’est du prêt à lire, même si la quatrième de couverture c’est le mode d’emploi… la couverture pour le plaisir des yeux et non pour la galère ! Enfin j’espère !

Bon plus de temps à blabater, je repasserai ce soir,  si je ne me suis pas cassé la figure sur le sol glissant, si je ne me suis pas retrouvée sous la table, si je n’ai pas …  Ce qui est sûr, c’est que pendant le ménachhhhh mon cerveau turbine aussi. J’emmagasine pour le futur.

« Travaillez, prenez de la peine… «  C’est bon j’y vais. Vendredi prochain j'embauche.

Bises et merci pour votre compassion.  

Ose et fonce !

12/01/2022 18:25 par ninanet

  • Ose et fonce !

    Ose et fonce !

    12/01/2022 18:25 par ninanet

Tu connaîtras la justesse de ton chemin à ce qu’il t’a rendu heureux. » Aristote.

Bonjour mes amies et amis. Moi, auteure et heureuse de « lettres ».

Pour celles et ceux qui ne me connaissent pas encore, mon chemin a été long, bousculé, chargé de tant d’événements et rempli  telle une piscine à débordement, toujours en constant mouvement, mais jamais rassasiée. Jusqu’à ma seconde Vie. Elle a été le fruit du hasard. Il n’y a pas de hasard sans rencontre. Celle-ci m’a sortie de mon confort de retraitée, déjà guettée par l’ennui. Ma rencontre avec Michel Suzzarini, écrivain-poète m’a été révélatrice à plus d’un titre. Je ne savais pas où je mettais les pieds mais mon cerveau ne m’a pas fait de cadeau. Il m’a ordonné « Fonce ». En fait c’était la rencontre hasardeuse qui m’a dit « Ose, tu en es capable ». C’était en 2009 : j’ai osé l’Écriture ! Chemin ardu, parsemé d’embûches, de doutes, de questionnements. Où chaque mot a été pesé avant d’être posé à côté des autres, comme des petits cailloux semés sur la route pour ne pas m’égarer. Je les ai égayés d’une multitude de fleurs de mon jardin secret. J’ai été sincère autant que possible.

Découvrir l’écriture sur le tard, s’obliger à travailler en solitaire, à gratter sa plume qu’on ne maitrise pas encore, car il faut le savoir, le maître absolu de l’auteur c’est sa plume, n’est pas rien. Plume capricieuse, surprenante, provocante, rien ne l’arrête, même pas les suffocations de l’auteur quand il n’en peut plus. Un jour une voix discordante m’a susurré « que cherches-tu à prouver encore ? Tu as tout réussi, ta vie, tes affaires, alors la belle affaire si tu t’arrêtais là ». M’arrêter là ? Ce serait une mort lente programmée.

Écrire, c’est très dur. Je l’ai compris tout de suite, à mon cœur dépendant. Non par la crainte de la page blanche ! Plutôt par la hantise de voir s’incruster des petits signes, tels des petits bâtons de dynamite qu’il convient ensuite de manipuler avec précaution. Cela ne s’apprend pas c’est inné. Alors s’invitent les séances de larmes qu’un vent violent sèche tout aussitôt. Embarras de sentiments contradictoires, de moments de tristesse et de rebondissements car l’envie prégnante d’écrire est puissante, démente et impudique. OSE !

J’ai foncé, j’ai tout essayé, tous les salons du livre comme celui de Paris et tant d’autres. De librairie en librairie, j’ai partagé mes écrits, j’ai rencontré des personnes empathiques, chaleureuses, respectueuses et généreuses.  La saga provençale « Gustave » et « Lettre à pépé Charles » a largement trouvé son public. « La Miraculée » « À l’assaut du Bonheur », « Voulez-vous danser ? »… Des histoires, pas pour seul but d'inventer des histoires, mais pour transcrire au grand jour des tranches de Vie, pour donner un Sens à la Vie.  Mes lectrices et lecteurs ne s’y sont pas trompés.

Les enfants aussi. On sait que les enfants ne trichent pas. Ils aiment ou pas. Ils ont aimé la série « Gracieuse et Panache… ». Une mésange et un écureuil, dans une cour de récréation vont tout faire pour aider Vincente, une petite fille, triste mais courageuse, à réaliser son rêve. Puis leur but atteint, ils partiront en vacances au Lac de St Cassien à la rencontre d’autres animaux.

« Lire c’est boire et manger. L’esprit qui ne lit pas maigrit comme le corps qui ne mange pas » Victor Hugo

Ai-je suscité en vous l’envie d’en savoir un peu plus ? Merci de me retrouver sur mon site : http://a5editions.fr

ATTENTION : j’expédie les livres EN PORT FRANCO. Bientôt il ne sera plus possible de le faire, on nous mijote une nouvelle loi pour l’interdire…  Alors ne perdons pas de temps. Envoi dédicacé. Marque page et dédicace à la demande et offerts. MERCI.

 

 

L'imaginaire

09/01/2022 16:18 par ninanet

  • L'imaginaire

    L'imaginaire

    09/01/2022 16:18 par ninanet

« Car c’est par l’écriture toujours qu’on pénètre le mieux les gens. La parole éblouit et trompe, parce qu’elle est mimée par le visage, parce qu’on la voit sortir des lèvres et que les yeux séduisent. Mais les mots noirs sur le papier blanc, c’est l’âme toute nue. Guy de Maupassant.

En ce deuxième dimanche de janvier 2022 (déjà !), cette citation prend toute sa place dans mon esprit. Qu’en est-il de mes écrits, si sincères soient-ils ? Y ai-je mis mon âme à nu ?

Tout ou en partie, certainement ! La pudeur oblige souvent l’auteur à se cacher derrière ses personnages pour oblitérer ses souffrances… tout en leur prêtant ses propres délires. Visage masqué, l’auteur avance.

Pendant mes séances de dédicaces, souvent lors de la présentation d’un de mes romans, probablement à cause ou grâce à la passion que j’y mets, on me demande « c’est du vécu » ? Comment répondre et que répondre, sans casser le mythe de l’imagination débordante de l’auteur ou sans trop se mettre en danger avec le réel ? L’imaginaire et le réel dans un système de vase communiquant.

Nonobstant, est-ce que l’imaginaire n’aurait pas existé à un certain moment, puis aurait été volontairement oublié, pour renaître sous la plume exigeante ou intransigeante de l’auteur ? Tout ressurgit, rien ne s’oublie ! Alors tout s’écrit !

L’imaginaire se juxtapose souvent avec le réel. Qui des deux sera appréhendé par le lecteur ? Et c’est à mon tour, pendant l’échange avec celui-ci, d’imaginer ce qu’il ne me dit pas. Ce que cache ce regard humide, brillant, ou fuyant. L’émotion est palpable. Plus visible encore en cette période où le mouvement des lèvres se meurt sous le masque.  Ne subsiste que l’essentiel, l’intensité des regards, au sens propre comme au sens figuré. Tout aussitôt, les mots libérés prennent une valeur inestimable. L’empathie réciproque se met en place. L’auteur s’en délecte.  Un nectar émotionnel, un subtil parfum de Bonheur.

PS : Je ne reprends pas tout de suite mes séances de dédicaces pour des raisons personnelles. Quand les reprendrai-je ? Je l’ignore. Tout vient à temps pour qui sait attendre, me répondrait ma mère. Mais je ne bouderai pas mon plaisir d’être là parmi vous, le plus souvent possible.

Meilleurs voeux

09/01/2022 16:16 par ninanet

  • Meilleurs voeux

    Meilleurs voeux

    09/01/2022 16:16 par ninanet

« Je prendrai dans les yeux d’un ami, ce qu’il y a de plus chaud, de plus beau et de plus tendre aussi ». Jacques Brel

 

Une année s’en est allée

Une autre l’a remplacée.

Les  bouchons ont sauté

Les verres ont trinqué.

 

Les vœux ont été échangés

Les promesses formulées.

La musique, les éclats de rire

Ont remplacé les soupirs.

 

Reste l’incertitude des jours à venir

Reste à balayer les mauvais souvenirs

Reste à espérer et à croire en l’avenir

Pour le meilleur, jamais pour le pire.

 

À toutes mes amies et amis

C’est pour vous cette poésie

Sans prétention, en mélodie

L’amitié, mon espace de Vie.

 

Écoutez ces quelques notes

Du piano qui nous chuchote

Qu’après la pluie, brille le soleil

De mille étoiles, pure merveille.

L'Amitié

09/01/2022 16:14 par ninanet

  • L'Amitié

    L'Amitié

    09/01/2022 16:14 par ninanet

« Je prendrai dans les yeux d’un ami, ce qu’il y a de plus chaud, de plus beau et de plus tendre aussi ». Jacques Brel

 

Une année s’en est allée

Une autre l’a remplacée.

Les  bouchons ont sauté

Les verres ont trinqué.

 

Les vœux ont été échangés

Les promesses formulées.

La musique, les éclats de rire

Ont remplacé les soupirs.

 

Reste l’incertitude des jours à venir

Reste à balayer les mauvais souvenirs

Reste à espérer et à croire en l’avenir

Pour le meilleur, jamais pour le pire.

 

À toutes mes amies et amis

C’est pour vous cette poésie

Sans prétention, en mélodie

L’amitié, mon espace de Vie.

 

Écoutez ces quelques notes

Du piano qui nous chuchote

Qu’après la pluie, brille le soleil

De mille étoiles, pure merveille.

 

Ce matin en allumant mon ordinateur, un ami s’est étonné de nos échanges tantôt versant dans le tutoiement, tantôt dans le vouvoiement. Un autre m’a écrit que mon amitié lui était précieuse. Je ne les en remercierai jamais assez. C’est tellement plus « amical » de dire, de s’expliquer.

Trop d’amies, amis, m’ont tourné le dos sans aucune explication. Pourquoi et pour quoi ?

Des jours et des jours à se poser des questions. Qu’ai-je dit de maladroit, de blessant ? Où ai-je appuyé sans le vouloir là où ça fait mal ? Les mots sont des armes dont l’impact est implacable. Pour certaines et certains, la rancune est tenace et l’amitié s’efface.

Bien sûr d’autres amies et amis ont pris leur place. L’amitié n’est pas interchangeable. Quand on y croit, quand aime fortement d’amitié, alors on continue à se questionner : Pourquoi, Pour quoi ? ». 

Je vous présente tous mes meilleurs vœux pour 2022, l’amour pour celles et ceux qui le recherchent, la santé et la guérison pour celles et ceux qui souffrent, la paix dans les cœurs. La joie de vivre, la persévérance, la patience… Mille bises d’amitié.

La vie et ses défis

09/01/2022 16:11 par ninanet

  • La vie et ses défis

    La vie et ses défis

    09/01/2022 16:11 par ninanet

En ce moment, beaucoup de gens ont renoncé à vivre. Ils ne s’ennuient pas, ils ne pleurent pas, ils se contentent d’attendre que le temps passe. Ils n’ont pas accepté les défis de la vie et elle ne les défie plus ». Paulo Coelho

Au hasard de ma promenade matinale sur les réseaux, cette citation m’envoie un clin d’œil.

La Vie est un choix perpétuel. « Si tu veux ça, tu risques de perdre ça ou au contraire si tu prends cette décision combien en souffriront… » ?  Oui la peur de souffrir ou de faire souffrir statufie les sages. Mais les fous ? Les fous jettent leur Vie par-dessus les moulins. 

Ne dit-on pas « il vaut mieux avoir des remords que des regrets ? ». Car les regrets sont terribles. Ils empêchent de vivre. Ils sont là à nous ressasser « si tu avais su… », « tu aurais dû… »,  « aujourd’hui c’est trop tard… »  et recommencent les questionnements « pourquoi n’ai-je pas… ». On tourne en rond à en avoir le tournis, à en perdre la raison.

Alors on fantasme ! On brode avec des fils de toutes les couleurs, au point de croix. On tricote, une maille à l’endroit, une maille à l’envers…  Lorsqu’une maille s’échappe, filant vers le bas dans une descente vertigineuse, on la remonte, empli d’espoir… Jusqu’au jour où décidé, on plie bagages pour un ailleurs meilleur.

Les années ont passé, pour le meilleur parfois pour le pire. Alors faut-il se poser ou se mettre en pause ? Le fou ne sait pas faire ça… Il continue, infatigable, insaisissable, insatiable…

« Va où le vent te mène, va où le vent te mènera » nous chante Angelo Bruardi (merci Google).

La folie est en dualité avec la tristesse. Notre cœur s’enlise. On le décroche et le jette dans le vide, il tourbillonne, frissonne mais jamais ne raisonne. La VIE le rattrape et le libère de ses démons. Il nous revient comme neuf… Prêt à s’emballer au moindre sourire.

Seulement UN rêve ne se réalisera jamais. Il est trop tard… mais il en reste tant d’autres à peaufiner, que notre bon vieux cœur risque d’imploser.

Soyons fous en cette fin d’année,  dansons sur les flots de nos rêves, trinquons avec des verres pleins de bulles et que ça pétille !

Fasse que nous ne nous dirons plus « il est trop tard » car il n’est jamais tard pour bien faire.  Cela était le conseil de ma mère, il y a longtemps, si longtemps que j’avais oublié. N’oublions rien, ne nous retournons pas, défions les mauvais augures, la vie est pleine de promesses et de sens.

Suivez-moi ! Plus on est de fous et plus on s’amuse.